Toulon encore loin de Lourdes, Béziers et Toulouse ?

Toulon encore loin de Lourdes, Béziers et Toulouse ?

Le jeudi 7 mai 2015 à 14:02 par David Demri

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champion

Trois fois champion d’Europe d’affilée depuis 2013, champion de France en titre, Toulon domine le rugby de l’hémisphère nord mais n’a pas encore atteint la dimension de ses aînés comme Lourdes, Béziers ou Toulouse. Voici pourquoi.

La domination toulonnaise, champion de France en titre et désormais triple champion d’Europe depuis son succès samedi dernier contre Clermont, est récente. Trois ans, c’est beaucoup quand on court après des titres, mais c’est peu dans l’histoire car les trois grands clubs français qui précédent le RCT depuis l’après-guerre, c’est-à-dire Lourdes, Béziers et Toulouse, qui se sont inscrits dans la durée.

Les Lourdais ont disputé leurs premières finales (perdues) en 1945 et 1946, avant de décrocher sept boucliers de Brennus entre 1948 et 1960, face à une opposition de forte densité avec Mazamet, Toulon, Perpignan, Mont-de-Marsan, Dax, Béziers et le Racing Club de France. Quinze saisons au sommet, c’est cinq fois plus que le RCT aujourd’hui. Sans oublier trois challenges Du Manoir (1953, 1954, 1956), Championnat bis sur invitation regroupant les vingt meilleurs clubs français.

Pour s’inscrire dans l’histoire, il faut rester au moins dix saisons au sommet

De leur côté, succédant au FC Lourdes, les Biterrois régnèrent sans partage entre 1971 et 1984, malgré la présence d’adversaire du calibre d’Agen, Narbonne, Toulon, Brive, Montferrand, Bagnères, Nice, Toulouse et Perpignan. Ils récoltèrent dix titres en quatorze saisons à la cadence de deux boucliers de Brennus tous les trois ans. Ils remportèrent aussi trois «Du Manoir» (1972, 1975, 1977) et, pour l’anecdote, la première Coupe d’Europe en 1962. Trois générations de joueurs se succédèrent sous le maillot rouge et bleu, de Richard Astre à Pierre Lacans, laissant une empreinte indélébile dans l’imaginaire ovale.

Série en cours, les Toulousains ont pris la relève de l’AS Béziers dès 1985 en écartant Agen, Toulon, Bourgoin, Montferrand, Brive, une domination quasi permanente puisque le dernier de leurs douze boucliers de Brennus sur la période moderne remonte à 2012. Douze Brennus mais surtout trente ans de présence au sommet: voilà qui assoit une notoriété. On ajoutera à cela la création de deux compétitions internationales, remportées en 1986 (le Masters) et 1990 (le Centenaire). En écartant, excusez du peu, la période d’avant-guerre (1922-27) durant laquelle, surnommé «La Vierge Rouge», le Stade Toulousain obtint cinq titres de Champion de France.

Toulon est encore loin du compte. Même avec ses quatre titres (trois Coupes d’Europe et un Top 14) en trois saisons, les Varois n’entrent pas dans la catégorie des clubs références. Comme ceux à répétition du Stade Français (période Guazzini) et de Biarritz depuis l’instauration du professionnalisme, les succès du RCT ne sont que des épiphénomènes. Seules les prochaines saisons nous diront si Toulon va marquer profondément  l’histoire de France.

UN STYLE DE JEU FAIT LE CLUB
«Le style, c’est l’homme», écrivait le philosophe Buffon. C’est aussi ce qui caractérise l’impact laissé durablement par un club. Cette trace, c’est le jeu et ce qu’il inspire. Ce qu’on pourrait aussi appeler une académie. Ils sont deux, en France, à émarger dans ce cercle ovale très fermé: Lourdes et Toulouse.

Entre 1945 et 1955, sous la férule de Jean Prat, capitaine et troisième-ligne aile du XV de France, les Lourdais ont tracé droit leur sillon. Passes millimétrées, déplacement du jeu chronométré, recherche systématique du décalage en bout de ligne, utilisation des avants dans le reflux du mouvement grâce au coup de pied de recentrage: le rugby, très classique, des Lourdais a enchanté le public mais surtout servi de fonds de jeu au XV de France.

Les Toulousains, eux, ont amorcé en 1984 la mise en place d’un jeu de mouvement basé sur la polyvalence des rôles. Modélisé par René Deleplace dans les années 60 à l’usage des étudiants et des enseignants, ce rugby total a trouvé son terreau le plus favorable au sein du Stade Toulousain, repris et vulgarisé par Robert Bru, puis par le duo Pierre Villepreux – Jean-Claude Skrela.

Encore aujourd’hui, conduit et affiné par Guy Novès et ses adjoints depuis 1994, ce style, dit «toulousain», truste les trophées. Basé sur le déplacement incessant du ballon par des joueurs qui évitent d’aller au sol quand ils sont plaqués, il permet d’étirer et de concentrer la défense pour mieux la percer ou la contourner.

