Face aux critiques, Pieter de Villiers tente de défendre le Stade-Français
Face aux critiques, Pieter de Villiers tente de défendre le Stade-Français
Le jeudi 11 juillet 2019 à 8:35 par David Demri
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Le Stade-Français Paris est largement critiqué depuis quelques mois en raison de sa politique et des nombreux joueurs et membres du staff mis à la porte, à l’image de Julien Dupuy, de Djibril Camara ou encore de Sergio Parisse.
Interrogé à ce sujet via RMC Sport, l’entraîneur adjoint du club Parisien, Pieter de Villiers a tenté de défendre le club comme il le pouvait concernant ces départs prématurés. Extrait:
« Ce n’est jamais facile de partir. Une chose est sûre, on aimerait tous être sur la même longueur d’onde par rapport à la vision et la performance. C’était nécessaire de parler avec tout le monde. Je ne peux pas entrer dans les détails. Il y a des processus légaux qui existent. Le club est plus important que tout. A partir du moment où on n’est pas vraiment alignés sur les projets, il faut en parler et trouver une solution. On a trouvé certaines solutions. Elles vont nous amener vers le haut. Le recrutement est pas mal sur la jeunesse. Ces jeunes joueurs amènent une très bonne attitude au niveau du travail. On est très excités par ce que ces nouvelles recrues vont nous amener. »
Selon lui, le Stade-Français n’a pas perdu son identité malgré les nombreuses critiques. Extrait:
« C’est dur de dire « perte d’identité ». Le passé existe, on s’en inspire. Maintenant, il faut écrire des nouvelles pages avec les nouveaux joueurs. Ce sera toujours comme ça. C’est toujours difficile de comparer le passé avec le futur. Chaque équipe écrit sa propre page d’histoire. »
Pour conclure, Pieter de Villiers affirme que le Stade-Français ne recrute pas uniquement des joueurs Sud-Africains, mais également de nombreux JIFF. Extrait:
« Beaucoup de Sud-Africains sont partis du Stade Français. Il y en a beaucoup moins aujourd’hui que l’année dernière. Il y a quelques Sud-Africains dans le staff. Dewald Senekal, qui arrive, parle français. Il a joué en France et entraîné en France. Je le considère comme quelqu’un qui vit la mentalité et la culture française. Ricardo Loubscher arrive d’Afrique du Sud. Il a longtemps entraîné avec Heyneke Meyer et moi-même avec les Springboks, on le connaît. Il est connu pour ses qualités au niveau des arrières. On l’attend avec impatience. On a recruté aussi beaucoup de jeunes joueurs JIFF. On est confiants. Notre recrutement avance. Notre centre de formation est très important pour nous. On aimerait avoir 75% de joueurs dans l’effectif professionnel qui sont issus de notre centre de formation. On est à 50% aujourd’hui. C’est possible d’atteindre ce but, on travaille pour. »
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Quelle identité? Celle de Max? Certes, mais l’identité créée par Max n’existait déjà plus sous Savare. Et cette identité n’était pas non plus l’identité historique du club, certains n’ont pas manqué de l’ouvrir à ce sujet.
Il ne s’agit pas de dénigrer le SF, on peut faire le même constat un peu partout: les clubs changent. En bien, en mal, l’avenir juge. Après, Max était la pire chose possible pour le rugby. Tiens, les avis ont changé depuis.
Du pipeau et du pognon.
Le SF n’existe plus tel qu’il était.