15. Israel Folau (Australie)

Lorsque l’Australie joue, c’est le principal danger pour les adversaires des Wallabies. Son style félin et sa capacité à trouver des brèches en font une référence au poste d’arrière, dans la lignée de ses illustres ainés.

14. Julian Savea (Nouvelle-Zélande)

L’ailier de 25 ans est souvent comparé à la légende Jonah Lomu. C’est déjà révélateur du potentiel du garçon. Mais s’il arbore un style totalement différent, Savea partage une qualité avec Lomu, l’efficacité: 30 essais inscrits en 35 matchs. Rien que ça.

13. Jonathan Joseph (Angleterre)

Le centre de Bath a totalement ébloui de sa classe le dernier Tournoi des 6 Nations. Capable de fulgurances, il sera l’un des fers de lance de l’attaque anglaise. Mais aussi de la défense. Bref, une perle.

12. Ma’a Nonu (Nouvelle-Zélande)

Est-il encore utile de présenter Ma’a Nonu ? Le futur coéquipier de Mathieu Bastareaud à Toulon est la définition même de la puissance dans le rugby. Alliée à sa vista, sa technique et sa rapidité, voilà le cocktail le plus explosif des centres mondiaux.

11. Bryan Habana (Afrique du Sud)

Une pointe de vitesse qui n’a (presque) rien à envier aux sprinteurs du 100 mètres. 59 essais inscrits en 110 rencontres, dont 8 en une seule Coupe du monde, un record (partagé avec Jonah Lomu). Respect.

10. Dan Carter (Nouvelle-Zélande)

Meilleur réalisateur de l’Histoire, et très certainement le meilleur numéro dix. Dan Carter est d’ores et déjà dans la légende du rugby. Un dernier Mondial pour la postérité ?

9. Aaron Smith (Nouvelle-Zélande)

Considéré par ses pairs comme le meilleur demi de mêlée du monde, Aaron Smith respire le rugby. Sur le terrain, il voit tout avant tout le monde. Peut-être connait-il le nom du futur vainqueur ?

8. Sergio Parisse (Italie)

Le guide de tout un pays. Cet Argentin de naissance, qui défend les couleurs de l’Italie dont il est le capitaine, est sans conteste le meilleur Transalpin, mais très certainement le meilleur numéro 8 du monde. Un joueur d’exception.

7. Richie McCaw (Nouvelle-Zélande)

La plupart des Français fustigent son attitude lors de la finale 2011. En Nouvelle-Zélande, il est un héros national. 142 matchs disputés sous le maillot de la fougère argentée, un record toutes sélections confondues. Tout est dit.

6. Sam Warburton (pays de Galles)

Capitaine des Gallois à seulement 23 ans lors de la Coupe du monde 2011, ça place un homme. Une activité offensive et défensive exceptionnelle, font de Sam Warburton l’exemple même de ce que doit être un flanker.

5. Yoann Maestri (France)

Seul Français de ce XV, Yoann Maestri brille dans le travail de l’ombre. Homme de base de Philippe Saint André, il est le joueur le plus utilisé depuis sa prise de fonction. Il est la définition du guerrier. Un colosse.

4. Brodie Retallick (Nouvelle-Zélande)

Il est LE meilleur joueur du Monde. Pour la première fois, ce trophée a été remis à un joueur de deuxième ligne, Brodie Retallick. Jeune, puissant, adroit, rugueux et mobile. A 24 ans, l’avenir lui appartient.

3. Owen Franks (Nouvelle-Zélande)

Le pilier droit des All Blacks excelle aussi bien en mêlée fermée, que dans le jeu. Aussi mobile que puissant, sa présence dans ce XV est une évidence. Une référence.

2. Bismark du Plessis (Afrique du Sud)

Champion du monde en 2007, le Sud-Africain reste ce qui se fait de mieux au poste de talonneur. Précision extrême en touche, toujours présent où il faut. Tout Montpellier se frotte les mains.

1. Joe Marler (Angleterre)

Le pilier gauche anglais fait partie des joueurs les moins expérimentés de ce XV après son coéquipiers Joseph. Mais il ne lui aura pas fallu beaucoup de temps pour se faire un nom. Déjà une pointure à son poste. Il est prêt pour exploser durant « son » Mondial.

Source: rugbyrama.fr