Les All Blacks et le XV d’Angleterre dans les années 90, certains clubs anglais, comme Bath et les Wasps, et plus récemment l’Ecosse, se sont inspirés de ce rugby total. De par le monde, plusieurs milliers d’éducateurs et d’entraîneurs, certains à la tête d’équipes nationales, se reconnaissent dans le «jeu de mains» prôné depuis trente ans par le Stade Toulousain et le propagent.

Concernant le style biterrois, il est trop typé, trop particulier, voire unique, pour avoir fait école. Un pack monstrueux (Vaquerin, Paco, Hortoland, Senal, Palmié, Saisset, Estève, Bunonomo)  à plus de huit cent kilos, ce qui dans les années 70, était presque inconcevable; une charnière Astre-Cabrol capable de verrouiller le jeu pour insister, devant et au ras des regroupements, sur les points faibles de l’adversaire; des centres surpuissants (Mioch pesait cent kilos) afin de créer des points de fixation dans l’axe du terrain pour faire intervenir les avants dans un deuxième temps; des attaquants doués pour la relance (Cantoni, Seguier, Fabre, Bonhoure)… Il y a du Béziers dans le Toulon d’aujourd’hui. Mais ce jeu, imaginé dès la fin des années 60 par l’ancien talonneur international Raoul Barrière, n’a pas fait école.

A sa façon, Toulon reprend cette voie biterroise, avec son pack de golgoths (Hayman, Chioci, Botha, Williams, Gorgodze, J. Smith, S. Armitage), son sérial buteur (Wilkinson puis Halfpenny), son mastodonte au centre (Bastareaud) et ses feu-follets (Giteau, Michalak, Mermoz, Habana, Mitchell). Le parallèle est saisissant pour qui a vu dans ses grandes heures l’AS Béziers, toujours serein, éreinter ses adversaires par ses violents coups de boutoir et quelques inspirations de génie.

FAIRE S’ÉPANOUIR LES JEUNES POUSSES

La particularité de clubs comme Lourdes, Béziers et Toulouse est d’avoir fait grandir ses joueurs pour les hisser jusqu’à l’équipe de France. Lourdes a découvert des talents régionaux (Domec, Martine, Barthe) et recruté des treizistes (Labazuy); Béziers a drafté quelques joyaux (Astre et Cantoni de Toulouse); Toulouse s’est renforcé avec des laissés pour compte (Cigagna, Rougé-Thomas) et de jeunes pousses (Charvet, Bonneval, Janik), avant de lancer une génération dorée (Poitrenaud, Michalak, Jeanjean).

Au contact d’un jeu richement articulé au sein duquel ils se sont fondus, Lourdais, Biterrois et Toulousains ont intégré en nombre l’équipe de France. Au point de phagocyter parfois l’effectif tricolore. Sept Lourdais en 1958 sur quinze tricolores, six Biterrois en 1975, six Toulousains en 2000. Le style prôné dans ces clubs, reconnaissable et reconnu, a permis l’éclosion au plus haut niveau de talents individuels mis au service du XV de France.

Aujourd’hui, on trouve trace à Marcoussis de Guirado, Suta, Taofifenua, Tillous-Borde, Michalak, Mermoz, Bastareaud, Chioci et Ménini. Mais seuls les deux derniers nommés ont obtenu leur première sélection en portant le maillot du RCT. Pis, trois joueurs formés à Toulon, Marc Andreu, Yoann Maestri et Gaël Fickou, ont quitté la Rade sans avoir eu la chance de s’y épanouir. A l’heure professionnelle, le dégraissement des effectifs et le recrutement d’internationaux confirmés, toutes nationalités confondues, est le nerf de la guerre que se livre les clubs à fort budget pour exister au plus haut niveau et s’y maintenir.

INNOVER, CRÉER, PENSER, PRODUIRE…

Lourdes a travaillé essentiellement sur la technique individuelle, en particulier la passe et les angles de course, se fixant comme objectif prioritaire la recherche du «plus un», à savoir le décalage de l’ailier grâce au déplacement collectif. Une avancée transférée ensuite au plus haut niveau, dans le Tournoi des Cinq Nations grâce aux frères Prat, Roger Martine et Jean Barthe. Elle permit au XV de France d’exister sur la scène internationale, au point de devenir une référence dès la fin des années 50.

A l’innovation purement technique et tactique de Lourdes, l’AS Béziers a ajouté la préparation physique, imposant des séances de musculation naturelle à l’aide de roues de tracteur, de medecine balls, de lests lors des séances de course (activités reprises trente ans plus tard par différentes provinces néo-zélandaises). Sous l’impulsion de leur entraîneur, Raoul Barrière, les Biterrois utilisaient la sophrologie dans la préparation des matches et, plusieurs fois par saison, se rendaient à l’université de Montpellier pour y passer des tests biologiques et des évaluations proprioceptives et cognitives.

