Stuart Lancaster répond aux critiques concernant son fils Dan

Stuart Lancaster répond aux critiques concernant son fils Dan

Le vendredi 1 novembre 2024 à 9:29 par David Demri

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Le manager du Racing 92, Stuart Lancaster a accepté de se livrer via L’équipe.

Ce-dernier a notamment évoqué sa décision de rejoindre le Racing 92.

Il ne le cache pas : rejoindre le Racing 92 n’a pas été le choix de la facilité. Extrait:

« J’étais heureux au Leinster mais j’ai été attiré par le défi de transférer mon expérience ici, au Racing 92. Ce n’était pas le choix de la facilité, le Top 14, c’est un énorme défi. »

Il a également évoqué sa grosse proximité avec l’ouvreur Owen Farrell. Extrait:

« On a partagé un tas de moments importants. J’ai coaché l’Angleterre à cinquante reprises et de mémoire, je l’ai sélectionné pour la grande majorité des matches. Ça a été très simple de se reconnecter, comme si on ne s’était jamais quittés. Il connaissait notre façon de travailler, il est venu ici en confiance. Rien n’est plus frustrant pour un joueur que d’arriver dans un club désorganisé avec des entraînements indigents. »

L’été dernier, Stuart Lancaster a recruté son fils Dan Lancaster.

Depuis le début de la saison, ce-dernier enchaine les matches malgré un niveau poussif, ce qui questionne de nombreux observateurs.

Stuart Lancaster a répondu aux détracteurs. Extrait:

« Je serai curieux que vous interrogiez les autres joueurs à ce sujet. J’entraîne Daniel depuis qu’il a 5 ans. Notre relation ne change pas. Le fait qu’il soit mon fils ne m’impose pas de mettre une distance. Ni l’inverse. Mon comportement avec lui est le même qu’avec les autres joueurs, tous sont semblables dans ce que j’investis en eux. Dan a surtout besoin de se prouver à lui-même et aux yeux de ses coéquipiers qu’il est un bon joueur. »

Pour conclure, Stuart Lancaster affirme essayer d’apprendre le Français pour mieux pouvoir échanger avec ses joueurs. Extrait:

« Durant les vacances, j’ai enchaîné une quinzaine de leçons de français et je prends deux leçons de deux heures hebdomadaires. Pour faire le bon débrief d’un match, un lundi matin, devant quarante-cinq joueurs, il faut beaucoup de nuances dans l’expression. »

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