Vidéo: L’énorme bagarre générale entre Hyères-Carqueiranne et La Seyne-sur-Mer

Vidéo: L’énorme bagarre générale entre Hyères-Carqueiranne et La Seyne-sur-Mer

Le mardi 23 octobre 2018 à 20:14 par David Demri

37 Commentaires

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L’énorme bagarre générale entre Hyères-Carqueiranne et La Seyne-sur-Mer

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37 Commentaires

  1. doc83 23 octobre 2018 at 20h- Répondre

    ca envoie du lourd !
    Le 4 de Carqué n’a pas laissé sa part !

  2. Garry38 23 octobre 2018 at 20h- Répondre

    affligeant…que dire d’autre ! Je garde en mémoire un LAVELANET NICE, un guet-apens, une boucherie, les anciens s’en souviennent sûrement, les dissidents toulonnais VADELLA BALATORRE HERRERO SAPPA HACHE…qui évoluaient à NICE agressés sauvagement sur fond de contentieux avec les locaux qui avaient chargé quelques saisons auparavant à MAYOL. Mais l’époque pas d’arme blanche, explication à l’ancienne…

    • La Mecque 23 octobre 2018 at 21h- Répondre

      En 1972… 4 joueurs de Nice et anciens joueurs emblématiques du RCT ont tenu tête à l équipe de Lavelanet et au stade…sans grillage , simplement une main courrante.

      Noël VADELLA
      Daniel HACHE
      Michel SAPPA
      Jean Claude BALLATORE

      Une violence rarement égalée sur un terrain…( voir article midol).
      Match arrêté , gendarmes sur la pelouse et un 3/4 en folie…Féli Carreras !
      Des images sont visibles sur youtube
      … la violence et le rugby.

      La Légende du RCT écrite par ces HOMMES qui ne reculaient jamais !

      • Turbo poulet 23 octobre 2018 at 22h- Répondre

        @La Mecque

        RUGBY DE FOLIE

        Le club niçois risque de payer cher ses graves erreurs

        Où va le rugby français ? C’est la question que nous nous posons depuis longtemps avec anxiété. Et nous comprenons que le Président Ferrasse ait pris la ferme décision de se montrer impitoyable avec les fauteurs de trouble.

        Mais où va le rugby niçois ? C’est ce que nous pouvons nous demander maintenant avec angoisse. Car jusqu’à ce jour, tous les incidents dont on faisait porter la responsabilité aux rugbymen niçois avaient été contreversés.

        Quand les étudiants du T.U.C. se firent proprement rosser à Avignon, en seizième de finale de deuxième division, les Azuréens crièrent au scandale en se voyant accuser. Il n’empêche que le talonneur Alain Boussès, sauvagement agressé, ne joua plus au rugby, et que le président du T.U.C., le docteur David, se retirera avec d’autres dirigeants toulousains, tant il était écoeuré.

        Mais des sanctions ne purent être prises. Le dossier d’accusation manquait de clarté. Dans bien d’autres matches, les niçois furent mis au pilon. Toujours sans des preuves irréfutables.

        Nous ne pensons pas, cette fois, qu’ils échapperont au couperet. Car tous les observateurs officiels étaient d’accord. Avant même de s’être vus. Et les spectateurs aussi qui n’étaient pas tous de Lavelanet. C’était bien les Niçois qui avaient été à l’origine de toutes ces affreuses bagarres.

        Ils déclenchaient au grand jour avec une telle impudeur que nous nous demandions si ces guerriers n’étaient pas dans un état second.

        A l’habitude, les mauvais coups sont donnés sournoisement, sans qu’il soit possible de déceler les coupables. Là, pas du tout. Tout se passait au grand jour. A visage découvert.

        Un capitaine qui sème le trouble

        Hache, que ses fonctions de capitaine appelaient à donner l’exemple, ne se gêna pas. Dans le mauvais sens malheureusement.

        Nous ne parlons pas du rugbyman. Nous avons vanté ses qualités en d’autres occasions. A Lavelanet nous n’avons vu que le belligérant. Disons d’ailleurs qu’il n’en manque pas de courage. D’autres, diront sans doute, d’inconscience. Car nous l’avons vu, à lui seul, poursuivre à grands coups de pied quatre Lavelanétiens, après avoir couché Nègre pour le compte. Dans ce genre d’exercice il mériterait l’admiration si nous n’avions pas à parler de rugby. C’est d’ailleurs sur ce dernier exploit que M. Comte, l’arbitre alpin, se décida à arrêter le massacre sur les conseils de M. Lucien Barbe, le délégué sportif. Mais le capitaine niçois avait parsemé ces cinquante-huit minutes odieuses d’agressions répétées.