Au milieu des années 80, les Toulousains furent les premiers à disposer d’une salle de musculation à côté des vestiaires, puis d’un centre de vie qui concentrait équipements sportifs et médicaux, ainsi que qu’une salle de presse, un restaurant et un réceptif pour les partenaires, à s’entraîner quatre fois par semaine (avant l’ère du professionnalisme) et à utiliser de façon systématique l’analyse vidéo pour les matches et aussi les entraînements.

Toulon, aujourd’hui, s’il n’est pas en retard, n’est pas à la pointe de la technologie. Il utilise encore des ressources dites classiques. On ne lui connait pas de domaine dans lequel il a été innovant, si ce n’est dans les cycles de récupération physiologique, dont le résultat le plus marquant a été le doublé Coupe d’Europe – Top 14 obtenu en 2014, alors que les deux finales étaient disputées l’une derrière l’autre (24 et 31 mai).

 QUI S’IDENTIFIE À TOULON ?

Avec Toulon, les choses sont claires : on aime ou on déteste. Un président, Mourad Boudjellal, omniprésent dans les médias et prompt à la polémique; un entraîneur, Bernard Laporte, connu pour ses saillies à l’emporte-pièce, ses métaphores parfois déplacées, ses injures vis-à-vis des arbitres et sa vision assez basique du jeu de rugby: c’est assez pour déclencher chez les non-Toulonnais des crises d’urticaire.

Mis à part ses supporteurs colorés, regroupés autour du Pilou-Pilou, on trouvera difficilement un amateur de rugby partageant les valeurs éruptives du RCT. Le récent palmarès des Varois impose le respect, c’est un fait, mais il ne suscite pas d’enthousiasme particulier. Toulon est une machine à gagner, une équipe préfabriquée à grands coups d’euros et de buzz médiatiques, composée d’internationaux recrutés sur tous les continents: voilà ce que disent et pensent les amateurs et les connaisseurs qui ne portent pas le muguet sur leur cœur.

C’est exagéré, bien sûr, mais c’est ainsi que Toulon vit et vibre: dans l’excès. Comme Béziers avant lui. Là encore, un trait commun. L’ASB se drapait dans la mentalité cathare, «nous contre les autres, seuls face à l’adversité ». Les coaches biterrois en jouaient pour motiver leur équipe. Là, ce sont les supporteurs varois qui pincent cette corde sensible. Tous les autres apprécient de voir jouer Toulon et ses stars, les stades sont pleins, mais peu d’identification au succès varois. Le RCT s’éloigne là aussi du FC Lourdes et du Stade Toulousain, qui furent et sont encore d’authentiques références.

L’EUROPE NE VAUT PAS UN BRENNUS

Pour peser dans l’histoire, rien ne vaut de soulever le bouclier de Brennus en tribune présidentielle. Remporter la Coupe d’Europe, bien sûr, apporte du brillant mais pas l’éclat du titre de champion de France. Pour tous les joueurs, c’est la consécration. Certaines légendes, comme Serge Blanco ou Walter Spanghero, n’ont jamais été champions de France. Et ça leur manque.

L’Europe permet une audience télévisuelle internationale, surtout dans l’hémisphère sud. La conquête des sponsors et la chasse aux partenaires sont facilitées par un succès européen. Quant à une saga, comme ce fut le cas pour Toulouse, puis le Leinster et aujourd’hui, Toulon, elle ouvre de grandes opportunités: recrutement, valorisation médiatique, image de marque.

Mais face à une conquête durable au sommet du Championnat de France, l’éclairage européen manque de puissance. Compétition trop jeune, disputée par des clubs et des provinces, des franchises et des sélections qui la rendent  hétérogène et déséquilibrée, la Coupe d’Europe n’a pas encore assez de noblesse. Elle possède seulement l’énergie de sa jeunesse. S’inscrire, c’est durer dans le mythe. Avec quatre boucliers de Brennus, autant que Castres, Toulon concède un retard; important sur Toulouse (19 titres), le Stade Français (13), Béziers (11); moindre sur Lourdes (8), Agen (8), Bordeaux (7) et le Racing (5). On voit là très nettement où se situe le prochain défi des Varois, s’ils veulent rester dans l’histoire.

Source: lequipe.fr – Richard Escot

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49 Commentaires

  1. coachino 7 mai 2015 at 14h- Répondre

    Alors là on touche le fond du panier de crabes!!!!!Pauvre presse, pauvre de nous, nous ne sommes peut-être pas lourdes, Béziers ou Toulouse mais avec 4 brennus et 3 ChampionsCup ou H-Cup, et ben nous sommes aussi bons que et bien meilleurs que les autres! Qu’on respecte Toulon et pis c tout bordel! Marre de c mecs qui dévaluent ce que notre RCT réalise…..

