Les Toulousains ont remis en cause la légitimité et la crédibilité d’Ugo Mola !
Les Toulousains ont remis en cause la légitimité et la crédibilité d’Ugo Mola !
Le mardi 21 janvier 2025 à 10:58 par David Demri
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Dans un article paru ce jour, Le Figaro dévoile des extraits exclusifs de l’autobiographie de Yoann Huget.
L’ancien trois quart aile de Toulouse et de l’équipe de France, revient sur sa carrière, retrace son parcours et dévoile des anecdotes du terrain et de l’extra-sportif.
Son autobiographie, intitulée « Je ne vous avais pas dit au revoir » est sortie ce mercredi en librairie.
Un de ces extraits dévoile l’arrivée d’Ugo Mola à la tête du Stade Toulousain, et comme l’indique Yoann Huget, ce fut un moment très compliqué pour le manager toulousain.
L’ancien trois quart aile explique que l’ensemble du groupe était acquis à la cause de Guy Novès. Extrait :
En 2015, Guy s’en va, Ugo arrive à la tête d’un groupe pro-Guy. Car, il ne faut pas se mentir, nous étions tous pro-Novès. Au début, Ugo en a chié fort. Si ce n’est pas Toulouse, je pense même qu’il aurait pu se faire écarter. Il reste en place alors que c’est la première année où on ne se qualifie pas pour le Top 6, la phase finale du championnat. Mais c’est aussi la force du Stade Toulousain d’être patient. (…)
Yoann Huget avoue que le groupe a été très dur avec Ugo Mola, mais que ce dernier a tenu bon. Extrait :
C’était très dur, je le reconnais. Personne ne faisait de cadeaux à Ugo. On remettait en cause sa légitimité, sa crédibilité. Quand tu as l’habitude de bosser depuis vingt ans avec une méthode, une formule, qui a fait ses preuves, et lui, jeune entraîneur qui arrive d’Albi… Ce n’était pas le coach que nous attendions. Nous ne l’estimions pas beaucoup au début, je l’avoue. Mais Ugo a été intelligent. Il n’a pas fait de vagues malgré les embûches. Mais il n’a pas oublié cette période. Quand tu lui en parles, c’est toujours un peu à vif. Il en a bavé pendant deux ans. Et deux ans, c’est long.
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Cette révélation ne fait que renforcer l’estime que l’on peut avoir à son égard en tant qu’entraîneur et en tant qu’homme.
Jamais le Stade de Noves n’a atteint le niveau de celui de Mola sur la saison 2018/2019 et celui 2023/2024… En tout cas, le Stade de Noves post Deylaud
Comparaison n est pas raison, trouve un entraîneur qui a le palmarès de Noves !!!
Merci à Huguet pour nous dévoiler le remplacement de Vives par Mola –
Toulouse à donc eu un très grand entraîneur avec Vives et à maintenant un très grand entraîneur
Pas étonnant que Toulouse continue à marcher très fort !
Vivès? L’ancien de Rieumes?
Ugo mola fera parti des grands entraîneurs car Il a su trouver et former les bons joueurs comme à l’ époque Mr Raoul Barrière du grand Béziers avec les Paco Vaquerin Astre Estebe …et j’ en passe
Ugo Mola ? ca vaut 10 Galthie , comme Zidane ca vaut 10 Deschamps !………
Pas d’accord….
C’est » Monsieur Noves » qui a construit l’esprit et le jeu si particulier du S.T durant des années
Mola a surfé sur cette vague gigantesque et repris à son compte la methode NOVES
Après les dernières années , il a rencontré de sacrées équipes qui n’ont plus ce niveau là aujourd’hui ( Clermont , le RCT , et qqes autres….)
Donc moins facile ….
Bande de grosses truffasses
Mola n’est pas » the best » du tout
Il est un grànd héritier !!!
Il a repris un club « construit »
depuis des décennies
Il entraînerait un club moyen ou à la ramasse , il serait « Mola the loser »….
Ce mec a rien inventé du tout
Du tout !!!
il a eu le mérite de revenir aux fondamentaux du jeu du ST car les dernières années de noves, on avait tendance à voir plus de percutions que de prise d’intervalles. Ensuite, il a du renouveler tout l’effectif sans garantie que les nouveaux aient d’aussi bons résultats que les anciens. Il n’a pas inventé la méthode mais il a su l’utiliser correctement et sur certains points l’améliorer.
Après beaucoup d’entraineur récupère d’ancien club prestigieux, ce n’est pas autant qu’ils ont des résultats.
Toujours aussi peu intelligent jeamark83 et inculte…
Mola est arrivé avec un effectif en bout de carrière qui ont fait l´année de trop. Un recrutement à la ramasse avec des Flood, Mac Alyster et compagnie. La formation ne sortait pas non plus de jeunes exceptionnels au début…
Bref, rien n´allait et le stade stagnait à la 12 ème place. Avec en plus un manque de légitimité dont parle l´article.
Regarde ce qu´il a réussi à faire. Et ce n´est pas fini.
Je pense que le sec.ond lui a piqué le pseudo…..ou alors il est bi polaire… :-))
Si seulement il n´y avait que la bi polarité…
Garde tes réflexions à 2 balles , elle n’engage que toi , ton lien avec ce club , Mola , etc….
Je pense ce que je veux et tu peux faire mine d’éluder ça trompera personne
C’est mon droit de ne pas apprécier Mola
Un faux Ku , ça se lit sur son visage
Pour moi entre lui et NOVES aucune comparaison possible
L’un est un très grand …l’autre un opportuniste malin sans grande envergure
Allez reprend un peu de cassoulet…mais pas trop …paraît que ça fait péter …
Les constructeurs de la méthode Toulousaine sont Jean Fabre, Robert Bru, Christian Gajan inspirés par René Deleplace, puis Pierre Villepreux et Jean-Claude Skréla ont repris le flambeau et l’ont passé à Jean-René Bouscarel et Guy Noves et enfin à Didier Lacroix et Ugo Mola
Mola the Best…… what else?
Comme Noves avait surfé sur Skrela et Villepreux qui eux mêmes avaient surfé sur Bru et Labatut… Je n’ai rien contre Noves mais ce n’est pas l’inventeur du style Toulousain… Il en est un très grand héritier
Surfé sur quoi? Un effectif à la 12ème place du championnat où il y avait tout à revoir? Il a Surfé avec une passoire, oui.
Pourtant, il a raison dans ĺe sens où Mola se trouve dans la lignée de Noves, Skrela, Villepreux, initiée par Robert Bru avec l’appui du président Jean Fabre : c’est un héritage, en somme.