Désormais, un joueur pourra changer de sélection nationale beaucoup plus facilement !
Désormais, un joueur pourra changer de sélection nationale beaucoup plus facilement !
Le mercredi 24 novembre 2021 à 17:01 par David Demri
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Le Conseil de World Rugby a approuvé un amendement au règlement 8 régissant la représentation des équipes nationales qui permettra désormais à un joueur international de changer une seule fois de fédération, sous réserve de démontrer un lien étroit et crédible avec la nouvelle fédération par le biais du droit de naissance.
À partir du 1er janvier 2022, pour être transféré d’une fédération à une autre en vertu du Règlement 8 révisé (éligibilité), un joueur devra remplir les critères ci-dessous :
– Le joueur doit se retirer du rugby international pendant 36 mois
– Le joueur doit soit être né dans le pays de la fédération dans laquelle il souhaite être transféré, soit avoir un parent ou un grand-parent né dans ce pays.
Selon les critères révisés du Règlement 8, un joueur ne peut changer de fédération qu’une seule fois et chaque cas sera soumis à l’approbation de la Commission des Règlements de World Rugby afin de préserver l’intégrité
Après le 1er janvier 2022, tout joueur ou joueuse qui répond aux critères ci-dessus pourra demander immédiatement un transfert.
Les révisions du Règlement 8 permettront également d’aligner l’« âge de la majorité » dans les catégories de rugby à XV et à VII. Tous les joueurs seront désormais « capturés » à l’âge de 18 ans afin de simplifier le règlement et d’améliorer la compréhension et la conformité par les Fédérations.
L’approbation du règlement amendé fait suite aux demandes présentées par les nations émergentes et à un vaste processus de consultation avec les fédérations membres, les régions et l’International Rugby Players.
Les avantages de l’amendement sont les suivants :
- Simplicité et alignement : les transferts sont actuellement autorisés dans le cadre de la participation aux Jeux olympiques dans le rugby à VII. Cet amendement créera un processus harmonisé et simplifié pour l’ensemble du rugby
- Développement des nations émergentes : la capacité des joueurs des nations émergentes peut être améliorée en permettant aux joueurs, qui ont des liens étroits et crédibles avec la « Fédération émergente » par leur naissance ou leur ascendance, de « revenir » dans ces Fédérations après avoir représenté une autre Fédération.
- Approche axée sur le joueur : le processus tient compte de l’environnement du rugby moderne, y compris le mouvement mondial des joueurs, la possibilité actuelle de capturer des joueurs en les sélectionnant sur le banc, et le souhait de certains joueurs d’être transférés après avoir été sélectionnés un nombre limité de fois pour une fédération. Il tient compte également de l’impact de tout changement sur l’intégrité du paysage de la compétition internationale.
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Les Tonga vont avoir une sacré équipe
Toi, tu joues pas de la guitare sinon tu saurais qu’il faut l’accorder.
Le collectif est sacré dans le rugby c’est ce qui donne une sacrée équipe !
Sacré nom de dieu !
Ok l’entraîneur c’est sur que si tu prend que des joueurs de fédéral en top 14 tu va finir dans les 6 tu es un génie toi
Tout les ioane, fekitoa, nonu, muliana, naholo etc. Tremblez la nouvelle Zélande, fini de piller les îles autour de vous.
Parce que ce sont les N-Z qui viennent enlever de force et sans dédommagement (un pillage) les joueurs des îles ? Le ridicule ne tue pas, heureusement pour toi.
Désormais, on ne nous verra plus ensemble : https://www.youtube.com/watch?v=-859ZyC19sw
J’irai ailleurs !
c’est pas ce qui va faire que ce sport évoluera 🙁 il sera tj axé autour de 4-5 pays dans le monde…
Le seul avantage : plus de fric car des matchs plus relevés, mais peu de matchs (du moins quelques pays rencontreront tj les même quelques pays, dommage)…
Ca ne va rien changer à l’edf (seul Atonio est d’origine NZ). Par contre l’équipe de NZ avec lesTongiens…
Pas encore. Mais dans quelques années, si quelques uns des Giteau Jr, Botha Jr, Sheridan Jr, Umaga Jr, etc… veulent jouer pour le XV de France, ça ne me posera aucun problème.
Pas plus qu’à vous toulousains, qui avez déjà un Brennan Jr, tout comme on a aussi des Botica Jr, ou Whetton Jr en France.
