Louis Fajfrowski a fait trois arrêts cardiaques

Louis Fajfrowski a fait trois arrêts cardiaques

Le samedi 11 août 2018 à 14:42 par David Demri

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Le jeune trois-quarts centre d’Aurillac, Louis Fajfrowski est malheureusement décédé après un match amical disputé contre Rodez, ce vendredi en fin d’après-midi.

Après avoir subi un plaquage, le joueur de 21 ans est resté au sol quelques secondes puis a quitté la pelouse entouré du staff médical.

Malheureusement, une fois dans les vestiaires, Louis Fajfrowski a fait plusieurs malaises. Il n’a pas pu être réanimé par les secours.

Le manager du club de Rodez, Arnaud Vercruysse s’est confié dans les colonnes de La Dépêche. Il est revenu un peu plus en détails sur les circonstances de cette tragédie:

« Louis Fajfrowski a été plaqué normalement par l’un de nos joueurs. Il a eu du mal à se relever et il a fallu l’intervention du soigneur d’Aurillac pour l’aider. Louis est sorti du terrain en marchant. Je suis allé tout de suite le voir pour lui demander si çà allait. Il m’a répondu « nickel ». »

C’est seulement à l’issue du match, au moment de regagner les vestiaires que le coach de Rodez a appris que Louis avait fait plusieurs arrêts cardiaques dont un qui lui a été fatal:

« J’ai appris que Louis avait fait un malaise. Ils m’ont indiqué que Louis avait fait trois arrêts cardiaques et que lors du troisième il n’avait pas été possible de le réanimer malgré des efforts désespérés. Les secours ont utilisé un appareil de radiographie pour déterminer si le joueur était victime d’une hémorragie interne. L’appareil a répondu de manière négative. »

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8 Commentaires

  1. lolo1963 11 août 2018 at 15h- Répondre

    Quelle tristesse ! 21ans ..
    Toutes mes condoléances à la famille .

    • Marco 11 août 2018 at 18h- Répondre

      Dégoûté pour ce petit.

  2. jj83 11 août 2018 at 15h- Répondre

    Dans l’article de Magne je viens justement de demander d’attendre les conclusions de l’enquête pour parler ; il y a tellement de pistes différentes pour que ce genre d’accident n’arrive plus le plaquage à la ceinture pourrait être l’arbre qui masque la forêt et se donner bonne conscience . Toute ma désolation à sa famille et à son entourage

  3. Eric 11 août 2018 at 16h- Répondre

    Toutes nos condoléances à la famille et au Club.
    Rip
    Eric
    Pilou Pilou

  4. jeannot 11 août 2018 at 19h- Répondre

    après les handicap place a la mort que ces dur de prononcer ce mot a lui tout seule y me glace. courage a la famille; je suis triste pour cette famille et je lit qu’ il faut identité de toulonnais rentrer dans le lard, pour ceux qui ont pas enfant sur le champs c facile a dire, et quand tu vois sa tu tremble pour les tiens. moi jais peur le rugby dispose de trop argent et les hommes se tue pour pouvoir en vivre ces grave.

  5. jeannot 11 août 2018 at 19h- Répondre

    ces le retour des gladiateurs avec puissance milles

  6. Jero 11 août 2018 at 22h- Répondre

    Marne devrait attendre avant de parler. Essayer d’exister suite à ce drame c’est juste pathétique.

    Maintenant il va falloir faire attention car des golgots de 110 kilos percutent à grandes vitesses…

    Moi qui suis un grand adepte du jeux dur à la Diaz, Roux, Louvet, Champ, Botta…. Je suis un peu perdu je l avoue.

    Et pour finir tellement triste pour ce gars dont je n’avais jamais entendu parler. Quelle merde

  7. Beautas 11 août 2018 at 22h- Répondre

    Mourir de jouer au rugby.
    Quelle tristesse…
    2 choses me semblent absolument nécessaires pour limiter immédiatement les dégâts :
    – Présence au bord du terrain d’un médecin urgentiste et d’un matériel de détection et réanimation adapté. Ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.
    – Réformer les « collisions » de manière drastique : plaquages au-dessus de la ceinture, déblayages tête la première ou à l’épaule dans les rucks, percussions coude en avant INTERDITS.
    D’autres pistes bien entendu sont à envisager.
    Mais vu le gabarit des joueur et l’urgence de la situation, il faut AGIR.
    Vite.