L’arrière du Racing 92, Max Spring s’est confié en conférence de presse ce samedi, suite à la défaite des siens concédée contre Toulon, au Stade Mayol.

Ce-dernier a analysé la défaite de son équipe.

Il l’affirme : la joie n’est pas au rendez-vous dans le vestiaire Francilien.

Il explique que son équipe va devoir commencer à regarder vers le bas pour éviter de se faire peur en fin de saison.

A lire ci-dessous : 

« L’essai de Tuicuvu après le maul, il fait mal. Ce sont des essais faciles. C’est dommage car l’engagement y était. On s’est battu. Même devant sur le maul on défend bien mais le ballon sort et Tuicuvu va marquer. Ce sont des choses qu’il faut régler et il y’a a urgence à régler ce genre de choses.

Quand on était mené de 14 points, on y croyait encore. On voyait que l’on remontait au score mais nous avons trop joué dans notre camp et on n’a pas réussi à concrétiser nos actions. Je pense à deux touches que l’on perd d’affilée. Ce sont des moments clés.

On revient avec 0 point et forcément ce n’est pas la joie dans le vestiaire. Mais on y était dans l’état d’esprit. Maintenant il faut prendre des points et il y a urgence. On pense déjà au match contre Castres.

Maintenant, il faut regarder vers le bas. Mais nous sommes le Racing et il faut se fixer de nouveaux objectifs en Top 14. Il faut viser le match contre Castres, le gagner et ne pas se voir trop beau.

Le championnat reste le plus important. Alors nous avons deux matches de Champions Cup et nous allons les jouer à fond. Mais s’il y a urgence, c’est bien en Top 14 et le match contre Castres. 

Mais il ne faut pas se mettre la tête au fond du seau. On est 9ème et on regarde des deux côtés du classement maintenant.

La touche ? Je ne suis pas trop concerné. C’est dommage car en touche on est bon mais pas dans les moments clés. Je pense au match contre Montpellier ou même la semaine dernière. Ce sont des moments clés où nous devons marquer et on se rate. Mais je ne suis pas un spécialiste de la touche. C’est dommage car les avants travaillent beaucoup sur ce secteur et c’est dur de les blâmer. Ils travaillent beaucoup. Il faut continuer. »