Duncan Paia’aua explique pourquoi il adore le rugby Français

Duncan Paia’aua explique pourquoi il adore le rugby Français

Le jeudi 25 mars 2021 à 9:58 par David Demri

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Le polyvalent trois-quarts Duncan Paia’aua est arrivé à Toulon en 2019 en provenance des Queensland Reds.

Mais en raison d’une grave blessure contractée au tendon d’Achille lors de l’été 2019, le joueur Varois a passé une saison 2019 / 2020 totalement blanche.

Finalement, le joueur Australien effectue sa première saison en Top 14 et découvre donc le championnat Français.

Lors d’un entretien accordé à Rugbyrama, ce-dernier explique dans un premier temps être en pleine forme. Extrait:

« Je suis en pleine forme, j’avais besoin de ce break (sourire). C’est ma première véritable saison de Top14, et il y a beaucoup plus de matchs qu’en Super Rugby : le corps avait donc besoin d’un peu de repos. La tête aussi. Mais c’est bon d’être de retour. »

Pour lui, le Top 14 est un véritable marathon puisque le nombre de matches est beaucoup plus élevé qu’en Super Rugby. Et cela ne le dérange pas, bien au contraire. Extrait:

« C’est une sorte de marathon, mais c’est ce que j’adore dans le rugby français : il nous permet de jouer tous les week-ends (rires). Chaque semaine je suis excité car je sais qu’on va s’entraîner, mettre en place le plan de jeu et affronter un adversaire. C’est également ce qui nous permet d’observer notre progression semaine après semaine. »

Cependant, il a dû apprendre à bien prendre soin de son corps pour ne pas se blesser. Extrait:

« La façon de manager son corps est forcément différente. J’ai appris à faire plus attention, à prendre soin de moi. C’est la priorité si on aspire à être performant tout au long d’une saison de Top 14. »

C’est sa longue blessure contractée durant l’été 2019 qui l’a incité à prendre soin de lui afin d’éviter une nouvelle grave blessure. Extrait:

« J’ai compris comment fonctionnait mon corps. Je viens une heure et demi, voire deux heures avant chaque séance d’entraînement pour m’échauffer, m’étirer et prendre soin de moi. Et après l’entraînement je ne néglige plus du tout ma récupération, contrairement à ce que je pouvais faire par le passé. Ne pas jouer pendant un an m’a fait réaliser pas mal de choses, et notamment que je voulais jouer, et ne plus regarder les mecs depuis les tribunes… »

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