L’incroyable histoire qui a permis à Soyaux-Angoulême de recruter Jonny May !

L’incroyable histoire qui a permis à Soyaux-Angoulême de recruter Jonny May !

Le jeudi 4 juillet 2024 à 11:00 par David Demri

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Il y a quelques semaines, le club de Pro D2, Soyaux-Angoulême officialisait la signature de l’ailier international Anglais Jonny May pour deux saisons, soit jusqu’au mois de juin 2026.

Ce jeudi, Midi Olympique révèle comment le club classé alors 12ème de Pro D2 a réussi à attirer un tel joueur.

Tout a débuté au mois de mai dernier.

Questionné sur le sujet, le président Didier Pitcho explique que c’est sa compagne qui a travaillé en premier sur ce dossier. Extrait:

« C’est tout simple, Jonny May avait envie de venir en France et il a eu un véritable coup de cœur. Aussi étrange que cela puisse paraître, c’est ma compagne qui a principalement œuvré dans cette venue. »

La compagne de Didier Pitcho est enseignante d’Anglais à Paris. Celle-ci a eu un très bon feeling avec la famille May, au point de réussir à la convaincre de s’installer en Charente.

Celle-ci aurait tenu les bons arguments comme la vie dans la région, la proximité de grandes métropoles ou encore la proximité avec l’Angleterre.

Une fois la famille May convaincue, c’est le staff sportif qui a pris le relais pour évoquer le projet du club avec le joueur.

Alexandre Ruiz, alors manager du SAXV, indique que c’est grâce à Zach Mercer que l’affaire a pu avancer. Extrait:

« On s’est connu à Montpellier avec Zach lorsque j’entraînais la défense du MHR et les deux se connaissent de Gloucester. J’ai dit à Jonny : « appelle Zach qu’il te parle de moi et je l’appelle après pour faire de même. Dans une heure on se rappelle et on voit. Le feeling est bien passé et voilà comment cela s’est fait. »

C’est ainsi que Jonny May a accepté de rejoindre Soyaux-Angoulême pour deux saisons.

Convoitée par diverses écuries Françaises, la star britannique a paraphé un contrat loin d’être mirobolant.

On parle d’environ 6 000 euros par mois.

Un proche du club se confie. Extrait:

« C’est peut-être difficile à croire, mais c’est dans la fourchette d’un salaire moyen de Pro D2. » 

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