La pelouse de Mayol est gorgée d’eau

La pelouse de Mayol est gorgée d’eau

Le samedi 5 novembre 2011 à 13:39 par David Demri

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Les précipitations régulières et abondantes de ces trois derniers jours auront eu raison de la capacité d’absorption de la pelouse du stade Mayol.
Hier après-midi, des flaques d’eau présentes aux quatre coins du terrain témoignaient de sa saturation en eau. Effectuer quelques pas sur le gazon revenait d’ailleurs à marcher sur un champ d’éponges mouillées.
« La terre est gorgée d’eau. Elle sature. S’il pleut une demi-heure, c’est une piscine! », confirmait l’un des jardiniers du stade.
La faute à la capacité de drainage de la pelouse, limitée par la structure même du stade. Posée sur la dalle d’un parking, la pelouse ne repose que sur trente centimètres d’épaisseur de terre. Une fois ces trente centimètres gorgés d’eau, l’eau ne s’évacue plus et remonte en surface.
Pour rappel, la pelouse a trente ans, tout comme le système de drainage.
Pour autant, à 24 heures du match et alors que la pluie avait cessé dans l’après-midi, toutes les conditions étaient réunies pour maintenir le match au lendemain. Sauf que l’annonce de fortes précipitations dans la nuit a forcé la municipalité à prendre un arrêté municipal. « Avec ce qui est annoncé, on ne peut pas prendre le risque de maintenir la rencontre. Il vaut mieux le décider 24 heures avant par rapport au diffuseur du match », a expliqué hier l’adjoint aux Sports de la Ville, Michel Cameli. « Dès qu’il pleut un peu, il faut quatre à cinq heures pour que l’eau s’évacue », explique le jardinier de Mayol.
Autre argument de poids dans la décision : ménager la pelouse, qui plus est à cinq jours d’un autre match, jeudi face à Petrarca. « S’ils avaient joué sur un terrain détrempé, il l’aurait rendu impraticable pendant deux mois », avance notre jardinier.
La raison l’a donc emporté et au vu de l’état d’une pelouse déjà mal en point, nul doute que c’était la meilleure décision.

Les précipitations régulières et abondantes de ces trois derniers jours auront eu raison de la capacité d’absorption de la pelouse du stade Mayol.

Hier après-midi, des flaques d’eau présentes aux quatre coins du terrain témoignaient de sa saturation en eau. Effectuer quelques pas sur le gazon revenait d’ailleurs à marcher sur un champ d’éponges mouillées.

« La terre est gorgée d’eau. Elle sature. S’il pleut une demi-heure, c’est une piscine! », confirmait l’un des jardiniers du stade.

La faute à la capacité de drainage de la pelouse, limitée par la structure même du stade. Posée sur la dalle d’un parking, la pelouse ne repose que sur trente centimètres d’épaisseur de terre. Une fois ces trente centimètres gorgés d’eau, l’eau ne s’évacue plus et remonte en surface.

Pour rappel, la pelouse a trente ans, tout comme le système de drainage.

Pour autant, à 24 heures du match et alors que la pluie avait cessé dans l’après-midi, toutes les conditions étaient réunies pour maintenir le match au lendemain. Sauf que l’annonce de fortes précipitations dans la nuit a forcé la municipalité à prendre un arrêté municipal. « Avec ce qui est annoncé, on ne peut pas prendre le risque de maintenir la rencontre. Il vaut mieux le décider 24 heures avant par rapport au diffuseur du match », a expliqué hier l’adjoint aux Sports de la Ville, Michel Cameli. « Dès qu’il pleut un peu, il faut quatre à cinq heures pour que l’eau s’évacue », explique le jardinier de Mayol.

Autre argument de poids dans la décision : ménager la pelouse, qui plus est à cinq jours d’un autre match, jeudi face à Petrarca. « S’ils avaient joué sur un terrain détrempé, il l’aurait rendu impraticable pendant deux mois », avance notre jardinier.

La raison l’a donc emporté et au vu de l’état d’une pelouse déjà mal en point, nul doute que c’était la meilleure décision.

Source: varmatin.com

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  1. Rciti 5 novembre 2011 at 14h

    Vu le temps qu il fait en ce moment il me semble judicieux d avoir reporte le match. En espérant que la pelouse soit praticable pour jeudi!

  2. Palpatick 5 novembre 2011 at 15h

    Il nous faut un autre outil de travail, ça urge.

  3. ovalie 5 novembre 2011 at 15h

    Autant hier j'étais un peu etonné car on avait deja joué quelque match sous la pluie et que bien que nous soyons le pays du soleil c'etait pas la premiere fois qu'il pleuvait ainsi. Autant aujourd'hui vu l'etat de la pelouse et vu ce que ça tonne et ce qui tombe c'est je pense la meilleure et la plus raisonnable des décisions qui a été prise

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