Joris Segonds égratigne le Stade-Français et la vie Parisienne !

Joris Segonds égratigne le Stade-Français et la vie Parisienne !

Le dimanche 13 octobre 2024 à 10:59 par David Demri

12 Commentaires

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Arrivé à Bayonne cet été en provenance du Stade-Français, l’ouvreur Joris Segonds a rapidement trouvé sa place au sein du groupe Bayonnais.

Auteur de prestations convaincantes, Joris Segonds semble à son aise.

Interrogé via Sud-Ouest, il a évoqué son intégration.

Il explique se régaler à Bayonne. Extrait:

Franchement, très très bien. Je me régale. Je pense que ça se voit sur le terrain. Je prends du plaisir à jouer. C’est un jeu différent de Paris. Et puis, l’intégration, ici, ce n’est pas trop compliqué. Déjà, je connaissais quelques joueurs dans le club avec qui j’ai joué dans le passé (Habel-Küffner, Megdoud, Bethune…). Je suis arrivé en retard (NDLR, il a fait la tournée avec l’équipe de France cet été) donc, j’appréhendais un peu. Mais franchement, en une semaine, j’ai été très bien intégré.

Il explique clairement prendre plus de plaisir à Bayonne qu’au Stade-Français Paris.

Il raconte pourquoi. Extrait:

L’aspect rugby. Je prends plus de plaisir. Ici, on joue plus au ballon qu’à Paris, où c’était un jeu assez direct, basé beaucoup sur la défense. C’est quelque chose qui nous avait réussis la saison dernière. Après, c’est vrai que c’est moins plaisant de plaquer que de faire des passes. Je préfère jouer au rugby que prendre des autobus dans le museau (sourire). Donc je préfère le plan de jeu ici. Mais je ne cracherai jamais sur Paris, parce que j’ai passé cinq saisons incroyables là-bas.

Il explique ensuite pourquoi la vie Parisienne ne lui manque pas. Extrait:

Moi, je ne suis pas parisien. Donc, je me suis régalé au début mais après, la vie parisienne me pesait un petit peu. Il me tardait de partir, pas par rapport au club mais par rapport à la ville. Je ne suis pas fait pour vivre dans des villes aussi grandes. Ici, franchement, c’est un bonheur. Il y a la montagne pas loin, l’océan à côté… Franchement, je me régale.

Pour conclure, il évoque sa concurrence avec Camille Lopez. Extrait:

Super bien. Plein de gens nous parlent de concurrence mais moi, je suis là avec lui pour me régaler. J’apprends de lui. Franchement, il m’amène énormément en tant que joueur. Même en tant que personne. C’est une personne hors rugby qui est très gentille. Ça se passe super bien et je suis très heureux d’être avec Camille.

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12 Commentaires

  1. Fmayol83 13 octobre 2024 at 12h- Répondre

    Ce garçon est né a Decazeville , département de l Aveyron.
    Paris , ci tu n y ai pas nais , c’est très difficile.
    La vie de campagne , n est plus la vie parisienne.
    Bayonne lui convient bien mieux.

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    • Matabiau 13 octobre 2024 at 18h- Répondre

      Pour ma part, j’ai trouvé moins difficile 12 ans à Paris que 3 à Ollioules. Il va de soit que je ne parle pas de « paysages » mais bel et bien d' »Autochtones »…..

      • Finale 71 13 octobre 2024 at 20h- Répondre

        va s y maintenant a Paris , y en a bientot plus des autochtones , ils sont en cours de remplacement total !…..

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  2. LLOYD 13 octobre 2024 at 13h- Répondre

    si tu n’y est pas né …c’est ça ?

    • Xistorra 13 octobre 2024 at 14h- Répondre

      Non plus…tu n’y es pas né…quand on veut corriger les autres 😉

  3. ans l'affaire 13 octobre 2024 at 13h- Répondre

    Ou si tu n’es pas NIAIS….aussi

  4. G 13 octobre 2024 at 14h- Répondre

    si tu n’y es pas né, plutôt.

    • Logripet 13 octobre 2024 at 14h- Répondre

      En même temps, Decazeville c’est un peu l’enfer sur terre.

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  5. Fmayol83 13 octobre 2024 at 18h- Répondre

    Je connais très bien cette ville

    • Muxu 13 octobre 2024 at 22h- Répondre

      Bonne pioche pour l’Aviron Bayonnais en plus la vie sur la côte basque c’est un incomparable il y a pas photo

  6. Pesro 13 octobre 2024 at 20h- Répondre

    « C’est moins plaisant de plaquer »
    Lol vu le nombre se placage qu’il faisait par saison…

  7. JOUVENEL 13 octobre 2024 at 22h- Répondre

    Certes mais il ne faudrait pas oublié qu’il est aussi passé parr Aurillac et son centre de formation qui est très souvent dans le haut qualitativement avec beaucoup de joueurs qui jouent actuellement au plus haut niveau de Top 14. À Aurillac il a fait des merveilles