édifiant l'article. 🙁 🙁

Max Guazzini porte plainte pour escroquerie. (extraits)

(…) »On a été entraînés par la chute de Sportys, notre régie publicitaire, qui s’engageait, depuis 2005, à nous trouver des sponsors à hauteur de 6 millions d’euros par an, mais qui, sans nous avertir, s’est révélée défaillante », racontait alors Max Guazzini.

Le 11 janvier, l’ex-patron du Stade français est passé aux actes en portant plainte devant le tribunal de grande instance de Paris pour abus de confiance, banqueroute par détournements d’actifs et escroquerie. Cette action en justice succède à une première plainte, déposée le 19 décembre 2011 par un autre club, de football celui-là, le Stade de Reims, devant le tribunal de la ville, pour escroquerie, abus de confiance et recel. Les deux plaintes, déposées contre X, visent implicitement Bruno Molinas, le patron de MKMG, la holding qui chapeaute Sportys. Selon les plaignants, MKMG aurait sciemment détourné des fonds qui leur étaient contractuellement destinés.

Jusque-là, Sportys, agence de marketing sportif, était l’un des fleurons français d’un secteur en constante expansion. Un hôtel particulier dans le 16e arrondissement de Paris et une clientèle rutilante : la Ligue nationale de rugby, des clubs du Top 14 comme le Stade français, Perpignan, Biarritz ou le mythique Stade de Reims, qui évolue cette saison en Ligue 2. Sportys affiche alors un chiffre d’affaires de 20 millions d’euros par an. Ses prestigieux associés sont rassemblés sous l’acronyme MKMG : Bruno Molinas, ancien dirigeant d’Havas Sport, Serge Kampf, fondateur de Cap Gemini et mécène aussi discret que généreux du rugby français, Matthieu Maillot, ex-directeur d’Orangina-Schweppes et Fabien Galthié, ancien international de rugby, actuel entraîneur de Montpellier et commentateur vedette sur France Télévisions.

(…)

Où est passé cet argent ? Pour les plaignants, en partie dans le financement d’un domaine viticole bourguignon à l’exploitation déficitaire, acquis en août 2008 par Bruno Molinas, originaire de la région. Sans prendre soin, semble-t-il, d’en avertir ses associés. « Je l’ai découvert après coup », indique au Monde Serge Kampf, qui a démissionné de ses fonctions d’administrateur le 7 avril 2011.

(…)

M. Molinas (…) ‘ami des puissants du rugby se sent aujourd’hui « bien seul » et assure qu’il a « tout perdu ». « La conjoncture économique et la perte de vitesse du Stade Français nous ont mis en difficulté, poursuit-il. J’ai aussi commis des erreurs stratégiques, que j’assume. Mais je ne me suis jamais enrichi personnellement. J’espère qu’il y aura une instruction qui me permettra de rétablir la vérité. »

Bruno Molinas est lié jusqu’en juillet 2012 par un contrat de consulting à Amaury Sport Organisation (ASO) – propriétaire notamment de L’Equipe, du Parisien et du Tour de France -, qui a repris les actifs de Sportys après sa liquidation. (…)

les valeurs les valeurs….paroles paroles paroles paroles !!!!!!!!!

le pouvoir le pouvoir le pouvoir………..oui ms le pouvoir avec le pognon qui en découle !!!

tous ces puissants qui sont choqués de la formule sodomie arbitrale …un vrai foutage de gueule !!!!!!! made in FFR et LNR pour garder le bouclier dans leur giron !!!!!!