Nolann Le Garrec brise le silence sur sa simulation ridicule : « Je reçois un coup d’épaule dans le visage »
Nolann Le Garrec brise le silence sur sa simulation ridicule : « Je reçois un coup d’épaule dans le visage »
Le mardi 22 avril 2025 à 19:31 par David Demri
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Au cœur d’une vive polémique depuis samedi, Nolann Le Garrec a décidé de sortir du silence. Le demi de mêlée du Racing 92, mis en cause pour une réaction jugée excessive face à Perpignan, a présenté ses excuses publiques ce mardi soir et s’est justifié.
Lors du choc entre Perpignan et le Racing 92 (28-24) à Aimé-Giral, une scène a enflammé les réseaux sociaux à la 70e minute. Après un contact léger avec le pilier de l’Usap, Bruce Devaux, Nolann Le Garrec s’est effondré au sol, provoquant l’incompréhension de nombreux observateurs.
Si le joueur francilien a inscrit neuf points dans cette rencontre, ce sont ses gestes qui ont attiré l’attention, au point d’être comparé à Neymar pour son « plongeon ».
L’ancien arbitre international Nigel Owens a même réagi avec fermeté sur la séquence : « Il a eu de la chance que je ne sois pas l’arbitre sinon il aurait reçu un rouge direct, sans hésitation. »
Trois jours après les faits, Nolann Le Garrec a tenu à revenir sur l’action et à présenter ses excuses au corps arbitral.
Pour Midi Olympique, il a d’abord évoqué la confusion vécue sur l’instant. Extrait :
« Je voulais revenir sur la situation de mon contact à la tête et ma réaction inadéquate. Sur le moment, je reçois un coup d’épaule dans le visage de la part du pilier de l’Usap et je ne perçois pas du tout si c’est volontaire ou non. Sur l’instant, je ne sais pas si c’est de la nervosité de sa part ou pas. À ce moment-là du match, la tension était importante et nous venions d’ailleurs de recevoir nous-même un carton jaune pour contact à la tête. »
Après analyse des images, Nolann Le Garrec a reconnu son erreur. Extrait :
« Toujours est-il que je n’ai pas su comment réagir à ce coup d’épaule. Après avoir revu les images, je vois bien que ce geste était complètement involontaire de la part du pilier. Je m’excuse auprès des arbitres du match ! Je n’ai voulu manquer de respect à personne. Ce n’est pas dans mes habitudes. »
Pour rappel, la vidéo de l’action :
Shameful dive from Nolann Le Garrec, but good to see the referee was having none of it! pic.twitter.com/j2RvEqStJj
— Jared Wright (@jaredwright17) April 20, 2025
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Mais tais toi ! La tu t’enfonces encore… On dirait un politique qui vent s’expliquer sur les plateaux télé après une fraude fuscale
Je pense qu’il sera bien accueilli dans les stades…..guignol.
Le rugby, c’est des tampons, pas des simulations. Le voir s’écrouler comme s’il avait pris une charge de Botha, pour un frôlement… ça pique les yeux.
On est loin des valeurs : respect, combat, droiture.
Faut pas oublier d’où vient ce sport.
Prochain match ? Prévoir un tuteur pour l’équilibre, parce que là… ça tangue sec !
Le prochain match, une vraie mandale dans sa tronche comme ça il verra vraiment comment ça fait, on pourra comparer les plongeons si ils sont les mêmes…. Mouarffffff
Bon t’avais pas besoin non plus de t’ecrouler et de faire une simu à la Neymar.
Cela me rappelle la simulation de Tauzin au vélodrome.
Bon après il a fait une erreur et je pense que cela lui servira de leçon.
Eric
Pilou pilou
Il ne s’excuse même pas auprès de Bruce Devaux ni de l’USAP. Si l’arbitre était tombé dans le panneau, c’est Bruce qui prenait le jaune. Owens aurait eu raison de l’expulser.
Cela dit, j’apprécie beaucoup Baptiste Serin, c’est un super joueur, le meilleur 9 français derrière Dupont, mais, à un degré moindre de Le Garrec, lui aussi devrait arrêter avec ses petites exagérations.
Ça gangrène le sport ce genre de comportements, non seulement le rugby mais aussi le handball. C’est gonflant.
Il faut le citer ce pimpin.
Sur les images, il me semble voir que c’est lui qui percute volontairement de sa tête l’épaule du pilier!! De plus il me semble qu’il veut copier ces « gonzeses » qui portent plainte contre le premier mec venu, alors que le vent a soulevé sa minijupe.
Par ce que.