Stuart Lancaster encense un jeune du Racing 92, grand espoir du rugby Français

Stuart Lancaster encense un jeune du Racing 92, grand espoir du rugby Français

Le dimanche 7 janvier 2024 à 11:20 par David Demri

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Ce samedi, le Racing 92 a rencontré de grosses difficultés pour s’imposer à domicile contre le Castres Olympique (34-30).

Interrogé via Midi Olympique, le manager Francilien Stuart Lancaster est revenu sur les difficultés rencontrées par ses joueurs. Extrait:

Au départ, on était en contrôle du match mais notre pauvre discipline leur a permis de revenir au score, pénalité après pénalité. Ce n’était pas idéal. In fine, nous sommes heureux de cette victoire bonifiée mais sommes aussi conscients de la masse de travail qu’il nous reste à accomplir.

Il n’a pas manqué de dire le plus grand bien du jeune ouvreur Martin Méliande qui a fêté sa première titularisation contre le CO. Extrait:

Pour être franc, je ne connaissais pas Martin avant que je ne débarque ici, l’été dernier. Au fil des semaines, il se développe pourtant devant mes yeux et il est parvenu à passer très rapidement de la catégorie Espoirs au Top 14. On compte sur lui et tout le crédit lui revient. […] Quand les jeunes s’entraînent bien, il est naturel de leur donner la chance : ça crée de l’émulation, ça pousse les anciens à s’entraîner davantage.

Il évoque ensuite la forme de Nolann Le Garrec. Extrait:

Nolann a fait les gros titres depuis le début de la saison. Quand il est à son meilleur, il est très bon sur les bases du poste mais je l’encourage au quotidien à rester concentré sur ça. Tout le monde connaît son côté « facteur X » mais pour être un joueur international, il faut être parfait sur les bases. Il a encore du travail à réaliser là-dessus.

Pour conclure, Stuart Lancaster affirme avoir apprécié la prestation de son paquet d’avants. Extrait:

Cela me réjouit. Dimitri Szarzewski travaille dur pour faire progresser notre paquet d’avants. Nous sommes d’ailleurs en haut du classement sur les touches, qu’elles soient offensives ou défensives. Mais pour être honnête, on a encore des progrès à accomplir en conquête : la touche et la mêlée sont des secteurs capitaux en Top 14. Et j’ai participé à trop de matchs où ces deux secteurs décidaient du sort de la rencontre : en conquête, être bon ne suffit pas. Il faut être de classe mondiale.

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