Fulgence Ouedraogo n’est pas d’accord avec Olivier Missoup

Fulgence Ouedraogo n’est pas d’accord avec Olivier Missoup

Le lundi 15 juin 2020 à 12:58 par David Demri

4 Commentaires

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Lors d’un récent entretien accordé à Rugbyrama, le troisième ligne passé par le Rugby Club Toulonnais, Olivier Missoup avait dénoncé un certain racisme dans le rugby Français.

Selon, il a dû travailler deux ou trois fois plus que certains autres joueurs pour pouvoir jouer les week-ends. Extrait:

« Pour moi, le racisme et la discrimination sont une même chose. Je ne pense pas, dans ma carrière, avoir eu les mêmes droits, privilèges, récompenses, confiances, responsabilités par rapport à l’effort fourni et le retour qui normalement s’en suit. Oui, j’ai eu le sentiment de devoir faire, deux fois, voire trois fois plus qu’un autre pour obtenir une part égale. »

Interrogé à ce sujet dans les colonnes du journal L’équipe, le troisième ligne de Montpellier, Fulgence Ouedraogo n’a pas ressenti le racisme de la sorte. Extrait:

« Honnêtement, je n’ai pas l’impression d’avoir été freiné dans ma progression à cause de ça. Ou alors je n’ai pas su ou voulu le voir. J’ai grandi dans un milieu assez rural où l’on prônait l’égalité des chances, le mérite. Le racisme, je n’y ai directement été confronté que plus tard, quand j’ai rencontré ma compagne (*). Ça a été violent, ça m’a choqué, parce que je n’imaginais pas qu’une telle brutalité puisse être exprimée dans des revues, sur des sites entièrement dédiés à ces fléaux. »

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4 Commentaires

  1. marc 15 juin 2020 at 13h- Répondre

    L’un était bon, l’autre était limité et le plus grand moment de sa carrière a été de se battre. Devinez lequel prétend de ne pas avoir eu la carrière qu’il méritait à cause du racisme?

  2. RAPIDO 15 juin 2020 at 20h- Répondre

    fulgence j’aime bien c’est rare un mec qui dénonce la connerie d’un mec qui veut mobiliser des gens avec de droles d’idées

  3. GeGe 16 juin 2020 at 07h- Répondre

    Bien garçon joue au rugby et trace ta route laisses les fausses excuses aux aigris

  4. Leroux 16 juin 2020 at 13h- Répondre

    L’un était très bon et bien équilibré, l’autre pas. Sa réflexion defini son impossibilité à progresser tant sur le plan sportif que sur le plan intellectuel.
    Dommage avec un peu de persévérance et d’humilité il aurait eu la possibilité de rejoindre les meilleurs