    • angeluxembourg 7 mai 2015 at 15h- Répondre

      Il faut l’ignorer ; c’est le plus grand mépris que l’on peut avoir pour ce personnage .
      Qualifier le jeux de Toulon de Basic ( je sais pas il a pas du regarder la finale ) 2 essais construit on vendange 2 autres pratiquement et pour Clermont deux essais à Zéro passe ???
      Je me rappel en début de saison quand il lance une polémique à Bayonne
      sur un passage à vide ( sois disant à vide )de Bastareaud
      En ayant soin de dire qu’ un arbitre lui avait dit que l’essai aurait du être refuser ( il ne parlait pas de Mené ) mais quand on lui demandais sa source il ne voulait pas répondre .
      Petit Article ,petit journaliste , petite personne ne lui accordais aucune importance .
      être encore plus derrière les joueurs le staff le RCT la meilleurs des réponses
      Ps quand Halpenny tape les pénalités et que les chants anglais montent du stade c’est sur le public anglais était pour Clermont

      • angeluxembourg 8 mai 2015 at 09h- Répondre

        Aujourd’hui, on trouve trace à Marcoussis de Guirado, Suta, Taofifenua, Tillous-Borde, Michalak, Mermoz, Bastareaud, Chioci et Ménini. Mais seuls les deux derniers nommés ont obtenu leur première sélection en portant le maillot du RCT.
        Encore une connerie Mr Escot , vérifier ou au moins réaliser ce vous écrivez .
        Suta est arrivé à Toulon en 2008 et a eu sa première sélection AU RCT .
        Mais quand on écrit avec des préjugés ont déforme la réalité à son avantage …….

        • angeluxembourg 8 mai 2015 at 09h- Répondre

          Relire et on déforme ,
          Je suis pas journaliste mais je relis c que j ‘écris et j ai vérifié sur wilki pour Suta

  2. fuser 7 mai 2015 at 14h- Répondre

    « Le récent palmarès des Varois impose le respect, c’est un fait, mais il ne suscite pas d’enthousiasme particulier » ; tout comme l’ensemble de ton oeuvre, toujours prêt à nous déglinguer.. Un article signé la petite salope de l’Equipe, il n’y a pas d’autre mot pour décrire ce type de bouse…
    Sortir un papier comme celui-là, moins d’une semaine après un triplé historique, ne vous en déplaise « monsieur » Escot, est une attaque en règle, voire un règlement de compte. Clermont aurait réussi ce triplé, dans les mêmes conditions que nous, il aurait été porté vers le haut, et il t’en resterait encore autour de la bouche pour des semaines petit Escot…
    En conclusion, le RCT et le peuple toulonnais t’emmerde, et espère bien te faire vomir pendant de nombreuses années.

    • Billkm 7 mai 2015 at 15h- Répondre

      Ce mec est la honte du journalisme et encore j’ai du mal à dire que c’est un journaliste…Il est comme Lartot, il vaut pas grand chose. La jalousie est vraiment un vilain défaut dans ce pays.

      • guillaume835oo 7 mai 2015 at 18h- Répondre

        Plus je lisais l’article, et plus j’étais certain de son auteur et du site d’ou il venait sans avoir à attendre son nom… Vous ne nous aimez pas Mr Escot, rassurez vous, cela est partagé!
        Apres, nous on comprend aisément pourquoi on vous aime pas, mais quelqu’un peut il m’expliquer pour il et ils en général (le monde du rugby français) ne nous aiment pas???
        Je supporte le RCT depuis longtemps, avec tout mon coeur, et je l’ai toujours supporté en respectant les « valeurs » de se ce si beau sport et mes adversaires. Pourquoi eux se permettent de ne pas les respecter et de nous cracher ouvertement à la gueule toutes les semaines???? Quel est ce déli de sale gueule??

  3. roberto 7 mai 2015 at 14h- Répondre

    Mais quel article de M….!!! Après, en voyant qui l’a pondu rien ne m etonne.
    Lourdes, Beziers ok. Mais Toulouse un grand club oui. En ayant pille’ dans tout les clubs de l exagone. « Facile comme ça « ..Ensuite le stade Français ok . mais Biarritz ? C est une blague? :rotfl: .. alors d après ce Monsieur « il vaut mieux des brenus que 3 titres consécutifs de Hcup ? »… putin que la cagagne te vienne espèce de sale C..!! Tu commence sérieusement à nous les gonfler menu, menu toi et tes articles anti RCT. C est difficile pour toi d accepte’ qu’iil y ai une nouvelle egemonie du RCT ?? Viens nous voir à Mayol on pourra en discuter Entre le goudron et les plumes.. :pissedoff:

  4. Rémy 7 mai 2015 at 14h- Répondre

    Désolé M. Escot, mais aujourd’hui, la coupe d’Europe a plus de valeur à mes yeux que le Brennus (qui peut être gagné par le pauvre 6e du championnat).

    Et très honnêtement, si Toulouse peut encore résonner chez beaucoup, j’ai plus de doutes sur Lourdes, qui doit commencer à être oublié/inconnu par toute une génération et celles qui suivront.

