Sébastien Boboul : « Je ne sais pas ce que ça a rendu à la télé ou dans les tribunes… »

Sébastien Boboul : « Je ne sais pas ce que ça a rendu à la télé ou dans les tribunes… »

Le lundi 16 septembre 2024 à 9:11 par David Demri

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Ce dimanche soir, le Stade Rochelais s’est incliné sur la pelouse du Stade-Toulousain à l’occasion de la 2ème journée du Top 14.

L’entraineur adjoint des Maritimes, Sébastien Boboul a expliqué via Midi Olympique pourquoi son équipe n’a pas été en mesure de s’imposer face à Toulouse. Extrait:

On n’est pas sortis de notre camp. On a deux touches dans nos 22 mètres, deux touches perdues, donc on est restés tout le temps sous pression. On a jamais eu le ballon, et dès qu’on l’a eu on était en difficulté sur les zones de ruck. Ils nous plaquaient bas, avec de gros gratteurs.

On avait besoin d’une réaction en début de deuxième mi-temps parce que même si on marque un essai en première période, on n’était pas satisfaits de l’engagement que l’on y a mis. On subissait toutes les collisions, notamment défensives. À chaque fois Toulouse était dans l’avancée, et quand ça se passe comme ça, ils sont difficiles à arrêter.

Donc on avait besoin de cette réaction, elle a eu lieu, mais on reste frustrés parce qu’on a répété toute la semaine qu’il fallait qu’on joue 80 minutes, ça n’a pas été le cas. Même quand on repasse devant on est à nouveau sous pression et on n’arrive pas à sortir de notre camp. Eux marquent quasiment à chaque fois. Un carton jaune, 10 points, contre ces équipes-là c’est difficile.

Il précise cependant que tout n’est pas à jeter suite à cette défaite. Extrait:

Oui, il y a eu de l’engagement, tout n’est pas à jeter, mais on reste encore sur notre faim et encore frustrés. Avec un peu plus d’engagement en première mi-temps, en les faisant tomber plus rapidement… Contre cette équipe-là, on ne peut pas avoir la moindre errance défensivement.

Je ne sais pas ce que ça a rendu à la télé ou dans les tribunes. Il y a eu de l’engagement, des essais, donc les gens étaient contents mais nous pas forcément.

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