Yoann Maestri évoque la violence des matches des phases finales

Yoann Maestri évoque la violence des matches des phases finales

Le mardi 13 juin 2017 à 17:52 par David Demri

4 Commentaires

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Le deuxième ligne du Stade-Toulousain, Yoann Maestri n’a pas participé aux phases finales du Top 14 cette saison étant donné que son équipe a terminé à la 12ème place du classement.

Interrogé dans les colonnes du Midi Olympique, l’international Français a avoué avoir trouvé les matches des phases finales très rudes. Extrait:

« C’est sûr que ces matchs étaient costauds, très costauds. Parce que c’est le moment décisif de la saison, où l’on sait qu’on n’a plus de match derrière, et où l’on s’engage plus encore dans un contexte de tension beaucoup plus perceptible. Cela peut paraître impressionnant, bien sûr. Ça l’est à mon sens d’autant plus qu’on met beaucoup le doigt là-dessus en ce moment. »

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4 Commentaires

  1. py 13 juin 2017 at 19h- Répondre

    ça a du être très violent, assis sur son canapé.

  2. JP83 13 juin 2017 at 21h- Répondre

    Par Contre Toi …pas Très Violent contre les Sudafs tu as Rebondis ou Reculé sur tout les Impacts LOL !!!! Ou a t’il Vu de la Violence Lui ??? Parlons d’Engagement Total mais pas de Violence !!!
    Go Toulon !

  3. JP83 13 juin 2017 at 22h- Répondre

    Tiens le gaga du quartier est de Sorti ! Alors échappé de l’Asile ??? Comme ma Mère disait : Discute pas avec une Brouette …Pousse la !!! Au Moins Moi j’ai un Peu Joué a ce Jeu ….MDR !
    Go Toulon !

  4. Marabout 13 juin 2017 at 22h- Répondre

    Jean-Baptiste Grisoli, Blog du RCT 13 juin 2017, trop vieux ?

    Le médecin Jean-Baptiste Grisoli va faire son retour au sein du Rugby Club Toulonnais dès cet été afin de renforcer le staff médical.

    L’ex-médecin du XV de France s’est exprimé dans les colonnes du Midi Olympique sur un problème récurrent du rugby: les commotions cérébrales.

    Selon lui, il faut désormais être intraitable sur le sujet. Outre le fait de demander qu’un joueur ne puisse plus rentrer à nouveau sur le terrain une fois que le KO ait été avéré, Jean-Baptiste Grisoli souhaite que les intersaisons durent désormais trois mois. Aussi, il précise que la généralisation des casques ne servira à rien. Extrait:

    « Je pense qu’il faut être intraitable dans les délais de reprise. On récupère après un K.-O., mais il faut du temps. Le législateur a choisi de mettre en place un protocole, et on l’a vu sur la dernière finale, qui peut paraître ultra-précautionneux, à savoir chaque fois qu’il y a coup à la tête, un expert indépendant peut demander l’application du protocole et la sortie du terrain du joueur. Ce qu’il faut, c’est quand le K.-O. est avéré, qu’il ne revienne surtout pas sur la pelouse. C’est là qu’il y a danger. Après, on se rend compte que les commotions cérébrales interviennent très souvent sur des joueurs qui jouent beaucoup. C’est là le nœud du problème. Si on laissait le temps au cerveau de récupérer après un choc, nous aurions moins de problèmes. Il faut passer à des intersaisons de trois mois. 90 jours au minimum sans le moindre choc à la tête. Et vous verrez que leur nombre diminuera alors au cours de la saison. Par ailleurs, généraliser le casque, surtout en mousse, ne changera rien, bien au contraire. On se rend compte que les porteurs de casques sont souvent ceux qui sont le plus victimes de commotion. Ils se sentent en sécurité… Or le casque n’est pas efficace dans ces cas-là. Pour couvrir les plaies et empêcher les choux-fleurs aux oreille oui, mais pour les commotion, cela ne sert pas à grand chose. »