Le nouveau Toulonnais Paolo Garbisi savoure son Tournoi avec l’Italie

Le nouveau Toulonnais Paolo Garbisi savoure son Tournoi avec l’Italie

Le jeudi 21 mars 2024 à 12:39 par David Demri

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L’ouvreur international Italien Paolo Garbisi s’est confié via Midi Libre.

Ce-dernier est revenu sur le Tournoi effectué par l’Italie qui se veut très prometteur pour la suite.

Il savoure la forme actuelle de sa sélection. Extrait:

On est une équipe jeune. Personne n’a vécu le Tournoi des 6 Nations 2013, terminé avec deux victoires (contre la France et l’Irlande) et où l’équipe était vraiment costaude. Mais ce que je peux vous dire, c’est que j’ai disputé mon quatrième Tournoi et c’est la fois où je nous ai trouvés le plus en place. Techniquement, tactiquement, physiquement et surtout mentalement, on était mieux préparé.

Il apprécie l’arrivée de Gonzalo Quesada. Extrait:

On est quand même sur de la continuité, notamment dans le jeu offensif. L’an dernier, on avait proposé de très belles choses en attaque. « Gonza » a été intelligent. Vu qu’il n’avait pas beaucoup de temps, il a gardé tout ce qui fonctionnait.

Après, on s’est amélioré en défense. Notre point faible était de trop prendre de points sur nos temps faibles. Là, ça nous arrive de plier mais on ne rompt pas à chaque fois. Sur la partie stratégie, jeu au pied, c’est plus cadré aussi. Et donc plus efficace.

Il souhaite que l’Italie puisse désormais rivaliser avec toutes les équipes. Extrait:

Dans les prochains matches où le score sera serré, inconsciemment, ça va nous aider. Maintenant, notre objectif est de rivaliser avec n’importe quelle équipe. Si tu arrives à rivaliser, ça veut dire que tu peux te mettre en position de gagner. On l’a vu plusieurs fois sur ce Tournoi.

Il a également évoqué le match nul contre les Bleus. Extrait:

C’est un moment qui va rester gravé. C’est ancré dans ma vie maintenant. C’est une trace noire qui restera toujours dans ma tête. Il faut savoir rebondir, vivre avec. Je peux vous dire que la semaine qui a suivi le match contre la France, c’était très compliqué… En plus, c’est arrivé à un moment où je changeais de club.

Alors, c’est paradoxal. J’arrivais très facilement à m’endormir. Mais je me réveillais en pleine nuit, j’y pensais, et je ne pouvais plus me rendormir. Ça a été ça jusqu’au jeudi qui a suivi.

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