Visite surprise d’un grand combattant à Marcoussis, ce mercredi, avant le choc contre les Blacks !

Visite surprise d’un grand combattant à Marcoussis, ce mercredi, avant le choc contre les Blacks !

Le mercredi 13 novembre 2024 à 17:25 par David Demri

3 Commentaires

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À quelques jours d’affronter la Nouvelle-Zélande (ce samedi à 21h10), le XV de France a eu la belle surprise de recevoir mardi Benoît Saint Denis à Marcoussis. Le combattant de MMA, grand fan de rugby, a passé plusieurs heures aux côtés des Bleus.

Un choc contre la Nouvelle-Zélande, ça se prépare. Si le XV de France a pu compter sur le retour de 19 joueurs (dont Charles Ollivon ou encore de Gabin Villière) pour cette semaine de travail, ce mardi les Bleus ont reçu un invité spécial à Marcoussis: Benoît Saint Denis. Le combattant de MMA français a passé une journée entière avec les joueurs.

Parka du XV de France, mains en poche, « BSD » était à l’aise au bord du terrain. Car avant de porter les mitaines, le Nîmois a d’abord manié la balle ovale. « Je jouais n°6, troisième ligne aile, j’ai toujours apprécié défendre« , explique-t-il au micro d’Infosport+. Bien qu’il n’ait joué qu’une seule année au rugby (de ses 15 à 16 ans), Benoît Saint Denis a toujours adoré ce sport. Comme il le dit lui-même, s’il avait pratiqué une discipline collective, « ce serait le rugby. »

Échanger sur leurs sports mutuels

Durant cette journée passée aux côtés des Bleus, le Français en a profité pour échanger avec certains, dont Julien Marchand et Matthieu Jalibert, sur leurs sports respectifs, qui ont certaines similitudes. « Ce qui peut se rapprocher de notre sport, ce sont ces phases d’appréhension, lorsqu’il y a des contacts, avec les plaquages, les rucks. C’est aussi ce professionnalisme de la préparation, tout le staff qu’il y a autour. C’est un sport qui est développé et très professionnel, là où le MMA est en cours de développement, c’est très intéressant de voir ça avec un œil de spectateur », affirme-t-il, toujours au micro d’Infosport+.

Bien que les arts martiaux mixtes restent un sport individuel, Benoît Saint Denis y trouve également un aspect collectif, avec les sparrings. Des séances d’entraînement où il combat à une intensité plus ou moins forte contre d’autres combattants qui sont là pour le préparer en vue de son prochain rendez-vous.

Grand fan de rugby, mais surtout de Bayonne, « BSD », qui avait déjà visité les installations de son club de cœur et le Stade Jean-Dauger, s’est réjoui de la nouvelle convocation de Tevita Tatafu. « C’est super d’avoir un joueur du club en sélection, il a joué contre le Japon déjà, très content pour lui », a-t-il confié, le sourire aux lèvres. Le pilier droit de l’Aviron, en grande forme en ce début de Top 14, a connu sa première sélection contre le Japon (52-12) samedi dernier et a de nouveau été appelé par Fabien Galthié, qui compte sur lui, d’autant plus avec le forfait d’Uini Atonio.

« Touché d’être là, dans une semaine si importante »

La venue de celui qui est surnommé le « God of War » cette semaine n’est pas un hasard. Connu pour ses guerres livrées dans l’octogone de l’UFC, Benoît Saint Denis caractérise cette appétence pour le dépassement et le don de soi. Et samedi, à 21h10, le XV de France devra faire preuve de courage face à la Nouvelle-Zélande, la deuxième nation mondiale.

« Je suis touché d’être là, dans une semaine si importante. Il y a une bonne partie des joueurs qui n’ont jamais joué contre les All Blacks, c’est un moment particulier dans une carrière de joueur« , a déclaré Saint Denis mardi. Petit à petit, la pression monte. En attendant le choc de ce week-end, les Bleus se sont entraînés à haute intensité ce mercredi.

Via RMC Sport

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  1. Pona 14 novembre 2024 at 07h- Répondre

    Un grand combattant ?? Un nullard oui…

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    • Danslaverte 14 novembre 2024 at 09h- Répondre

      J’imagine que tu as un niveau bien supérieur au sien pour te permettre de le juger ainsi. Bravo à toi pour ta bravoure, tes années de préparation et de souffrance pour en arriver à être meilleur que BSD, respect…

  2. Anthony 14 novembre 2024 at 08h- Répondre

    On s’en fout !

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