        Seuls les gendarmes….

        D’autres évidemment se mirent à l’unisson : Vadella, Ballatore et le centre Carreras les premiers. Mais le grand fautif, avec Hache, et le seconde ligne Sappa.

        Expulsé dès la troisième minute pour maître coup de savate, il se refusa à regagner les vestiaires. Au lieu de prendre une douche bienfaisante, il resta sur le bord de la touche, d’où on le voyait bondir – spectacle inhabituel – sur le terrain quand une bagarre éclatait.

        Les interventions de l’arbitre et du délégué sportif n’y firent rien. Seuls les gendarmes, après quelques horions, purent l’envoyer hors de l’arène.

        Rien donc ne se passa à Lavelanet comme à l’habitude. Pour une fois le partage des responsabilités ne souffre aucune discussion.

        C’était l’avis du docteur Teulières, membres du comité directeur de la F.F.R., à qui le président Ferrasse demandera certainement un rapport.

        « Ecoeurant ! Nous avoua-t-il. Ces anciens Toulonnais causent un grand tort au R.C.Nice, alors qu’ils auraient pu faciliter l’essor du rugby sur la Cote d’Azur. Avec Sappa, dont la conduite a été scandaleuse, je vais aussi signaler Hache et Vadella. »

        Même son de cloche pour M. Lucien Barbe, l’ancien arbitre grand renom, qui avait été heureusement délégué par la F.F.R. : « j’ai dû intervenir cinq ou six fois, nous rappelait-il, chaque fois pour tenter de calmer les Niçois. Sans résultat. J’ai donc demandé au directeur du jeu, après une nouvelle agression du capitaine niçois, de renvoyer les deux équipes aux vestiaires. Peut-être aurions-nous dû le faire plus tôt. C’est la première fois, en quarante-cinq ans que je vois ça. Nice a conservé dans sa manière le plus mauvais Toulon d’une certaine époque. Je demanderai contre ce club des sanctions exemplaires. »

        Et d’ajouter : « Savez-vous que Sappa m’a menacé de me faire la peau quand je voulais le faire rentrer aux vestiaires ? C’est à peine croyable. Notre but est de permettre à des jeunes gens de pratiquer leur sport favori dans le meilleur esprit. Nous n’avons pas le droit de leur faire courir tant de dangers. »

        M. Comte, à qui on reprochait de n’avoir pas expulsé Hache après Sappa, reconnaissait son impuissance : « Ce n’aurait servi à rien, expliquait-il. Les Niçois n’étaient pas venus pour jouer au rugby, mais pour créer des incidents. »

        De peur d’être agressés

        Quelle mouche avait donc piqué les compagnons d’Herrero ?

        Ils avaient certes été mal accueillis par un public qui n’avait pas oublié la chaude réception qu’avaient reçue ses joueurs quinze jours au paravent à Nice. Car il y avait eu un match très dur pour les Ariégeois sur la Côte d’Azur, en coupe de l’Espérance. Mais ces huées peuvent-elles expliquer tout ? Si oui, avouons qu’il n’en faut pas beaucoup aux niçois pour sortir de leurs gongs.

        Marcel Volot, dont nous avions souvent apprécié la courtoisie, crut avoir trouvé la bonne réponse quand il tenta de nous expliquer : « vos journaux ont grossis les derniers incidents de Nice. Ils appelaient à l’émeute ! »

        Et voilà ! C’est donc notre faute. Affolés par les écrits de nos confrères, les joueurs Niçois ont donc eu peur d’être attaqués. Alors ils ont pris les devants.

        Regrettons seulement que des dirigeants du club n’aient pas plus de lucidité d’esprit. C’est en cautionnant de tels excès, sous des prétextes enfantins, qu’ils faillissent à leur rôle d’éducateurs.

        Fausse route !

        Rappelons aussi à Marcel Volot que nous avons pris une large part à l’envol du rugby à Nice, à l’époque où l’exemplaire et regretté Pouech, notre directeur, occupait sa retraite niçoise à lancer le vrai rugby sur la Côte d’Azur.

        Et nous sommes les premiers à regretter aujourd’hui d’avoir à crier : « Fausse route ! »

        La fédération, qui se réjouissait aussi d’avoir vu remonter le R.C.Nice en Nationale, ne pourra pas d’avantage fermer les yeux. La défense du rugby dans ce coin, gagné au football, ne justifiera pas la moindre faiblesse.

        Le R.C.Nicois risque donc de payer fort cher, ces graves erreurs d’un après midi de folie.

