Régis Sonnes quitte le Stade-Toulousain pour une destination étonnante !
Régis Sonnes quitte le Stade-Toulousain pour une destination étonnante !
Le mardi 5 mai 2020 à 21:24 par David Demri
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Le co-entraîneur du Stade-Toulousain, Régis Sonnes a décidé de quitter le club de la Ville Rose dès la fin de la saison actuelle. Ainsi, après deux saisons passées sous les couleurs Toulousaines, le technicien Français va prendre du recul.
Ce mardi soir, France Bleu nous informe que Régis Sonnes a pris une drôle de décision : s’éloigner du rugby professionnel.
En effet, ce-dernier s’est engagé avec le club de Blagnac pour entraîner les cadets. Selon France Bleu, Régis Sonnes aurait pris cette décision pour se rapprocher de son ami Christophe Deylaud qui est le manager de l’équipe première de Blagnac.
Régis Sonnes a brièvement justifié sa décision via France Bleu. Extrait:
« C’est moi qui ai proposé mon aide à Christophe. Je reste sur la région toulousaine car ma fille passe le bac l’an prochain, le choix était de rester ici. Je suis juste un coach qui veut continuer à se faire plaisir en restant dans le rugby. »
De son côté, le président de Blagnac, Benoit Trey a donné quelques détails supplémentaires. Extrait:
« Ils sont très proches avec Christophe Deylaud. En discutant, il s’est proposé. En gros il lui a dit « tu me mets bénévole, j’ai envie de redescendre. » Je pense que c’est par amitié pour Christophe et par envie d’œuvrer dans le rugby. Quand on est un amoureux de la formation, on y revient. Je pense que c’est un retour aux sources pour cet éducateur dans l’âme. Comme l’est Christophe. »
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Un mec qui vie rugby
Et dire qu’un président le comparé à Benalla
Mourad s’est excusé publiquement. Il a mal compris les propos de Sonnes, a parlé trop vite et a su reconnaître ses torts derrières.
Parcours atypique à ce niveau. Belle trajectoire faite de contre-pieds.
Régis est un vrai un pur. Il a toujours repoussé les honneurs le superflux, « la confiture » dont se nourrissent bon nombre de sportifs qui prennent pour certains le « globe » et la distance. Lui c’est quelqu’un de vrai qui n’oublie pas. Je le connais depuis sa fin d’adolescence. Je l’ai vu progresser dans sa carrière et son père doit en être fier. Bravo Régis et à un de ces jours sur la côte Basque en toute simplicité comme t’as toujours su le prouver. Jean Patrick !
De toute façon, on voit bien que certains clubs aux alentours de Toulouse sont des viviers. Ce n’est pas nouveau ?
Toulouse nourrit et après, on voit grandir de « jeunes toulousains » élevés au ST ?
Et après, Lacroix pleure ?
Respect Monsieur Sonnes!