Cette semaine, l’ailier du Rugby Club Toulonnais, Gabin Villière a prolongé son contrat avec le XV de la Rade de trois saisons supplémentaires, autrement dit jusqu’au mois de juin 2024.

Interrogé à ce sujet dans les colonnes du journal Var-matin, a expliqué qu’il était important pour lui de s’installer au RCT.

Il affirme d’ailleurs s’être rapidement rendu compte qu’il avait fait le bon choix en décidant de rejoindre Toulon en 2019. Extrait:

« C’était important. Il s’agit de ma deuxième année ici à Toulon. Le temps de m’imprégner du lieu, du club, son histoire… Je me suis rapidement rendu compte que j’avais fait le bon choix en venant à Toulon. Ça me correspond totalement. Le club voulait continuer l’aventure et moi aussi, ce qui m’a donné la possibilité de rester ici trois années supplémentaires. Je serai plus serein, libéré concernant mon avenir. Cela me permettra de me sentir bien pour continuer d’être performant. »

Par ailleurs, Gabin Villière ne manque pas de déclarer sa flamme à la ville de Toulon et aux supporters. Extrait:

« Ici, tout pue le rugby! Je recherchais vraiment cette identité rugby au club mais aussi de la ville, je me sens vraiment bien ici. Tout est agréable: le cadre de vie, les gens. Il fait très souvent beau, un petit peu plus qu’en Normandie (rires). J’appréhendais un peu en arrivant, car on parle beaucoup du caractère des gens, mais en étant là, on se rend compte que c’est faux. J’ai bien fait de venir ici. »

Pour conclure, l’ailier international Français avoue que les supporters manquent énormément à Mayol.

Ce contact avec les supporters lui manque vraiment beaucoup. Extrait:

« C’est un vrai manque. Au stade, mais aussi en ville. Le fait de ne plus avoir ce contact, de sentir cet engouement des gens pour l’équipe, ça manque cruellement. Toute cette communion avec les supporters nous motive. On se sent soutenu sur les réseaux sociaux. Mais avoir le public physiquement, c’est autre chose. C’est dur pour nous, mais aussi pour eux d’être privés de stade. Je suis pressé de revoir un Mayol plein. »