Yoram Moefana : « Difficile de dire non à Toulouse »
Yoram Moefana : « Difficile de dire non à Toulouse »
Le vendredi 18 octobre 2024 à 13:10 par David Demri
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Le trois-quart centre de l’Union Bordeaux-Bègles et du XV de France s’est confié en longueur à RMC Sport dans le podcast Entre les Potos.
À l’image de son club en Top 14, Yoram Moefana réalise un début de saison canon.
Il a récemment fait le choix de prolonger à Bordeaux en refusant de céder aux sirènes du Stade Toulousain.
L’attaque de l’UBB impressionne depuis le début de saison. Pourquoi ça marche aussi bien notamment entre les trois-quarts?
On a de plus en plus d’affinités ensemble. C’est notre deuxième année et on se trouve encore mieux. On le travaille aux entrainements. On vise l’excellence. On essaie d’être libérés sur le terrain. Ce qui est bien avec cette équipe, c’est que chaque semaine, on continue à travailler. Parfois les gens peuvent dire que notre attaque est déstructurée mais on met une vraie structure en place aux entrainements. Noël (McNamara, l’entraineur des arrières, ndlr) nous dit tout le temps que ce sont les joueurs qui font leurs choix sur le terrain. Et puis c’est plus facile d’attaquer avec de grands joueurs à côté. Je sens qu’on est connectés ensemble. On peut compter les uns sur les autres.
Vous avez fait le choix de prolonger à l’UBB jusqu’en 2027 malgré le gros intérêt du Stade Toulousain, pourquoi?
C’est le club dans lequel j’ai fait mes premiers pas en Top 14. Tout le monde voit qu’on a un bon groupe. C’était plus par rapport à mon attachement au club. L’arrivée de Yannick (Bru) et de son staff ont pesé aussi. Je me plaisais dans le projet. Je voulais continuer ici. L’objectif c’est d’aller chercher un titre pour l’UBB. Je crois fort en cette équipe.
Est-ce que c’est facile de dire non à Toulouse?
Pour tous les joueurs, c’est difficile de dire non au Stade Toulousain. Mais c’est aussi différent quand on peut gagner un premier titre avec le club avec lequel on a débuté. Je crois en ce groupe. J’ai vraiment envie que cette génération ramène un titre à Bordeaux. C’est dur de se dire qu’on peut refuser le Stade Toulousain, le club qui a le plus de titres mais je me sens bien à Bordeaux.
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Et puis conserver ses meilleurs joueurs permet d’essayer de concurrencer les toulousains autrement il n’y a plus grand intérêt à suivre ce championnat.
il n a pas dit non a toulouse , car on ne dit pas non au stade , il a tout simplement dit oui au fric de Marti ! …….
Je ne savais pas … et je suis surpris que le dacquois soit le trésorier de l’UBB au service du président Marti ! Quand on connait pas, on ferme sa g …e.
Bravo à lui de ne pas avoir succombé au chant des sirènes Toulousaines.De plus si
son président a amélioré son salaire c’est qu’il le mérite.Au RCT on est les champions pour allonger des fortunes pour recruter des casseroles.