    On voit bien par les tournures de phrase que tout est fait pour dévaloriser ce que le RCT est en train d’accomplir. Le jour où ce rigolo dégagera de son poste, ça fera du bien à toute la perfection des journalistes sportifs.

  5. ALBERT83 7 mai 2015 at 14h- Répondre

    C’est EXCELLENT!!!

    C est ce qu il faut aux joueurs pour se motiver!

    Il fait vite afficher des extraits de ce texte dans les vestiaires!!! :yes:

  6. lepontdulas83 7 mai 2015 at 14h- Répondre

    hé oui les dinosaures ont disparue et l’hommosapien est apparue.
    et oui le feu et la bougie ont étais remplacer par l’électricité.
    Et le journaliste qui a pondue ça lui est toujours figer à l’age de bronze :rotfl: :rotfl:

  7. bison25 7 mai 2015 at 14h- Répondre

    « Qui s’identifie à TOULON ? On aime ou on déteste » . Et bien voilà , tout est résumé par ces quelques mots . L’affaire est entendu , point . « On n’a compris » . (Pas la peine de nous refaire une conférence nostalgique sur les géants d’hier) . On l’a connaît par coeur l’histoire , pour ceux qui l’auront vécu il y a 45 ans de cela . On n’est en 2015 Mrs !.. , quand même . :pissedoff: Et surtout pas d’autres choix que de vivre avec notre temps présent . Et pas de tabou chez moi , mais au passage j’ai 63 piges , et je fais avec , Picétou .

  8. habanaa13 7 mai 2015 at 14h- Répondre

    Je ne sais pas pour vous mais moi je me suis arreté au moment ou il déclare que les all blacks se sont inspirés du stade toulousain !!! :laugh: :laugh: :laugh: Remballe estrasse !!!

  9. Jerome.83 7 mai 2015 at 14h- Répondre

    « Bernard Laporte, connu pour ses saillies à l’emporte-pièce, ses métaphores parfois déplacées, ses injures vis-à-vis des arbitres et sa vision assez basique du jeu de rugby » : Alors là j’en reste bouche bée !
    Je me demande dans quelle mesure une plainte ne devrait pas être déposée ? ou au moins un droit de réponse accordé aux personnes salies dans cet article.
    On peut pas demander à ce monsieur de précéder les joueurs à la descente du bus lors du prochain match pour lui faire voir combien on l’aime ?

    • bigorneau 7 mai 2015 at 15h- Répondre

      On peut pas demander à ce monsieur de précéder les joueurs à la descente du bus lors du prochain match pour lui faire voir combien on l’aime ?

      Haha j’adore! Je paierais pour voir ca, surtout que m’est avis qu’il ne recevrait pas que des tomates pourries dans la tronche le gonze

  10. Coudon 7 mai 2015 at 14h- Répondre

    D’abord il est impossible de comparer les époques et ensuite c’est vrai que ce M. ESCOT joue les rabat joie et fait de l’anti RCT primaire
    Ça ne m’étonne plus venant de sa part

  11. London 7 mai 2015 at 14h- Répondre

    Monsieur BOUDJELLAL,
    Là, vous avez carte blanche pour répondre à ce qu’il se fait de mieux en matière de journalisme d’excrément…
    J’APPELLE A TOUT LES SUPPORTERS DU RCT DE FRANCE DE NE PLUS ACHETER L’EQUIPE ET/OU DE NE PLUS RENOUVELER LEUR ABONNEMENT.

    • madrague83 7 mai 2015 at 14h- Répondre

      faut surtout pas répondre ça lui ferait trop plaisir de voir qu’il a réussi à nous faire disjoncter !!!! moi je propose tous la bise à la Botha pour ce mec !!!! et puis on parle pas aux cons ça les instruits !!!! 😕 :-X 😀
      PS: je ne suis pratiquement jamais virulents dans mes commentaires mais là devant tant de parti pris et de mauvaise fois les bras m’en tombent !!!!!!

    • figatellijean 7 mai 2015 at 18h- Répondre

      Ohe les gars les trois quarts des articles de ce blog proviennent de l equipe ou du midol alors comme le dit mola il faut y aller mollo avec presse y en a qui sont morts pour ca meme si on est pas ok avec eux tout le monde peut donner son opinion y compis escot sans tomber ds l injure et l ordurier

    • vince3004t 7 mai 2015 at 22h- Répondre

      Personnellement, je viens de désinstaller l’application « L’équipe » sur mon téléphone et je ne consulterai plus leur site ni n’achèterai ce journal en version papier. Je ne vois pas l’intérêt d’aller chercher des infos dans un journal qui nous chie dessus à la moindre occasion !

