Terrible colère dans les rangs du Stade-Français : « Il y a de la colère, j’ai honte ! »

Terrible colère dans les rangs du Stade-Français : « Il y a de la colère, j’ai honte ! »

Le lundi 28 avril 2025 à 0:32 par David Demri

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Ce dimanche soir, le Stade-Français Paris a pris une énorme claque contre le Racing 92, à l’occasion de la 22ème journée du Top 14.

Les Parisiens se sont inclinés sur le score de 49 à 24.

Il s’agit d’une défaite très inquiétante pour le Stade-Français qui va devoir se battre pour se maintenir en Top 14.

Interrogé via L’équipe à l’issue de la rencontre, le manager Paul Gustard a exprimé sa colère.

Il avoue avoir honte. Extrait:

« Il y a de la colère, j’ai honte (il le répétera trois fois). Pour le club, pour le staff, pour les joueurs qui n’ont pas joué. On ne peut pas jouer comme ça pendant 40 minutes en seconde période. Désolé, je suis en colère… »

Le troisième ligne Sekou Macalou enchaine. Extrait:

« On a été inexistants en deuxième mi-temps. On a laissé le Racing revenir et ensuite, c’est trop compliqué. Il faut chercher les solutions. Bien jouer en première mi-temps ne suffit pas. On s’est loupés. On n’a pas le choix que d’aller chercher des points. »

L’ailier Parisien Lester Etien conclut. Extrait:

« On manque de constance, d’agressivité sur 80 minutes, c’est compliqué quand tu subis. Quand ils marquent, il n’y a pas de révolte. On n’a pas fait le boulot. Ça fait mal, mais il faut se relever. Il reste 4 matches. La relégation, on ne veut pas que ça arrive. Mais c’est dans l’ADN du Stade Français : quand personne n’y croit, on le fait. »

Le troisième ligne Ryan Chapuis n’arrive pas à comprendre la faillite collective de son équipe. Extrait:

« Je ne sais pas quoi dire. Je ne sais pas comment expliquer notre deuxième période. On est devant à la pause, on se sent bien, on les domine. Et puis, on fait un nombre de fautes incalculable. Ils reviennent dans le match, et ensuite c’est un engrenage… On prend une fessée ce soir, c’est très frustrant.

Je pense que dans la tête, ça joue pas mal (la crainte du maintien, N.D.L.R.). Notre situation nous rajoute pas mal de stress et on n’arrive pas à le gérer. Il va falloir régler ça car il ne reste plus que quatre matchs et c’est urgent. »

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1 Commentaire

  1. Gers Connexion 28 avril 2025 at 07h- Répondre

    Si Lyon se qualifie, il aura peut être encore + honte ….