Quand Jérémy Sinzelle a violemment recadré Baptiste Serin : « Put***, tu me casses les c***lles maintenant ! »
Quand Jérémy Sinzelle a violemment recadré Baptiste Serin : « Put***, tu me casses les c***lles maintenant ! »
Le jeudi 19 septembre 2024 à 11:21 par David Demri
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Le demi-de-mêlée international Français Baptiste Serin devrait disputer son 100ème match avec le Rugby Club Toulonnais, dimanche soir contre le Stade-Français Paris.
Arrivé au RCT en 2019 en provenance de l’Union Bordeaux-Bègles, Baptiste Serin est désormais pleinement Toulonnais.
Il s’est longuement confié via Midi Olympique pour évoquer les principaux matches qu’il a joué avec Toulon.
L’occasion pour Baptiste Serin de revenir sur la finale de Challenge Cup remportée contre Glasgow, le 19 mai 2023.
Il évoque bien évidemment un souvenir extraordinaire. Extrait:
(Il sourit) C’est encore beaucoup d’émotion et de plaisir de voir ces sourires sur cette photo. C’est un souvenir extraordinaire. C’est une première victoire ensemble, avec ce groupe, pour la dernière de Basta et de Sergio Parisse. Basta prend le dernier titre qui lui manquait. Je suis content d’avoir participé à ça. On pourra dire aussi qu’on a amené le dernier titre qui manquait au club. Elle fait plaisir, je me rappelle aussi des larmes de Ches Kolbe qui avait vécu une saison difficile.
Pourtant, tout avait très mal commencé pour Baptiste Serin, à l’approche de ce match. Extrait:
Il y a tellement de trucs qui m’ont marqué dans ce match et cette semaine en Irlande. Je me blesse et je sors à la pause. Je suis persuadé d’avoir quelque chose de grave. Je n’avais jamais vécu cette sensation d’avoir un genou bloqué. C’est un résumé d’une semaine où je ne me suis pas bien senti (sourire). J’avais des gens qui comptent au stade, mais il n’y avait pas ma mère. Elle n’est pas venue parce qu’elle a la phobie de l’avion, et je suis sûr que c’est ça qui m’a occasionné des merdes. Je me bloque le cou là-bas, je ne me sens pas en jambes alors que j’étais bien.
Il affirme s’être fait remettre en place par Jérémy Sinzelle juste avant le match. Extrait:
À la mise en place, Sinzelle est venu me choper en me disant : « Putain, tu me casses les couilles maintenant. Tu ne souris pas, tu amènes tout le monde dans le négatif. Ce n’est pas bon ! » Je me suis mis à pleurer sur le terrain. La Sinz a été super important pour moi lors de cette semaine. J’avais un trop-plein avec ce mal de cou, ma mère qui m’a pris la tête. Je ne me sens pas libéré. Je me dis qu’il y a quelque chose qui ne tourne pas, puis tu te dis que tu en perds deux avant. Mais vraiment, et je pense qu’elle le sait, l’absence de ma mère m’a contrarié. Je suis proche de mes parents, et je n’ai pas appelé de toute la semaine. Je voulais qu’elle soit là. Ça m’a affecté.
Pierre (Mignoni, NDLR) et Franck (Azéma, NDLR) avaient réalisé des vidéos avec nos familles, et j’entends ma mère à ce moment-là. Je pleure encore… Donc ouais, ça m’a miné qu’elle ne vienne pas. C’était chargé au niveau des émotions, mais le match a été sympa à vivre.
En revanche, l’après-match a été plus agréable pour lui. Extrait:
L’après-match a aussi été marrant (rires), ça restera là-bas. Mon père m’a un peu forcé à prendre ma mère au téléphone durant la soirée, puis elle était à Toulon le lendemain pour fêter ça. C’est un super souvenir, même si je manque le match face à Bordeaux-Bègles la semaine d’après (sourire).
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À part ouvrir le clapet, il fait quoi sinzelle ? Des fautes, des passes de merde et certains vont encore lui trouver des qualités de joueur …
Il y a de h de trop dans ton pseudo
Et toi Chacha, tu fais quoi ? Hormis dézinguer gratuitement des personnes dont tu n’as pas le dixième des qualités ?