      Chacun a le droit de penser ce qu’il veut, mais là je ne comprends pas du tout le timing ni la raison de cet article. On dirait qu’il veut répondre à ceux qui affirment que le RCT est le plus grand club de tous les temps ! Mais qui a dit ça. A ma connaissance personne ! Il a juste été affirmé par tous les commentateurs objectifs que ce qui venait d’être réalisé est un exploit ! Ce qui n’est absolument pas un jugement ou quelque chose de subjectif puisque c’est quelque chose qui n’avait jamais été fait avant, c’est juste un fait !

      Ce monsieur a bien le droit d’écrire ce qu’il veut mais j’ai aussi le droit de choisir de ne plus le lire ! Et de ne plus lire le journal qui l’emploie !

  12. Molinari 7 mai 2015 at 14h- Répondre

    Apparemment, d’après ce torchon, la génération 80 n’a jamais existé. Mais le plus marrant, c’est que parmi les principaux concurrents de Lourdes, Béziers et Toulouse durant leurs périodes respectives de domination, une équipe ressort de façon récurrente : Toulon ! Si ça n’est pas la preuve d’un club inscrit durablement dans le haut du panier…

  13. David60RCT 7 mai 2015 at 14h- Répondre

    « Pour s’inscrire dans l’histoire, il faut rester au moins dix saisons au sommet »

    Euh c’est inscrit dans la loi ? Ou dans le règlement IRB ? Parce que réaliser ce que personne n’a jamais réaliser c’est quand même marquer l’histoire.

    On connait le gagnant de la première coupe du mon de foot: l’Uruguay mais les suivants ? Dans 20/30 on se souviendra encore que le premier club a avoir réaliser le tripler c’est Toulon.

    Sinon comme le disait Moumou y’a pas longtemps à propos de son soit disant groupe de mercennaire. Il disait que ce qui les faisaient vibrer, ce qui compter c’était de vivre des choses ensemble !

    DONC moi je m’en fou de ce torche cul, de ce qu’en dise le reste du monde, ça fait un ans seulement que je suis FAN de Toulon et j’ai découvert ce que voulait véritablement dire « être fan ». C’est bien pour cela que j’ai était heureux de vivre cette finale depuis Londres, un souvenir qui restera graver à vie dans ma mémoire. Et rien que pour ce bonheur transmit: Merci !

    • vince3004t 7 mai 2015 at 22h- Répondre

      Absolument d’accord ! En fait, je me contrefous de savoir si les autres pensent que le RCT est rentré dans l’histoire et a réalisé un exploit !

      Ce qui est sûr, c’est que dans 20-30 ans, moi je m’en souviendrai encore de ces émotions vécues et ressenties grâce au club et aux joueurs ! Comment je pourrais oublier par exemple, les cris poussés et la joie ressentie en assistant à l’interception d’Habana et l’essai qui libère tout un stade de la tension et du stress en demie finale ? Comment oublier cet essai magnifique presque sorti de nulle part de Mitchell presque sous mes yeux à Londres ?

      Donc, pour moi, cette équipe a marqué mes souvenirs à jamais ! Et je crois que c’est bien le plus important, pas ce que pense ce pseudo-journaliste qui se croit important et a l’impression d’être le seul à détenir la vérité !

  14. szturma 7 mai 2015 at 15h- Répondre

    escot tu n es q un mange merde tu nuis au rugby !!!!

  15. la Daurade 7 mai 2015 at 15h- Répondre

    Le brave Richard Escot est un de ces dinosaures restés à l’ heure du rugby d’ autrefois celui des clochers . celui des chocs Mazamet la voulte . des commentaires de Roger couderc à ceux du grand Pierre salviac . de ce sport qui méprisait les néophytes et dont les élites à pardessus n’ avait rien à envier au Politburo et au système soviétique . Ah le rugby d’ antan …disait jacques verdier et richard Escot . celui ou la nouveauté était honte et l’ immobilisme roi . combien de joueurs talentueux sacrifiés car issu de club peu recommandable . combien de magouilles de M Ferrasse et consorts . chaque époque à eu ses héros , Lourdes dans les années 40 et 50 , beziers en 70 et Agen Toulon Toulouse pour les années 80 (belle ellipse M. escot d’ oublier les 3 finales du RCT en 85.87.89) , etc . mais Monsieur Escot oublie que le professionnalisme dans le rugby a 20 ans cette année . Que Toulon est un club professionnel qui fait rêver au moins les toulonnais et c’est déjà beaucoup par les temps qui court . je préférè 100000 toulonnais heureux comme un soir de bal à un vieux journaliste aigri à l’ équipe . M escot c’est le vieux du 3éme on sait qu’ il existe on sait qu’ il rabâche les même choses qu’il a 50 ans mais au fond il fait pitié et plus personne l’ écoute et la vie continue .

    • Fuser 7 mai 2015 at 16h- Répondre

      Excellent résumé du monde du rugby en pardessus… L’équipe a toujours été bon pour dezinguer les gagnants, et avait même réussi un tour de force en descendant pendant longtemps monsieur Jacquet, avant qu’il leur cloue le bec un magnifique soir de juillet 98..

