Toulouse savoure, le Stade-Français regrette

Toulouse savoure, le Stade-Français regrette

Le lundi 11 janvier 2021 à 9:08 par David Demri

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Ce dimanche soir, le Stade-Toulousain s’est facilement imposé contre le Stade-Français Paris à Ernest-Wallon à l’occasion de la 14ème journée du Top 14 (48-24).

Interrogé à l’issue de la rencontre via Le Figaro, l’ouvreur Parisien Nicolas Sanchez a évoqué un match bizarre. Extrait:

«C’était un match bizarre, à chaque fois qu’on n’était pas loin d’un résultat ils ont marqué. C’était très difficile, tu sais que quand tu fais des fautes bêtes tu le paies cash ici à Toulouse. Il va falloir travailler un peu plus.»

Pour sa part, l’entraîneur Parisien Julien Arias estime que ses joueurs se sont montrés un peu trop fébriles lors de cette rencontre. Extrait

«On avait bien démarré le match, on voulait les faire douter un peu. Et ensuite on a fait trop de petites erreurs. On leur a donné par mal d’opportunités de nous punir, c’est dommage à ce niveau-là. On a encaissé pas mal d’essais, on n’a pas bien défendu sur la plupart du match. Il faut que l’on soit plus solide à l’extérieur pour pouvoir rivaliser avec ce genre d’équipes. On a été un peu trop fébriles ce soir. Si on veut rester dans le haut du classement, il faudra gagner à l’extérieur. On ne va pas commencer à faire les comptes maintenant, il reste quatorze journées. On n’était pas les champions du monde avant ce match, on n’est pas les derniers de la classe après. On fera les comptes à fin, on va continuer notre chemin en essayant de progresser et on verra ce que ça va donner.»

Pour conclure, l’ailier Toulousain Matthis Lebel s’est souvenu de la fessée reçue par Toulouse à Paris en début de saison. Il est satisfait de cette large victoire. Extrait:

«On a mis les ingrédients qu’il fallait pour jouer notre rugby. On avait pris une fessée là-bas et on se l’est rappelé cette semaine. On voulait montrer autre chose. C’est bien d’être en tête du championnat aujourd’hui mais le plus important c’est quand même d’être premier à la fin. Il faut rester lucide. On fera les comptes à la fin.»

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1 Commentaire

  1. Raymond 12 janvier 2021 at 12h- Répondre

    Comme habituellement, je maintiens mon verdict, l’arbitrage siffle 1 pénalité contre 3 provoquées. C’est ce qui fait la différence ?