Y a autant de fidjiens et de samoans que de tongiens chez les Blacks !
Favoriser les nations émergentes …mdr.
Pour rappel :
https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/xv-de-france/actualites/tournoi-6-nations-un-quart-des-joueurs-sont-etrangers-845535
Favorisé les nations émergentes….mdr.
Pour rappel article du Figaro du 11/02/17 :
« Six Nations: Un quart des joueurs du Tournoi sont … étrangers
Le journal anglais Mail on Sunday a révélé que 53 des 210 joueurs retenus pour le Tournoi n’étaient pas nés dans le pays de leur sélection. Un abus qui devrait conduire à une réforme de la règle de la résidence.
La mondialisation a-t-elle des limites ? En rugby, il semble que non. Un journal anglais, le Mail on Sunday, s’est penché de très près sur la liste des 210 joueurs retenus pour disputer les deux premières journées de cette édition 2017 du Tournoi des six nations. Et là, surprise, 25% d’entre eux ne sont pas nés dans le pays qu’ils sont censés représenter ! A comparer avec l’édition de 1987 : les cinq nations en compétition totalisaient… cinq joueurs étrangers. Un par pays. Pour la France, victorieuse du Grand Chelem, il s’agissait de… Serge Blanco, né à Caracas, au Venezuela. D’une mère française qui avait rejoint le pays Basque après le décès de son mari alors que le futur arrière du XV de France n’avait que deux ans…
Trente ans plus tard, ce ne sont plus les hasards de la vie mais les naturalisations « sportives » en masse qui ont grossi le bataillon des étrangers. Avec des abus : ainsi 18 des 30 joueurs écossais (et si l’incontournable pilier sud-africain Willem Petrus Nel ne s’était pas blessé, ils seraient un de plus…) ne sont pas nés en Ecosse ! Sous les ordres du… Néo-Zélandais Vern Cotter, le XV du Chardon s’apparente à United Colours of Scotland. S’y côtoient des Néo-Zélandais, des Australiens, des Sud-Africains, des Anglais et, même un Hongkongais (Hardie) et un Hollandais (Visser). Avec un joli travail de recherche généalogique puisque huit d’entre eux ont trouvé trace de grands-parents originaires d’Ecosse.
Car pour pouvoir porter un autre maillot que celui de son pays de naissance, il existe deux possibilités en rugby : avoir un parent ou un grand parent né dans le pays de son équipe nationale, ou y vivre depuis 36 mois et n’avoir aucune sélection pour son pays d’origine. Cette dernière règle, qu’on supposait responsable de tous les abus, ne concerne finalement «que» 17 des 53 «étrangers». Les autres ont tous un père, une mère, un grand-père ou une grand-mère justifiant leurs nouvelles couleurs.
Les plus gros contingents ? L’Afrique du Sud et la Nouvelle-Zélande
Si on poursuit, dans le détail, derrière l’Ecosse, c’est le pays de Galles qui compte le plus de naturalisés. Mais c’est un cas particulier puisque huit d’entre eux sont nés… en Angleterre avec au moins un parent gallois. Suit l’Italie, 8 étrangers, dont le capitaine, Sergio Parisse, né en Argentine mais de parents italiens. Vient ensuite l’Angleterre (7, dont le capitaine Dylan Hartley, né à Rotorua, en Nouvelle-Zélande, d’une maman anglaise), l’Irlande (6) et la France. Seulement 4. Mais avec la particularité d’avoir tous bénéficié de la règle des trois ans de résidence. Elle a permis au Sud-Africain Scott Spedding, au Néo-Zélandais Uini Atonio, aux Fidjiens Noa Nakaitaci et Virimi Vakatawa d’endosser la tunique bleue.
Je trouve ça nul. Une fois que tu as choisi une sélection, pour moi c’est pas pour en choisir une autre moins forte en bouche trou quand tu n’as plus le niveau pour la NZ, l’Australie etc…
Imagine un coup d’état dans une Nation de rugby.
Imagine les joueurs obligés d’être engagés dans l’armée et d’avoir des résultats, sous peine d’être emprisonnés et torturés.
Imagine que des gens veulent partir de ce pays et pouvoir continuer à jouer au rugby au meilleur niveau…
T’en a pas conscience en ouvrant l’Equipe ni en regardant la télé dans ton salon, pourtant ça a existé il y a quelques années, et ça existe encore. Mais imagine…