  16. lalatsointsoin83 7 mai 2015 at 15h- Répondre

    C’est sûr qu’à Toulouse, à Lourdes et encore moins à Béziers on ne va s’identifier au RCT. Mais ailleurs, à Brest, à Strasbourg, à Paris même, ben ils font comme tout le monde, ils s’identifient à ceux qui gagnent…
    Ah oui mais c’est vrai que ces gens-là n’appartiennent pas à la seule zone géographique de l’univers qui définit et respecte les « valeurs » du rugby.
    P…, les blacks ont copié Toulouse, fallait la trouver celle-là !C’est sans doute pour ça qu’on gagne tant de Coupes du Monde, particulièrement quand des toulousains la dirigent !

  17. blindness 7 mai 2015 at 15h- Répondre

    En faite Toulon existe depuis 3 ans. Les Herrero, Champ, Diaz, Louvet, Gallion et autres n’ont jamais joué au rugby. Je me coucherais moins con ce soir. Merci Me Escot.

  18. Valescure220 7 mai 2015 at 15h- Répondre

    Pauvre journaliste , j’ai même pas lu jusqu’ à la fin tellement cet article est incompréhensif, et nul .Du charabia , je n’ai pas envie de de me faire mal aux neurones à décrypter autant d’incohérences

  19. ovalie 7 mai 2015 at 15h- Répondre

    Il faut expliquer une fois pour toute à ce Mr Escot que nous sommes en 2015.
    Que le rugby est professionnel, que les clubs sont des entreprises que le temps de jeux effectif à doublé, que la terre tourne et que l’on gratte plus du silex depuis longtemps !!!!
    Il faut comparer ce qui est comparable.
    Sa vision du rugby est passéiste et sa rancœur lui enlève toute déontologie et objectivité.
    Il jurerais sur la bible que Clair, fritz, pelous, jauzion, haymans, Bouillous, David…. sont des purs produit de la formation toulousaine alors qu’il ont tous été rafflés à leur club formateur.
    Laissons le cracher son venin si ça lui fait plaisir à nous ça nous fait gagner des titres

  20. ouild 7 mai 2015 at 15h- Répondre

    Un seul mot me vient en lisant la prose de ce sous-journaliste : Anus.

  21. Motorolex 7 mai 2015 at 16h- Répondre

    Il faudrait demander au clermontois si la Hcup est moins importante que le brennus
    Pourquoi tant de haine sur le RCT , il a été violé dans son enfance à Toulon ? Sinon pourquoi ?
    Pour faire une cronique aussi sale il faut etre diplômé de psychopathologie comme je viens de voir sur son portrait de laid
    Virer ce mec de l’équipe il va vous causer du tord

  22. pop75 7 mai 2015 at 16h- Répondre

    il n a pas honte d’écrire un tel article?

  23. garry38 7 mai 2015 at 16h- Répondre

    Autre temps autres moeurs…
    Le Lourdes de la grande époque ? TOULON aurait pu y mettre fin lors de la finale de 68 perdue sur tapis vert pour des raisons « mai soixantehuitarde » et autres contraintes de l’époque, le grand Béziers des années 70 ? il n’aurait peut être jamais eu cette hégémonie si la finale de 71 perdue bêtement n’avait pas donné suite à la scission d’une équipe toulonnaise (11 joueurs…) à l’aube de sa gloire
    cette diaspora vers NICE, cette trahison – ça a déchiré des familles, des amitiés…une ville .On était du clan HERRERO ou anti comme on avait pu être DREYFUSARD ou pas…
    Bref je ne vais pas comme ce journaleux réécrire l’histoire mais comment peut on aujourd’hui se livrer à la moindre comparaison avec ce rugby d’il y a un demi siècle ?
    Vous avez déjà visionné des images des rencontres des années 50, 60…faites vous plaisir – regardez une finale Dax Mt de Marsan où sous les yeux de l’arbitre et par derrière un joueur est descendu sans que ça ne provoque la moindre sanction, et ses gazelles lourdaises qui pesaient 70 kg avec deux crochets une feinte de passe ils envoyaient toute la défense adverse dans les tribunes …sauf que 80 pour cent du temps c’était mélée, touche, en avant… et je recommence…
    faites vous plaisir visionner le match « du siècle » FRANCE AFSUD de 1963 un beau match nul zéro à zéro, une constellation de joueurs du cru et des mélées, des touches en avant
    faites vous plaisir visionnez l’autre match du siècle FRANCE NZ de 86 à NANTES, une référence … des joueurs plus proches de notre génération et puis quoi … des touches, des mélées…
    M. ESCOT ou ESCROC c’est quoi votre prochain article : « au moins l’avion de BLERIOT qui traversa la manche ne polluait pas l’atmosphère… »

  24. Tomprice83 7 mai 2015 at 16h- Répondre

    On peut y rajouter le père SALVIAC, a eux deux, ils font la paire !!!!!!

