Le demi-de-mêlée du Castres Olympique, Rory Kockott s’est confié dans les colonnes du Midi Olympique à l’approche du barrage de Top 14 contre le Rugby Club Toulonnais.

Ce-dernier s’attend à un match coriace face au XV de la Rade. Mais il rappelle que comme toutes les équipes du championnat, les Varois ont des points forts et des points faibles. Extrait:

« Il faut se rendre à l’évidence : si tu veux remporter un titre, il faut battre les meilleurs. Toulon fait partie de ceux-là. Quand tu regardes leur bilan sur les quatre dernières années, ils ont été trois fois champions d’Europe. Pas besoin d’en rajouter. Cela montre le match qui nous attend. Après, les Toulonnais sont comme tout le monde. Ils ont des forces et des faiblesses. Bon, il est certain qu’ils compte plus de points forts que de points faibles… Mais il existe des petites failles dans lesquelles nous pouvons placer des espoirs, même si ces failles sont infimes. »

L’international Français se remémore d’ailleurs de la finale du Top 14 remportée contre Toulon en juin 2013. Extrait:

« Quand je revisionne la finale, c’est la différence entre le rugby que nous pratiquions à cette époque et celui que nous jouons aujourd’hui qui me frappe. Cela a radicalement changé en trois ans. Après, je ne préfère pas garder un souvenir en particulier car ils étaient tous beaux : le Bouclier, le retour à Castres, etc. Je me souviens aussi de la finale perdue l’année suivante. Cela fait partie des choses que j’ai apprises dans ma carrière. On en perd des matchs dans une carrière, vous savez. À chaque fois, il faut essayer d’apprendre de nos échecs. Même si ça fait mal sur le coup, on en garde de bonnes leçons. »