Pierre-Henry Broncan en admiration devant le Stade-Toulousain
Pierre-Henry Broncan en admiration devant le Stade-Toulousain
Le dimanche 24 octobre 2021 à 8:35 par David Demri
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Samedi soir, le Castres Olympique a pris une claque contre le Stade-Toulousain, au Stade Ernest-Wallon, à l’occasion de la huitième journée du Top 14.
En effet, les Tarnais se sont inclinés sur le score sans appel de 42 à 00.
Interrogé à l’issue de la rencontre via Rugbyrama, le manager du CO, Pierre-Henry Broncan n’a pu que constater la différence de niveau entre son équipe et le Stade-Toulousain.
Il peste contre l’entame catastrophique de ses joueurs.
Il espère désormais que cette lourde défaite permettra à son équipe de rapidement rebondir et grandir.
Pour Pierre-Henry Broncan, il est clair qu’il n’y avait pas grand chose à faire contre ce Stade-Toulousain. Extrait:
« Ce soir, on est tombés sur une magnifique équipe, très bien en place et sûre de son jeu. On a réalisé une entame catastrophique et avec quinze points d’écart après seulement un quart d’heure de jeu, c’est compliqué d’exister. À 17-O, on a eu l’occasion de marquer des points mais on a manqué de précision dans tous nos gestes.
Il faut tout simplement se servir de cette lourde défaite pour grandir et préparer au mieux la réception de Brive la semaine prochaine. Ce qui me rend triste, c’est que paradoxalement les joueurs ont été présents dans le combat. Ils n’ont jamais baissé la tête malgré l’ampleur du score. Malheureusement, il n’y avait pas grand chose à faire face à ce Toulouse-là. Quand vous voyez le match d’Antoine Dupont… Il est vraiment au-dessus du lot. À chaque fois qu’il touche le ballon, il se passe quelque chose.
On peut dire que ce soir, on a joué les véritables champions d’Europe, et ça fait mal à l’arrivée. On va avoir mal à la tête ce samedi soir et demain, mais il faut vite repartir au travail et avancer. »
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Une des plus grosse équipe depuis celle de Toulon de 2014, impressionnants de maîtrise,chacun sait et fait ce qu’il doit faire.
Ils sont ,je pense,partis pour dominer les débats pendant ces prochaines années !
Ne pourrait on pas entendre , on avait envie de remettre les pendules à l’heure , plutot que systématiquement le fameux on avait à coeur sinon toulouse en grande equipe à de nouveau exprimé son enorme potentiel et beaucoup de toulousains devraient être titularisés en edf contre l’argentine . Mon edf à moi
Ramos penaud fickou n’tamack lebel jalibert dupont jelonch woki cros willense flament bamba marchand j baille rempls : gros mauvaka atonio ou hounkpatin verhaeghe alldritt ou macalou couilloud vakatawa buros ou dulin ou jaminet
Ce pauvre *Pierre-Henry* que j’apprécie tellement !.. Effectivement , après une telle leçon de rugby reçue , il peut vraiment l’être , en admiration !.. Car qui encore hier soir n’aurait pas été vaincu sur ce stade *d’Ernest -Wallon* !.. Ma foi , c’est cela être Champion .!.. Puis voilà tout . A chacun d’essayer dans ce dur TOP14 de prendre exemple . Encore Bravo à cette formidable équipe qui de nouveau hier soir nous aura fait rêver le temps d’une rencontre . Merci à eux !..
Bravo à l’entraîneur de castre pour sa sportivité et qui ne cherche pas d’excuse,comme beaucoup d’équipe le font quand il perde contre le stade,en evoquant un arbitrage pro toulousain,une mafia cassoulet et je ne sais plus quoi comme ânerie..
Une nouvelle fois, c’est l’engagement (féroce) « devant », qui aura fait la différence… Après, tout est plus simple « derrière », surtout en « suivant » Dupond !!!
Tout à fait, le rugby se joue d’abord devant! Les 3/4 ne sont là que pour distribuer le jeux et finir les actions!
Dommage pour lui mais c’est un peu de « sa faute » car il a contribué à améliorer le niveau du ST lors de son passage. Il mérite de manager un autre club car c’est un excellent technicien. Je le verrais bien au RCT…Je suis triste pour lui mais quand même heureux de la branlee prise par les castrais car ils vont arrêter de nous chambrer sur les quelques défaites qu’ils nous ont infligé et aussi parceque c’est l’équipe la plus chiante à jouer. Et aussi pour moins entendre la charnière infernale Cockott et l’argentin au nom difficile à écrire, celui qui balance son bras pendant une heure à chaque pénalité…