Jefferson Poirot : « C’était affreux, dès la 75e minute, je suis reparti m’échauffer, je hurle, je saute ! »

Jefferson Poirot : « C’était affreux, dès la 75e minute, je suis reparti m’échauffer, je hurle, je saute ! »

Le dimanche 23 juin 2024 à 14:04 par David Demri

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Ce samedi soir, l’Union Bordeaux-Bègles s’est imposée contre le Stade-Français Paris à l’occasion d’une demi-finale de Top 14.

Interrogé via L’équipe à l’issue de la victoire des siens, le pilier gauche de l’UBB, Jefferson Poirot a exprimé sa grande satisfaction.

Il indique avoir eu beaucoup de mal à suivre le match depuis le banc des remplaçants, après avoir cédé sa place. Extrait:

« À partir du moment où je suis sorti (48e, remplacé par Ugo Boniface), j’ai l’impression que le match était deux fois plus long. Les minutes ne défilaient pas, c’était affreux. Pour le club, pour tout ce qui a été construit depuis 2006 par Laurent (Marti, le président), c’est immense. »

Il explique avoir très mal vécu le moment où Joris Segonds allait tenter la transformation en toute fin de match. Extrait:

« C’est affreux. Dès la 75e minute, je suis reparti m’échauffer. La semaine dernière, on a débriefé le match du Racing et Yannick (Bru, l’entraîneur) a poussé un petit coup de gueule en disant que si on faisait les mêmes vingt dernières minutes que face au Racing, le Stade Français nous emmènerait en prolongation.

Franchement, il a été bon, parce qu’on n’est pas passé loin. Quand j’ai vu comment ça tournait en fin de match, je suis parti m’échauffer parce que je me suis dit qu’il fallait être prêt si on devait rentrer. Au moment de la transformation, je suis juste derrière l’en-but, c’était affreux. Je hurle, je saute. Je n’arrive plus à me retenir. Ce qui est bon, c’est que pour une fois cette saison contre le Stade Français, après toutes les malchances qu’on a pu avoir contre eux, ça tourne enfin de notre côté. »

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