Fabien Galthié et Fabrice Landreau ne se quittent plus… avant Toulon ?

Fabien Galthié et Fabrice Landreau ne se quittent plus… avant Toulon ?

Le lundi 27 février 2017 à 14:44 par David Demri

19 Commentaires

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Alors que leur avenir professionnel semble de plus en plus les rapprocher de Toulon, Fabien Galthié et Fabrice Landreau ne se quittent pas selon les informations du Midi Olympique.

La semaine dernière, l’ancien duo gagnant du Stade-Français s’est ainsi rendu à Swansea, pour passer quelques jours auprès de la province des Ospreys et s’imprégner de leurs méthodes de travail.

Un séjour outre-Manche qui va très vite en appeler un autre, que les deux hommes vont bientôt réitérer en Angleterre. D’abord du côté de Leicester, puis du XV de la Rose, qu’ils devraient avoir l’occasion d’observer au plus près pendant une journée.

Par ailleurs, depuis son départ de Grenoble, Fabrice Landreau a enchaîné les voyages. Après avoir atterri en Nouvelle-Zélande, l’ancien talonneur du XV de France a rendu visite aux Blues d’Auckland avant de jeter un œil aux méthodes d’entraînement des Warriors, les treizistes de la cité.

Après avoir fait escale en Australie, Fabrice Landreau a passé quelques jours à Sydney aux côtés des Waratahs de Michael Hooper. Aujourd’hui de retour en Europe, Fabrice Landreau nous confiait vendredi soir, peu après le match des moins de 20 ans tricolores, avoir également rendu visite aux Tigres de Leicester et aux Ospreys.

Pour rappel, les deux hommes sont pressentis pour intégrer le staff du Rugby Club Toulonnais dès l’été prochain. Affaire à suivre…

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19 Commentaires

  1. Mig 27 février 2017 at 14h- Répondre

    Ça m’fait une belle jambe !! On touche le fond avec ces deux mercenaires !!!

    • JOSUC 27 février 2017 at 19h- Répondre

      dans quelle merdasse on va encore se fourrer LANDREAU POUR COMBLER LES ABSENCES
      REPETITIVES DE GALTHIER !!!!!

  2. ALBERT83 27 février 2017 at 14h- Répondre

    Stages de formation avant de rejoindre Toulon. Pas de souci.

  3. sergio83 27 février 2017 at 15h- Répondre

    J’aime pas du tout ce duo!

  4. Jf 27 février 2017 at 15h- Répondre

    Très bonne chose. Qu’il commence à cogiter à ce qu’ils veulent faire de guerriers

  5. BRUNO 27 février 2017 at 15h- Répondre

    Je ne suis pas fan de GALTHIE. A titre personnel, je n’ai pas oublié la demi finale à LILLE qu’il a perdu (en partie) parce qu’il ne connaissait pas le règlement.
    ceux qui suivent les matchs du tournoi commentés par cet ex demi de mêlée international (qui m’a fait rêver), savent que… sa connaissance des règlements, et même, des règles du jeu… est vraiment limite-limite…
    Encore un home qui était un joueur exceptionnel, que j’ai adoré… mais qui ne me parait pas à la hauteur de son talent de joueur comme coach… ça me rappelle un certain SAINT ANDRE…

  6. mat8360 27 février 2017 at 16h- Répondre

    Laporte était un joueur moyen ça ne l’a pas empêché d’être le grand entraineur que l’on connait. Moi j’ai confiance dans ce duo et je pense qu’ils peuvent amener une plus valu… De toute façon le tempérament de Ford ne correspond pas du tout à notre mentalité donc il ne peut pas s’inscrire sur la durée.

    • BRUNO 27 février 2017 at 17h- Répondre

      Tu me dire ce que tu en pense si un jour, en demi finale, il décide d’aller en touche à 30 secondes de la fin parce qu’il croit (à tord) qu’il perd en tapant les 3 points…. Et qu’on sort….

  7. mat8360 27 février 2017 at 17h- Répondre

    Ah parce que l’erreur de Delmas en mêlée pour la chaussure dans une finale c’est normal ? Pourtant on a quand même gagné des titres avec lui ça ne veut rien dire. T’es pas mauvais si tu fais une erreur ça arrive à tout le monde de perdre sa lucidité.

