Jacques Brunel analyse la défaite de ses joueurs contre le Rugby Club Toulonnais

Jacques Brunel analyse la défaite de ses joueurs contre le Rugby Club Toulonnais

Le dimanche 30 avril 2017 à 10:52 par David Demri

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Le manager de Bordeaux-Bègles, Jacques Brunel s’est confié en conférence de presse afin d’évoquer la défaite de ses joueurs contre le Rugby Club Toulonnais, samedi soir à l’occasion de la 25ème journée du Top 14 (13-26).

Ce-dernier estime que son équipe n’a pas réussi à déstabiliser le RCT à cause d’une conquête trop approximative, des touches ratées et des rucks pas bien protégés. Extrait:

« On avait trop de manques dans plusieurs domaines pour espérer battre Toulon. On a eu une conquête déficiente notamment en touche. On perdait à chaque fois le ballon ou on ne l’a pas eu dans de bonnes conditions. On a eu du mal à lancer notre jeu à partir de la touche. On a perdu le ballon dans les rucks et au niveau des contests. On perd le ballon proche de leur ligne à des moments importants. On a tenté de renverser un peu les choses en jouant des ballons difficiles loins de leur ligne dans nos propres 22 mètres. On a essayé de forcer les choses et on n’avait pas les bases nécessaires pour pouvoir mettre Toulon en difficulté aujourd’hui. J’espère maintenant que l’on va honorer le maillot en faisant une dernière prestation de qualité au Racing. J’espère qu’on sera en capacité de faire mieux mais ce sera encore un adversaire difficile. Ils auront peut-être la qualification en vue. Ce sera un match compliqué mais il faut que l’on reste mobilisé. Il reste une semaine pour bien finir ce championnat. Il va falloir se projeter sur la saison prochaine rapidement. Il faudra organiser l’intersaison. On a beaucoup de choses à organiser très rapidement. Mais le regret est sur ce match car on se sentait encore capable de renverser les choses et continuer notre aventure. Mais on n’a pas su mettre les ingrédients pour y arriver face à une équipe de Toulon très costaud qui est venue avec tous ses éléments. On a voulu faire des passes impossibles. On a voulu trouver des solutions qui n’en étaient pas. C’est notre incapacité à trouver des solutions qui nous a fait forcer les choses. »

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