Avec sa faconde habituelle, le président du RCT Mourad Boudjellal a gentiment contribué à alimenter la polémique avec son homologue du Racing-Métro 92 Jacky Lorenzetti.

« J’ai simplement dit qu’il avait un jet privé, je ne l’ai pas insulté, lance Boudjellal. Je trouve que c’est plutôt bien d’avoir un jet privé. J’aimerais bien en avoir un. S’il le prend mal, je ne peux rien y faire. Je l’aime bien mais il sort des chiffres stupides. D’ailleurs je suis surpris qu’aucun journaliste ne vérifie le genre de bêtise qu’il peut dire parce qu’il sort des chiffres qui sont interdits. Qu’est-ce qu’il peut me dire ? Qu’on fait du cinéma ? Ouais peut être. C’est quand même le seul président qui emploie des figurants. Vous imaginez si on avait payé le voyage à 1h de Toulon pour une demi-finale de Top 14, le voyage, le ticket de stade et le panier repas ? Y’a 150 000 supporters qui venaient. Je n’ai pas de souci avec Jacky Lorenzetti, on m’a dit qu’il était énervé, c’est très bien. J’espère simplement pouvoir l’embrasser sur la bouche mais bon quelque part si on perd, ça me consolera de ne pas avoir à faire ce genre de chose. Je pense qu’après avoir à embrasser Jacky Lorenzetti sur la bouche, je vais pouvoir jouer dans le prochain film de Pedro Almodovar. »

Source: rmcsport.fr