  25. areuh83 7 mai 2015 at 16h- Répondre

    Visiblement ce type doit souffrir depuis quelques années de voir le RCT réussir ce qu’il entreprend.
    Ce type est figé dans le passé, un conservateur, un réactionnaire comme on dit.
    Comme si en foot, on comparait le Stade de Reims avec les équipes de maintenant.
    Lourdes champion en 1948, 1952, 1953, 1956, 1957, 1958, 1960, 1968…il y a donc 47 ou 67 ans, donc les gens qui ont vu cette équipe ont entre 67 et 87 ans (âgés de 20 ans à l’époque) à une époque où le rugby était un sport confidentiel du sud-ouest.
    Béziers était une équipe horrible à voir jouer, un jeu étriqué d’avants monolithiques, un 9 qui jouait avec les 8 de devant et avec un 10 qui tapait en touche directement car c’était permis à l’époque. Quel magnifique spectacle…
    Ah, c’était mieux avant…

  26. LAURENT 7 mai 2015 at 17h- Répondre

    ESCOT va te faire une soupe de piades!!

  27. david 7 mai 2015 at 17h- Répondre

    https://twitter.com/richardescot
    @RichardEscot
    pas un mot pour féliciter le 3eme titre
    par contre pour balancer il est fort

  28. Lionel 7 mai 2015 at 18h- Répondre

    La France ce beau pays où la réussite est considérée comme une infamie, si elle n’émane pas du « milieu » qui compte. Je ne connais pas les journaux sportif des autres pays, mais je ne pense pas qu’on y dézingue autant la réussite. Pour une fois qu’il y a quelque chose de beau dans cette période de misère sociale et sportive (à part le Hand-ball qui lui aussi ne jouit pas d’une grande reconnaissance à l’échelle nationale), et bien tout ce qu’on trouve à faire c’est de brûler, salir et minimiser cet exploit.
    Putain quel pays de merde, il finalement raison le père Ibramimovich.
    Ce que vient de pondre ce monsieur est abject et indigne d’un journaliste sportif qui crache sur une équipe française pourtant reconnue dans le monde. J’étais il y a deux ans et quelques uns ont reconnus mon polo du RCT. Bref reconnu à l’étranger, haïs en france… c’est navrant et ça fait pitié.

  29. richardbiscot 7 mai 2015 at 18h- Répondre

    Il n’a pas tort sur toute la ligne. Certes comparer les époques ne sert à rien ! mais il est évident qu’une HCUP ou équivalent ne vaut pas un titre de champion national. Et pour cause, comme l’a dit MB lui même, une poule abordable, un quart et une demie à la maison, et te voilà déjà en finale ! après il faut la gagner, c’est sur. Pour cela, nos joueurs ont de l’étoffe, de l’expérience, de la camaraderie (le gros plus)…et la chance collée aux basques. En plus, sans vouloir minimiser notre performance, tu gagnes 2 fois contre les éternels seconds au mental de cristal… Donc un titre de top 14, sur la distance, à également à mes yeux plus de saveur !

  30. starlette 7 mai 2015 at 19h- Répondre

    ne pas oublier qu’à une certaine époque les arbitres avantageaient les équipe du sud ouest et les quelques finales que nous avons disputées,que ce soit contre lourdes,béziers ou toulouse ont toutes étés arbitrées de cette façon!
    les choses ont évoluées mais le rct,si il remporte un brennus,il faut qu’il soit deux fois plus fort que son adversaire.
    ce n’était pas le cas pour lourdes,béziers,le st,le sf,ou encore biarritz!
    je ne suis pas en train de dire que ces clubs ne dominaient pas le championnat chacun à son époque…non!je dis simplement que c’est plus dur pour les clubs qui ne sont pas estampillés  » sud ouest » et plus dur pour le rct en particulier!

  31. thouvdan 7 mai 2015 at 19h- Répondre

    Dans 30 ans et au delà on parlera encore de l’exploit réalisé par le RCT, qui se souviendra du torche-cul dans les jours à venir?? Je plains le patron de l’Equipe d’avoir à payer des pseudo journalistes pour vendre du papier. Avec un peu de chance demain il nous fait l’identique entre Fandjo et Hamilton…..Les aigris ON LES EMMERDE!!!!!

  32. Jp083 7 mai 2015 at 20h- Répondre

    Article et auteur de ce brûlot d une autre époque. Perso il peut raconter ce qu il veut, toulon est et restera à jamais un club de légende. Et ce n est pas fini. Parceque toulon reste sûr de ses joueurs et de son peuple.

  33. ahmed41200 7 mai 2015 at 20h- Répondre

    Moi à la place de Mourad je demanderais au joueur et entraineur de boycotter les interwiew de cette merde de journal comme la fait le psg à canal plus et ça a bien calmé canal plus

  34. T-max 8 mai 2015 at 08h- Répondre

    :pissedoff: Alors lui, c’est nuisible de chez nuisible, alors hop un coup de « Baygon » et on l’élimine comme les autres CAFARDS de son espèce.