Le jeune ouvreur du Rugby Club Toulonnais, Louis Carbonel a répondu aux questions des supporters Toulonnais sur le compte Instagram du club Varois.

Voici ses réponses :

Comment se passe ton confinement ?
Mon confinement se passe bien. Ça commence à être un peu long, j’espère que ça va bientôt se finir. J’ai la chance d’avoir un jardin et j’essaie de me trouver le plus d’occupations possibles.

Comment fais-tu pour t’entraîner en ce moment ?
Le matin je fais le programme du club avec pas mal de footing avec un programme de muscu. Je vais aussi chez mon parrain qui est éleveur et qui a un champ dans lequel on a placé des poteaux de rugby pour que je puisse m’entraîner.

A quel âge as-tu commencé le rugby ? 
J’ai commencé le rugby à l’âge de 5 ans. J’ai fait un an au Pradet puis je suis parti directement à Toulon.

Quel est ton meilleur souvenir à Toulon ?
Mon plus beau souvenir avec Toulon pour le moment c’est mon premier match avec l’équipe professionnelle contre le Stade-Français. Je n’étais pas prévu pour ce match mais il y a eu un petit souci de dernière minute. Il y a donc eu un changement sur la feuille de match. On avait gagné dans les derniers instants. C’est un souvenir que je n’oublierai jamais.

Est-ce que les entraînements avec Jonny Wilkinson t’ont beaucoup aidé ?
Oui, ça m’a beaucoup aidé car quand tu es avec lui, tu as l’impression d’avoir gagné 10 ans d’expérience en deux ou trois cours. J’essayais de penser le plus possible à ce qu’il me disait pour essayer de m’améliorer pour quand il ne serait plus là.

Gagner la Coupe d’Europe ou le Brennus ? 
Les deux compétitions sont superbes, mais je pense que nous avons tous un coup de cœur pour le Top 14. Il dure longtemps et plus c’est long plus c’est bon.

Quel est ton plus grand rêve dans le rugby ? 
Ce serait d’être champion du monde.

Entre les deux titres U20, lequel t’a procuré le plus d’émotions ?
C’est la première en France car il y a eu un engouement hors-norme. Les stades étaient combles et l’ambiance était fantastique. C’était vraiment un mois inoubliable.

Où rêves-tu de voyager ? 
J’aimerai aller en Australie.

Quel est ton surnom dans le vestiaire ?
J’en ai quelques-uns, mais celui que je retiens c’est celui que me donne Patrice Collazo : c’est Lou. Je sais, c’est moche. Mais à force de s’énerver lors des séances vidéos, il m’a donné sur surnom. Donc tout le monde le dit de plus en plus.

Quel est ton meilleur ami au RCT ?
Je m’entends très bien avec tout le monde, mais c’est sûr que je reste le plus souvent avec des joueurs de ma génération ou des joueurs avec qui j’ai joué en équipe de jeunes.

Comment être un bon 10 ? 
Le conseil que je peux donner, c’est d’avoir un plaisir énorme de créer et de faire jouer les autres. Mais aussi de rester un peu plus longtemps après les entraînements pour travailler le jeu au pied car c’est super important.