        Raymond SAUTET.

        Midi Olympique du 3 au 9 octobre 1972 (n° 3063).

        Le match Lavelanet Nice s’est joué le dimanche 1er octobre 1972 à Lavelanet, le score anecdotique, 9 à 6 pour Lavelanet. Le massacre fut arrete à la 58e minutes.

        • La Mecque 24 octobre 2018 at 14h- Répondre

          Merci TurboPoulet…
          Meilleur que moi pour ramener l article sur le blog… (;-)))

  3. Cyrioul 23 octobre 2018 at 20h- Répondre

    Des petites racailles de merde et pis c’est tout ! Des branleurs !

  4. OG KUSH 23 octobre 2018 at 20h- Répondre

    BEYYYYYROUTHHHH!

  5. LA CLOSE 83 23 octobre 2018 at 20h- Répondre

    bien triste de voir çà.

    • Fredoval83 24 octobre 2018 at 05h- Répondre

      Ouai….triste…la vidéo frôle les 20000 vues.
      Belle audience pour un combat de merde.

  6. La Mecque 23 octobre 2018 at 20h- Répondre

    A La Mecque … les générations passent , mais l esprit perdure.
    Nous ne sommes plus habitués à pareille débauche d énergie.
    Mais bon , cela arrive un peu partout en France.
    Ce qui est regrettable ce sont les coups de ciseaux.
    La le mec il a carrément pété les plombs.

  7. Flanker97133 23 octobre 2018 at 21h- Répondre

    ils ont l’air aussi intelligents dans les tribunes que sur le terrain.
    2 clubs à rayer de la carte sinon ce sera la porte ouverte à tout(violence) et à tous(voyous).
    Voyez ce qui se passe dans les salles de classes et maintenant sur les terrains,rien d’étonnant ou surprenant.
    Pas de mort ,mais la prochaine fois ce sera quoi à la place des ciseaux ?

    • Jero 23 octobre 2018 at 23h- Répondre

      C’est toi qu’on va rayer de la carte.

      • rugbyx 24 octobre 2018 at 07h- Répondre

        Tient les cailleras (comme cela que vous aimez qu’on vous appelle ?) sont présents sur ce blog… je parle de jero bien sur.

    • Cagagne 25 octobre 2018 at 19h- Répondre

      Si tu rayes ces deux clubs de la carte , qui va former le jeunes pour le RCT ?

  8. Marc83 23 octobre 2018 at 21h- Répondre

    Ce qui est vraiment dommage est comme le dit Garry que cela ne se passe pas qu’aux mains.. Mais parmis ses joueurs il existe des gentils garçons qui sont pas des mauvais bougres.. Dommage mais tellement symptomatique aussi de notre société et à ceux qui pensent que c’est jamais arrivé c’est pas la 1 ère même si ce type de comportement inadmissible qui est très courant au foot.. Grave que l’ont ressembles à ce qui se fait de pire au Foot..

  9. Loon 23 octobre 2018 at 22h- Répondre

    Vive les footix!

  10. San Nari 23 octobre 2018 at 22h- Répondre

    Si ça se passait sur un terrain de foot autour d’une cité sensible, je sais ce que ces gars là diraient… et pourtant ils n’ont aucune leçon à donner à personne. Ils ne donnent pas envie aux familles de mettre leurs gamins dans ces clubs. La palme au chevelu de Carqueiranne qui relance la baston (coup en traître) gratuitement lorsque tout le monde s’était calmé (0’58). Il devrait être radié !

  11. candide 23 octobre 2018 at 22h- Répondre

    Le jaune avec les cheveux long cest lui qui déclenche tout si vous regardez les videos et en plus il vient par derrière.. quel lache

    • Place Puget 24 octobre 2018 at 11h- Répondre

      @candide il vient par derriere, par surprise, alors que la tension est tombée et il avoine le plus petit le 9.Il doit mangé grave par la commission de discipline car il est clairement identifié.

  12. Canonnier 23 octobre 2018 at 23h- Répondre

    Quand t’es bon à rien au rugby tu essayes de briller en baston, et même là il est pas bon ce grand con lâche.

  13. Artemiscroaa 24 octobre 2018 at 02h- Répondre

    Franchement ça fait froid dans le dos.
    Non mais sérieusement,un mec a pris des ciseaux !

