La dernière déclaration d’amour de Romain Ntamack à Toulouse : « Je ne me vois pas jouer ailleurs ! »
La dernière déclaration d’amour de Romain Ntamack à Toulouse : « Je ne me vois pas jouer ailleurs ! »
Le mardi 2 janvier 2024 à 19:04 par David Demri
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Sauf cataclysme, il est acté que l’ouvreur international Français Romain Ntamack ne jouera jamais pour un autre club du Top 14 que Toulouse.
Lors d’un entretien accordé au Midi Olympique, ce-dernier a rappelé être lié avec Toulouse jusqu’au mois de juin 2028.
Quoi qu’il en soit, il ne se voit absolument pas quitter Toulouse pour un autre club du Top 14, même à l’issue de son contrat. Extrait:
« Déjà, je suis encore sous contrat pour quelques années avec le Stade toulousain (jusqu’en 2028). Disons que cela n’a fait que confirmer ce que je savais déjà.
Je me vois encore moins jouer ailleurs qu’au Stade toulousain. J’ai toujours adoré aller au club mais, depuis que je suis blessé, le simple fait d’y mettre le pied me donne la banane. Croiser les anciens, voir le staff, les adjoints, les joueurs… Voilà, ça me rend heureux. J’aime ce club et je m’en suis encore davantage rendu compte ces derniers mois.
Il est difficile de m’imaginer avec un autre maillot, même s’il ne faut jamais dire jamais. Mais j’ai vraiment beaucoup de mal à m’imaginer avec un autre maillot que celui du Stade toulousain. Pour l’instant, ce n’est pas d’actualité, tant mieux, et j’espère bien le garder sur les épaules le plus longtemps possible. »
Une véritable déclaration d’amour pour Romain Ntamack envers le Stade-Toulousain.
Cependant, l’ouvreur Français pourrait porter le maillot d’une équipe étrangère dans les années à venir.
Il songerait à quitter temporairement la France, le temps d’une pige, pour les Etats-Unis ou pour l’Australie.
Il se confie. Extrait:
« Oui, j’avais évoqué le Super Rugby mais il y a aussi la MLR (le championnat américain) aux États-Unis, qui pourrait être intéressante. Mon projet, ce sera soit côté australien, soit côté américain. J’ai passé une semaine à New York récemment et j’ai bien aimé les États-Unis (sourire). À voir, avec la Coupe du monde 2031 là-bas, s’ils vont mettre les infrastructures nécessaires. S’il y a besoin d’aider un peu le rugby américain, pourquoi pas ? »
Affaire à suivre…
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