    • BRUNO 27 février 2017 at 17h- Répondre

      ça n’a rien à voir. DELMAS n’a pas enlevé ses chaussures ! maintenant si on veut lui reprocher de ne pas avoir vérifié si un pilier qui sort en cours de match, connaissant son poste, reste prêt à rentrer… pourquoi pas…
      On peut aussi lui reprocher de ne pas vérifier si personne n’oublie ses crampons… mais bon… pourquoi pas.

    • BRUNO 27 février 2017 at 17h- Répondre

      Et je pense, au contraire, que garder sa lucidité sur le banc… est essentiel. parce que, justement, on peut comprendre que les joueurs la perde…
      Mais chacun ses avis… pourquoi pas.

      • Pierrot-de-Nice 27 février 2017 at 23h- Répondre

        je n’ai rien pour Galtier.. mais tu crois qu’il est le seul à pas connaître le règlement quand tu vois samedi Angleterre Italie le bordel que c’était… et que personne chez les roosbeef savaient ce qui se passait..!!

  8. babelle 27 février 2017 at 17h- Répondre

    Attendez des confirmations avant de parler. Ils ne sont pas encore á Toulon

    • Pierrot-de-Nice 27 février 2017 at 23h- Répondre

      ah, tu es sûr..??

      • Pierrot-de-Nice 27 février 2017 at 23h- Répondre

        désolé me suis trompé ça s’adressait au message d’en dessous.. LOL

  9. jjk 27 février 2017 at 18h- Répondre

    au moins si il va chez nous il commentera plus , quel chienlit

  10. bertranddemagno 27 février 2017 at 18h- Répondre

    Quand je pense que Landreau pleurait il y a 3 ans après la victoire de Grenoble à Mayol avec Cardona ….maintenant il va nous entrainer …. parce que des anciens de toulons et de la régions qui réussissent il y en a aucun dans le rugby….. a part mignoni, collazo, Bruno …..

  11. Explorer 27 février 2017 at 18h- Répondre

    HS : XV de France, solutions

    A 38 %, les internautes de L’Equipe considèrent (50 000 votes) que la défaite française, dimanche (19-9) à Dublin, est imputable aux fautes techniques individuelles. Davantage qu’à l’absence de stratégie collective (18%) ou l’indiscipline (11%). Alors, nous avons demandé à plusieurs anciens entraîneurs du XV de France (Pierre Villepreux, Didier Retière, Pierre Berbizier, Jean Trillo) et à quelques consultants (Olivier Magne, Dimitri Yachvili), d’apporter leurs éclairages, leurs analyses et leurs solutions. A deux semaines d’Italie-France (samedi 11 mars, 14h30), à Rome.
    Où se situent les faiblesses techniques ?

    Consultant BeIN Sport, l’ancien demi de mêlée Dimitri Yachvili n’a pas aimé «l’en-avant de Le Roux (55e) après une longue séquence de jeu.» Didier Retière et Pierre Villepreux, entraîneurs-adjoints du XV de France, pointent l’action de «Scott Spedding qui perce (59e) et ne sait pas poursuivre son action». Pour Olivier Magne, consultant Eurosport, «nous perdons deux ballons en touche sur des temps forts.» Co-entraîneur du XV de France, Jean Trillo a remarqué qu’«un truc s’est dérèglé au bout de vingt minutes quand les joueurs n’ont pas été capables de trouver des réponses adaptées aux situations d’urgence. Ce n’est pas un problème de talent mais de pragmatisme, car les centres sont d’un bon niveau et les ailiers sont pas mal. Les demis sont peut-être un niveau en-dessous du reste de la ligne. Quant à l’arrière, il a fait un mauvais match, mais c’est la première fois et ça arrive même aux meilleurs.»

    Entraîneur tricolore entre 1992 et 1995, Pierre Berbizier ajoute : «Il y a un souci au contact, dans la relation porteur-soutien. D’où le malaise dans le jeu. Faut-il passer ou conserver le ballon ? Les joueurs ne reconnaissent pas les situations, ce qui pose problème. Le souci technique n’est que la conséquence d’une mauvaise lecture tactique.» Pierre Villepreux acquiesce: «La technique individuelle est la conséquence de la compréhension du jeu. Ils savent passer le ballon, nos internationaux. Mais ils ne savent pas lire le jeu.»
    Pourquoi de telles lacunes ?

