Vincent Martin s’apprête à disputer un match particulier contre son club formateur
Vincent Martin s’apprête à disputer un match particulier contre son club formateur
Le jeudi 12 avril 2018 à 11:34 par David Demri
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L’ancien polyvalent trois-quarts Toulonnais, Vincent Martin s’apprête à défier le Rugby Club Toulonnais, ce samedi après-midi au Stade Vélodrome de Marseille à l’occasion de la 24ème journée du Top 14.
Interrogé en conférence de presse, ce-dernier explique s’attendre à un match très disputé face à une formation Varoise qui a besoin de points. Extrait:
« C’est une opportunité et une chance de jouer ce genre de match pour les joueurs concernés. Ce n’est pas un cadeau empoisonné. Il y a un parfum de phase finale parce qu’on ne joue pas dans leur stade, puis c’est une équipe de Toulon qui est revancharde et qui a besoin de points. Donc c’est un moyen de se tester pour les phases finales. Ce sont presque des matches éliminatoires désormais. Certes nous sommes qualifiés, mais on veut garder cette première place. Je ne dis pas que l’on va gagner ce week-end, loin de là. Mais on y va avec des intentions pour montrer que tout le groupe est concerné par la fin de la saison. »
Par ailleurs, Vincent Martin avoue qu’il est toujours particulier pour lui d’affronter Toulon, son club formateur. Extrait:
« Depuis que je suis parti de Toulon, je n’ai jamais rejoué à Mayol. J’étais à chaque fois blessé ou alors les matches se jouaient au Vélodrome. Il y a toujours une petite saveur particulière car c’est là-bas que j’ai débuté. J’ai fait toutes mes classes là-bas. C’est toujours un peu particulier, mais mon cœur sera 100% Montpelliérain ce week-end. »
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Dommage beaucoup blesse mais au rct il a fait des matchs interessants et quelques essais
C’est vrai qu’il a eu du temps, mais pas suffisamment pour se bonifier. C’est le même problème que pour Sinzelle ou même Andreu je trouve. Fickou était lui déjà à maturité… Toulouse avec ses sirènes pleines de promesses pouvait ouvrir les enchères. En Top 14, il est difficile d’attendre que les joueurs s’améliorent, la concurrence et la pression du résultat (recettes, sponsoring, descente, qualification…). Le règlement tente timidement de réduire ce cercle vicieux. Voudrait on d’un Top 14 sans phases finales, sans descente ? Où le maintien d’un club répondrait à son attractivité médiatique, à la qualité de son centre de formation, nombre d’essais marqués sur l’année, à sa politique anti dopage, à ses performances en coupe d’Europe, à sa politique de protection du joueur, à son implication dans le tissu socio économique local? Ben moi j’en rêve loo