JUSTICE – La bataille n’est pas encore terminée pour Eben Etzebeth
JUSTICE – La bataille n’est pas encore terminée pour Eben Etzebeth
Le lundi 3 août 2020 à 8:34 par David Demri
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Le deuxième ligne international Sud-Africain, Eben Etzebeth s’est récemment retrouvé au cœur d’une affaire de racisme.
Juste avant la Coupe du monde au Japon, le Springbok a été accusé d’avoir proféré des insultes raciales contre 4 plaignants.
Ce dimanche, les médias Sud-Africains nous informent que le joueur du Rugby Club Toulonnais a été acquitté par la Fédération Sud-Africaine de Rugby.
En effet, le juge qui a dirigé l’enquête au sein de la Fédération Sud-Africaine de Rugby a conclu qu’Eben Etzebeth n’était pas impliqué dans une affaire de racisme et d’agression.
Voici les conclusions de l’enquête :
- Aucun motif ne peut être trouvé pour une affaire contre Etzebeth
- Il est conseillé à SA Rugby d’avoir une conversation avec Etzebeth pour lui faire prendre pleinement conscience des conséquences que les actions des autres peuvent avoir pour lui et comment cela peut le mettre sous un mauvais jour.
- SA Rugby doit avoir de tels entretiens avec tous les Springboks. Les joueurs doivent être conscients des dommages que les personnes proches d’eux peuvent causer.
Cependant, Eben Etzebeth n’est pas encore totalement délivré. En effet, s’il a été acquitté par la Fédération Sud-Africaine de Rugby, ce n’est pas encore le cas de la justice qui compte aller au bout de la procédure. Extrait:
« L’enquête indépendante a été menée et l’affaire est maintenant close du point de vue de la SA Rugby. Mais le procès contre Etzebeth est toujours d’actualité et devra se régler au tribunal. La décision de SA Rugby n’a pas d’impact sur les deux actions en justice… auxquels il doit encore faire face. »
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Comité de soutien (au singulier, j’suis encore tout seul » ») d’Eben.
Nous (comité de sotien, donc Nous) demandons l’interdiction de séjourner en Afrique (du sud et partout) et de représenter son pays, pour les dix ans à venir.
Obligation de dix années de résidence dans un périmètre ne dépassant pas le stade Mayol de plus de trente kilomètres.
Obligation à la commune de Canjuers de créer une zone de chasse réservée aux sangliers pour les deux petits Bakkies et Eben, pour les quinze ans à venir, afin que nos sud af puissent nourrir convenablement leurs familles, tout en gardant un niveau d’entrainement de haut niveau à attraper, à mains nues, les bestiaux préservés.
Comment David ?
Le sanglier en France est appelé, par les chasseurs, la bête noire.
Hé bien, Eben pourra passer ses nerfs, sans faire de mal à aux truies…
A la bonne hure ^^
Excellent !… ;-)) ;-)) Epicez tout !…