Mathieu Bastareaud explique comment il est soudainement devenu le team manager du RCT
Mathieu Bastareaud explique comment il est soudainement devenu le team manager du RCT
Le vendredi 11 octobre 2024 à 9:40 par David Demri
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Ce samedi après-midi, le Rugby Club Toulonnais défiera le Racing 92 du côté de Créteil, dans le cadre de la 6ème journée du Top 14.
Interrogé via Le Figaro, le team manager du RCT, Mathieu Bastareaud s’est confié sur cette rencontre à venir.
Il a notamment parlé de son rôle de team manager dans cette équipe Toulonnaise.
Il se dit très proche des joueurs. C’est une demande provenant de Pierre Mignoni. Extrait:
C’était aussi une volonté de Pierre que je reste connecté à ce groupe. J’échange beaucoup avec les joueurs, j’essaye de garder tout le monde connecté à ma façon. Je reste attentif aux joueurs, à leur bien-être, ce ne sont pas des robots donc, quand ils ne se sentent pas bien, j’essaye de prévenir un peu le staff.
Il se confie sur la forme du moment de l’équipe. Extrait:
Les joueurs adhèrent au plan de jeu, ils commencent à assimiler la méthode de travail des coachs. Il y a une bonne dynamique de groupe, tous les joueurs se battent les uns pour les autres, ils sont solidaires, je n’en ai pas vu un seul tricher depuis le début de saison. C’est hyper positif car ils veulent écrire leur histoire.
Dans la foulée, il explique réellement en quoi consiste son travail. Extrait:
Pierre Mignoni a des adjoints sur le terrain et moi je suis son adjoint hors du terrain. Je m’occupe de la logistique et des relations entre le côté sportif et tous les autres services du club. Je gère beaucoup d’organisation, que ce soit pour les plannings d’entraînement, les déplacements ou encore les relations avec les services communication, marketing et commercial. J’essaye de faire en sorte que tout soit huilé autour des joueurs, qu’ils soient dans les meilleures conditions possibles sur le terrain.
Il l’affirme : rien n’était programmé pour qu’il devienne team manager du RCT. Extrait:
J’avais commencé à passer mon diplôme pour entraîner les jeunes. Puis Pierre (Mignoni) m’a proposé ce poste, on en a discuté et ce rôle à jouer sur la connexion entre les côtés sportif et administratif me paraissait intéressant. Il m’a fallu six mois d’adaptation parce que je ne connaissais pas précisément ce poste mais une fois que je l’ai compris, j’ai commencé à prendre du plaisir en voyant comment tournent les coulisses d’un club de rugby.
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« Ben comme c’était déjà moi qui amenais les gonzesses rémunérées au Prosper pour régaler les gars, je me suis dit, autant en faire un métier »
Comme dit avec « Humour », apporter de l’Amour, toujours est prospère haut !!! 🙂
Les pouces rouges ont du mal avec le second degré … il DECONNE Prospéro, c’est pas la vérité,
Ah bon ?
Pour continuer à croquer…