    Pour Dimitri Yachvili, le fautif, c’est «notre Top 14. Et depuis des années. Le temps de jeu effectif, le nombre de phases de jeu et l’intensité ne correspondent pas aux exigences internationales.» Le DTN Didier Retière, qui se déplace sur tous les terrains de France, est de cet avis : «Dans le Top 14, on joue peu de situation ambitieuses. Du coup, les internationaux n’ont pas assez d’exigence technique et tactique.» Pierre Villepreux et Olivier Magne sont unanimes pour cibler la formation française. «Mon gamin joue au rugby, précise Magne, et il ne touche le ballon que quatre fois dans la semaine à l’entrainement. Je reviens de Nouvelle-Zélande et là-bas, chaque gamin a un ballon dans les mains toute la journée…» Villepreux ajoute : «Le jeune joueur français n’est pas formé à l’intelligence du jeu et à la technique qui va avec. Et donc reprendre la technique individuelle dans l’urgence ne résoudra pas les problèmes actuels du XV de France.»

    Ancien coach du Racing 92, Pierre Berbizier, à l’instar de Villepreux, trouve que «les joueurs n’ont pas de référentiel commun, qu’ils manquent de culture tactique. On ne travaille pas la compréhension du jeu. Du coup, les joueurs ne peuvent pas répondre en temps réel aux questions «quand, où, pourquoi ?» qui déterminent les choix sur le terrain… » Pour Jean Trillo, le souci se situe au-delà de la technique en elle-même : «C’est un problème de culture, d’éducation. On perfectionne les modalités mais on oublie l’essentiel. Faire voyager le ballon à droite ou à gauche, quelle importance quand on ne sait pas pourquoi on le fait. Pour gagner, il faut aussi faire preuve de pragmatisme.»
    Que faire avant le déplacement à Rome ?

    La France se rend à Rome le 11 mars (14h30) y affronter l’Italie. Pour Dimitri Yachvili, «si nous ne parvenons pas à combiner sur quatre ou cinq temps de jeu, alors il faut revenir à un jeu plus structuré sur trois temps de jeu. Surtout dans nos cinquante mètres. Il faut adapter le jeu au profil des joueurs et pas pour faire plaisir aux médias et au public, car là on est vraiment dans l’état d’urgence.»

    L’ancien demi de mêlée de Biarritz, tout comme Guy Novès, le manager tricolore, envisage que le XV de France réduise la voilure. Mais pas le DTN Didier Retière : «Surtout ne rien lâcher. Continuer sur cette exigence. A l’entraînement, à l’échauffement, solliciter la précision technique en permanence !» Olivier Magne adhère à cette position : «Pas de retour en arrière. Il faut choisir les joueurs adaptés au projet de jeu ambitieux et continuer, malgré le déchet.»

    De son côté, Pierre Villepreux assure : «Il faut poursuivre ce qui a été commencé. On joue bien vingt minutes ? Il faut être bon pendant quatre-vingt minutes…» Pour conclure, Pierre Berbizier prend de la hauteur. Pour lui, il faut «redéfinir l’objectif et les moyens qu’on se donne pour l’atteindre ; mettre de l’alternance avec du jeu au pied, alterner le jeu au large et le jeu au près. Le jeu consiste à déplacer l’adversaire, et pour cela, il faut bouger le ballon. Mais l’inverse ne fonctionne pas…»

    Et oui, lorsque ça n’avance pas comme en première mi-temps, les grandes nations dont fait partie l’Irlande désormais grâce à Joe Schmidt, occupent au pied. Ce qui soulage par moments les avants.

    Il faut savoir les économiser car le rugby commence ( et se joue ) devant.

  12. Explorer 27 février 2017 at 18h- Répondre

    Quand nous avions Hayman, Menini, Botha, Williams, JMFL et Armitage le pack était plus mobile, solide et mobile à la fois, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui.

    On a voulu changer de style de jeu avec Ford sans en avoir l’effectif, ça ne pouvait pas fonctionner pleinement. Sur un match et l’engagement ok mais pas sur la durée.

    Si Galthié et Landreau doivent venir ( 2 ans, avant l’EdF ) ce que j’espère, ils doivent bâtir leur effectif dans le recrutement choisi.