  14. jj83 24 octobre 2018 at 07h- Répondre

    Sans parler exclusivement de ce match , il y a une grande responsabilité des dirigeants de club dans ce genre d’incidents . Il est rare qu’un joueur pète un plomb soudainement , les joueurs à risque sont connus par leurs dirigeants et malheureusement des fois un peu poussés aux excès . Ce n’est pas non plus exclusif au rugby , les mêmes problèmes existent aussi au football et notre société accroit encore ce comportement

  15. rugbyx 24 octobre 2018 at 07h- Répondre

    l’intelligence des gens en tribune fait peur aussi…

  16. superman83 24 octobre 2018 at 09h- Répondre

    Mais c’est sûr que les parents qui voient ça on envie de mettre leurs enfants au rugby !!
    Et encore cette bagarre est filmée. Si vous demandez a des espoirs ou juniors combien de fois de fois il y a des bagarres générales par an vous prendrez peur.
    Ça dépend des clubs et des entraineurs bien entendu. Mais dans la région toulonnaise c’est catastrophique il faut avouer…

  17. Umaga43v3r 24 octobre 2018 at 09h- Répondre

    @Dav-D : Article édifiant sur l’aventure de Collazo à la Rochelle.

    Je pense que ça peut intéresser pas mal de monde ici…

    Notamment une ligne qui explique que le président (Merling) était hypnotisé par Collazo avant de comprendre que ce n’était plus possible…

  18. Rhââ Lovely 24 octobre 2018 at 10h- Répondre

    Le pluriel ne vaut rien à l’homme
    Et sitôt qu’on Est plus de quatre,
    On est une bande de cons.

    Brassens

  19. Rhââ Lovely 24 octobre 2018 at 10h- Répondre

    Beaucoup de « courageux » des deux camps
    qui tapent par derrière ou des hommes à terre.
    A une époque, un coup à joueur à terre c’était un an
    de suspension.

  20. papy jacquot 24 octobre 2018 at 11h- Répondre

    J’ai une sensation bizarre à la lecture de certaines publications, je dirais presque d’angélisme. j’ai joué à Six-Fours en réserve et en première. A chaque déplacement je savais qu’il y aurait une distribution de phalanges, un petit essuyage de godasses et au mieux une petite tentative de transformation, même hors bagarre. Que ce soit à la Seyne, Ollioules, La Valette, Carqué n’en parlons même pas, et Chateaurenard c’était pas mal non plus et j’en oubli. Des coups par derrière ils n’ont rien inventé.Mais lorsque tu choisi le rugby, au bout d’un moment tu n’est pas sans ignorer que tu es exposé à ce genre d’aventure, malheureusement, ce qui n’excuse rien.

  21. marcancel 24 octobre 2018 at 12h- Répondre

    Le 4 de HYERES ne frappe pas le 9 par derrière, il le retourne d’abord pour le prendre de face…

    De plus, le 4 si l’on regarde bien a été lui frappé par derrière, puis au sol, a coup de crampons….

    Donc messieurs les censeurs… calmez vous donc un peu…

    Pas bien les générales on est tous d’accord…..mais bon, s’acharner sur un joueur et demander sa radiation…. faut pas abuser…

    Regardez quand meme que si tout part de lui, c’est car il est bien pris a parti, il s’est défendu!!!

  22. Mig 24 octobre 2018 at 17h- Répondre

    C’est normal, quelques uns avaient des brindilles sous les pieds !! 8

  23. La Mecque 24 octobre 2018 at 18h- Répondre

    Ne faites pas les enfants de coeur , car cela a toujours existé avec le rugby les
    bagarres.
    Le RCT durant 80 ans a bâti sa réputation et sa légende avec la violence …
    Depuis 1971 que je les suis et bien avant , nous n etions pas réputés pour nos titres , mais bien par la crainte que l on inspirait à nos adversaires , et ce à l extérieur comme à MAYOL.
    Il est certain que ce n est plus la même époque, où les grosses cylindrées du championnat pouvaient perdre à Hagetmau , malgré les 3 classes d écart, a cause d un joueur emblématique et indestructible que les anciens connaissent …Alain Lansaman  » le lion de Chalosse « .
    Comme nous nous avions l immense Daniel Hache…Noël Vadella…Manu Diaz…Gilbert Doucet etc…

    • Cagagne 25 octobre 2018 at 19h- Répondre

      Les seynois a l extérieur ne se sont pas enlevé

  24. Jero 24 octobre 2018 at 19h- Répondre

    Ça fait peur tous ces juges qui se contentent d’une image pour pendre un mec, ça fait peur…

    Selon mes maigres info, le jeune ex Seynois qui a utilisé des ciseaux à bouts ronds fût couvert de coups pendant qu’il était soigné.

    Laissons faire l’enquête nous ne sommes ni juge, ni Dieu.