A l’approche de la Coupe du monde de 2023, le Comité d’Organisation de France 2023 cherche à recruter pour continuer de préparer l’événement.

Problème : les postulants se font rare.

Ainsi, France 2023 n’arrive pas à recruter les personnes nécessaires pour mener à bien tous les projets dans le cadre du Mondial.

Une cinquantaine de nouveaux collaborateurs étaient espérés. Sur son compte LinkedIn, le comité a posté de nombreuses offres diverses et variées, mais trouve rarement la personne idoine.

Le directeur général de France 2023, Julien Collette s’est confié via L’équipe. Extrait:

« Il y a beaucoup de difficultés dans l’événementiel à pourvoir des emplois bien spécifiques, on n’est pas les seuls. Le marché est tendu, et on se rend compte que les compétences qu’on recherche sont dans les agences qui sont rentrées dans le système, donc autant faire appel à ce genre d’agences. On n’est pas en retard, mais on n’est pas en avance. »

Aussi, l’affaire Atcher n’a pas fait du bien à France 2023. Nombreux sont ceux qui sont désormais effrayé à l’idée de travailler pour France 2023.

De son côté, Julien Collette dément. Extrait:

« Le GIP ne fait plus peur. On parvient à recruter, notre équipe hébergement et transport est quasiment bouclée ; sur la sécurité autour des sites, on a aussi bien avancé, mais il nous faut nous ouvrir. Il faut une certaine maîtrise dans les compétences que nous recherchons, il nous faut des gens prêts dès maintenant, avec de l’expérience et ce n’est pas le cas avec des alternants qui termineront leur cursus en juin… »

Pour conclure, Julien Collette affirme être optimiste. Extrait:

« Il n’y a aucune crainte sur l’atterrissage. La crise de la direction n’a pas eu d’effet sur notre économie. On avait des réserves, ça fonctionne, nos hospitalités, je parle notamment des loges, se vendent bien. De nouveaux partenaires nous rejoignent. »