François Rivière va payer une fortune pour sauver l’USAP d’une grosse crise
François Rivière va payer une fortune pour sauver l’USAP d’une grosse crise
Le lundi 10 juin 2019 à 19:29 par David Demri
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Le Club de Perpignan doit encore faire face à quelques problèmes financiers.
Le quotidien L’Indépendant nous informe que l’USAP a terminé la saison 2018 / 2019 avec un déficit estimé à 2 millions d’euros.
Afin d’éviter une lourde sanction de la part des gendarmes financiers, le président du club Catalan, François Rivière a été dans l’obligation d’augmenter le capital du club de 2 millions d’euros.
Ce-dernier a apporté les fonds de sa propre poche afin de boucler le budget de la saison qui vient de se terminer.
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Une ruine ce club…
Plutôt une mauvaise estimation du budget …mais la saison calamiteuse de l USAP y est pour quelque chose
Vous vous rendez compte, autant d’argent, si on le donnait à la recherche, à réaliser les rêves d’enfants malades, ou à tout un tas de trucs utiles. On vit quand même dans un drôle de monde. Plein d’hôpitaux manquent de moyens et entassent les personnes, pendant que des particuliers ont 2 millions pour faire vivre un club de sport dont le championnat est en roue libre, avec une fuite en avant économique sans précédent.
N’oublie pas aussi que certains vivent par procuration, et que le club que tu supportes peut t’apporter beaucoup de joie même dans les moments difficiles. Pendant un match de ton équipe, tu oublies tes problèmes, tu vis derrière tes joueurs et cela apporte beaucoup de bien aussi, surtout en cas de victoire. Combien d’autres occasions ont certains de pouvoir sauter de joie sur leur fauteuil ou au stade, combien de gamins tu peux faire rêver aussi?
Si ce gars décidait de faire ce qu’il veut de son argent sans te demander ton avis comme cela semble être le cas, pour ma part cela me conviendrait.
Il y en a marre des bonnes consciences qui expliquent ce qu’il faut faire, ce qui est bien et tout le reste …C’est son argent, il en fait ce qu’il veut du moment que c’est légal, rien à dire.
PS : tu dois certainement donner des sommes très importantes à la Recherche, aux enfants malades et il ne me viendrait pas à l’esprit de t’en faire grief.