Wild lâche le morceau : « Il a fait beaucoup d’erreurs quand il était à Paris : il a eu des ennuis avec la police »
Wild lâche le morceau : « Il a fait beaucoup d’erreurs quand il était à Paris : il a eu des ennuis avec la police »
Le dimanche 27 octobre 2024 à 19:56 par David Demri
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Le président du Stade-Français Paris, Hans-Peter Wild s’est longuement confié via Midi Olympique.
Ce-dernier a notamment indiqué qu’il n’allait pas recruté de pilier suite aux blessures contractées par Sergo Abramishvili et Paul Alo-Emile.
Il explique pourquoi. Extrait:
Non. Giorgi Melikidze et Francisco Gomez-Kodela sont revenus en jeu contre Clermont. Notre mêlée a d’ailleurs été parfaite samedi soir. On va juste attendre Paul et Sergo quelques semaines…
Dans la foulée, il évoque sa relation avec ses joueurs.
Il l’affirme : ses joueurs ne sont pas ses amis. Il regrette d’ailleurs de ne pas pouvoir passer davantage de temps à leurs côtés. Extrait:
Je ne suis pas leur ami, je ne les vois pas assez pour ça. J’aimerais passer plus de temps avec eux mais j’ai du travail, des entreprises à gérer, des voyages à faire : je verrai donc nos prochains matchs à la télévision, depuis les Caraïbes ou la Floride. […] Le business passe en premier, pour moi. Le Stade français, c’est un plaisir. Un plaisir assez cher, ceci dit…
Dans la foulée, il est revenu sur le départ du troisième ligne Giovanni Habel-Kuffner en fin de saison dernière, vers Bayonne.
Il confirme que le joueur a eu des problèmes avec la police et a déraillé à plusieurs reprises. Extrait:
C’est vrai. Giovanni parlait comme moi allemand, la langue de ses beaux-parents. […] Il a fait beaucoup d’erreurs quand il était à Paris : il a eu des ennuis avec la police, a connu des soucis extra-sportifs… Mais les gens peuvent changer, après tout. J’ai toujours cru en la rédemption et il m’a récemment donné raison.
J’aurais aimé que Giovanni reste à Paris mais le salary cap ne nous l’a pas permis. On aurait été bien lotis, avec lui et Yoan Tanga en numéro 8… […] Tanga est solide. Il l’a montré contre Clermont samedi soir.
Ce championnat est fou, quand on y pense. Tout le monde peut battre tout le monde. À ce titre, comment La Rochelle n’a-t-elle pu marquer le moindre point à Montpellier samedi ? C’est dingue…
Il pleuvait ? Pour les deux équipes ! Et ne me faites pas croire qu’il pleut davantage à Montpellier qu’à La Rochelle, le reste de l’année (rires) !
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