Fabien Galthié amer concernant la dernière action du match
Fabien Galthié amer concernant la dernière action du match
Le samedi 27 mars 2021 à 0:46 par David Demri
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Le sélectionneur du XV de France, Fabien Galthié s’est confié en conférence de presse à l’issue de la défaite de ses joueurs contre l’Ecosse, ce vendredi soir au Stade de France à l’occasion de la 3ème journée du Tournoi des Six-Nations.
Ce-dernier concède que cette défaite est compliquée à encaisser.
Il revient sur cette dernière action qui a été fatale à ses joueurs alors qu’ils avaient encore la possession du ballon et qu’il ne manquait plus qu’à dégager en touche pour gagner la rencontre. Extrait:
« Le premier sentiment, on se dit qu’à un moment le match est terminé et qu’on va gagner car on a la dernière possession (au-delà du temps réglementaire), qu’on va aller en touche. Mais non… On s’est dit qu’on allait encore défendre sur une dernière séquence. Et puis finalement, au bout de cette séquence, les Écossais prennent le score et remportent le match. C’est dur à encaisser de perdre comme ça. On avait décidé de construire le match et de prendre les points quand ils se présenteraient. La pluie, qui a été incessante notamment en première mi-temps, ne nous a pas permis de tenir le ballon ou de faire de longues passes. Ce match s’est joué essentiellement sur les phases de conquêtes, sur le combat au près et sur le défi physique. Je ne crois pas que l’objectif initial ait perturbé la préparation des joueurs. »
Il évoque ensuite la conquête de ses joueurs. Extrait:
« Si on reprend le match et qu’on étudie en détail, on va trouver à plusieurs moments, sur des phases de conquête, des éléments clés qui vont être déterminants dans la rencontre. Cette action fait partie des moments clés. On a choisi de lancer en fond d’alignement, les Écossais ont su lire notre structure et intervenir. On retient souvent les dernières actions, mais c’est vrai que dans ce match, on va trouver plusieurs moments déterminants. Sur des temps forts comme sur des temps faibles. »
Mais Fabien Galthié rappelle que ce match se joue finalement sur la dernière action. Extrait:
« L’histoire de ce match, c’est qu’il se joue sur la dernière action. On a eu le sentiment plusieurs fois qu’une équipe allait prendre le dessus mais à chaque fois l’autre équipe est revenue. On peut évidemment parler de la maîtrise et puis on peut aussi parler de la performance de l’équipe d’Écosse qui a su mettre les ingrédients pour gagner cette partie. »
Pour conclure, le technicien Français laisse entendre que ses joueurs étaient mâchés physiquement après cet enchaînement de matches. Extrait:
« Il y a eu un enchaînement solide de trois rencontres. Il se peut que l’enchaînement ait puisé dans les ressources. Chacun de ces matchs s’est joué sur la dernière action. Nous avons eu des temps forts que nous n’avons pas su bien exploiter. Le manque de fraîcheur a sans doute été partagé. L’équipe termine avec une expérience et un vécu intense, qui puise beaucoup dans les organismes. Cette compétition est très difficile physiquement. Psychologiquement aussi. Ce sont des combats de boxe en permanence. Et nous avons tous puisé dans les ressources. »
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J »ai pas compris la bisquotte pour Serin ?
Peut-être que s’il faisait plus de changements les joueurs seraient moins mâchés et plus lucides aux moments clés du match…
Galtie aussi intelligent qu à Toulon incapable de serner le problème :Lui.
A la fin Carbonel double champion du monde élu meilleur joueur aurai dégager mais bon Meche Toulousaine se recoiffe un choix hestetique quoi.
C’est dulin qui avait le ballon.
Trouve toi un poster dédicacé de N’tamack et colle le dans ta chambre…le kiff h24.
Vous qui connaissez bien le rugby, c’etait dulin le fautif. N’Tamack a fait un bon match.
Quand on regarde un match, mieux vaut allumer sa tele et non regarder le bocal a poissons rouges.
vaccin d humilité pour FG ..ca ne peut que lui faire du bien
Nous avons gagné sur une dernière attaque puis perdu sur une dernière attaque, soit… Reste que, nous avons été ultra-dominés par l’Angleterre et Le Pays-de-Galles, dominés hier au soir par l’Écosse et eu de la chance de s’en sortir contre l’Irlande – je ne compte pas l’Italie, ok? – avec un rien de moins de réussite, nous pourrions/devrions être à la place de l’Angleterre…
Beaucoup de travail à accomplir pour prétendre être champions du monde (idem, en termes d’humilité).
Excellente analyse
Vous oubliez, pour les britishs, domines par l’arbitrage. Et pas que.
espérons que cette défaite va lui faire dégonfler le citron !!!!!!
FG se remettre en question, comment dire: LOL 🙂
Et pas un mot sur celui qui fait perdre le match comme pour l’Automne, dulin.
FG le selection, pourquoi ? Donc il en est responsable. Tout le monde sait que dulin a toujours lextrouillometre a,0.
Vivement que Ramos ou Bouthier soient retablis. Quand dulin a le ballon, il ne sait pas quoi en faire et equipiers ne savent pas ce qu’il veut faire.
Certains diront qu’il marque, oui quand tout le travail est fait et qu’il n’y a plus de defense.
Pourrait pas jouer en Corpo avec serin…
Brice Dulin nous a fait rêver contre les Gallois car on leur a jouer un mauvais tour.
Les Ecossais nous ont joué un mauvais tour et Brice Dulin ne nous a pas encore dit ce qu’il s’est passé et pourquoi il a pris la décision de relancer car à mon avis il devait penser qu’il devait rester encore quelques minutes à jouer il a donc pris la bonne décision ne pas taper en touche car tu rendais le ballon à l’adversaire un point c’est tout.
De toute façon le ballon est Ovale???
On oubli facilement le fait qu on a jouer les 8 dernières minutes en supériorité numérique face aux gallois…. Et oui l humilité de savoir quand la chance nous aide….
Professional en équipe nationale qui ne sait pas que le temps réglementaire est déjà écoulé…. Et oui le manque de compétence et non le « pas de chances »…
On arrête les gaufres et les blagues si on veut arrêter les défaite encourageantes !
Nous avons la chance aujourd’hui d’avoir un ancien grand demi de mêlée comme entraîneur-selectioneur du XV français et un 3eme ligne comme capitaine. Le premier a la stratégie, le second a le charisme.
Le premier a mûri comme entraîneur devenant plus faiseux que taiseux, le second fier comme un Basque a mûri dans les blessures et au contact du rugby de la rade.
Après une décennie horrible nous retrouvons les victoires.
Continuer avec de telles personnalités est essentiel. Qu’elles ne se lassent pas. Au bon M. Bouscatel d’avoir le discernement nécessaire pour laisser le XV de France voler vers les succès qu’il mérite au moins pour tout ce qu’il a apporté au jeu de rugby.
Aupa!