Christophe Urios : « J’aurais aimé que l’arbitre revienne sur la vidéo »
Christophe Urios : « J’aurais aimé que l’arbitre revienne sur la vidéo »
Le samedi 21 décembre 2024 à 18:57 par David Demri
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Le manager de Clermont, Christophe Urios s’est confié à l’issue de la courte défaite de son équipe concédée sur la pelouse du Stade Rochelais, ce samedi.
Ce-dernier explique vouloir se contenter de ce point de bonus défensif remporté sur la pelouse Rochelaise.
Cependant, il regrette que l’arbitre de la rencontre n’ait pas revu une action à la vidéo, en toute fin de match.
A lire ci-dessous :
« Ce point de bonus, c’est mieux que rien. La semaine avait été moyenne, mais la fin de préparation était très bonne. Je savais qu’il y avait un espace, qu’il pouvait y avoir un relâchement après la Coupe des champions (de La Rochelle). Il n’y en a pas eu, mais mon équipe a été à la hauteur et aujourd’hui (ce samedi) on devait gagner le match. Mais on avance, on progresse dans pas mal de domaines. Donc on se contente d’un point. Il a manqué d’efficacité. Ça nous est déjà arrivé au Leinster.
J’aurais aimé que l’arbitre revienne sur la vidéo (sur le ballon porté de la 78e). Mais il manque pas grand-chose. À la mi-temps, je n’étais pas inquiet, j’avais trouvé La Rochelle hyper réaliste. Ce qui m’a gêné en première période, c’est qu’on ne jouait pas au rugby, on faisait la loi. Mais quand tu viens ici, si tu ne fais pas la loi, tu es mort.
Je suis venu plusieurs fois, notamment avec l’UBB, on se disait qu’on ferait la loi, on ne la faisait pas et on était écrasés. On avait envie de s’expliquer avec eux là. Mais on en a un peu oublié le rugby. Par contre, en deuxième mi-temps, on a gardé cette intensité, notamment dans les rucks, et on les a mis en difficulté. Ce match se joue à pas grand-chose. »
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Il est un peu pénible de revenir sur l’arbitrage après chaque défaite.
Clermont ne jouera pas la Champion’s cup cette année si un Clermontois ne les avaient pas arbitré à Perpignan.
Il aurait peut-être dû perdre chez lui contre Toulon cette année aussi.
Et on ne reviendra pas sur le Brennus confisqué aux Grenoblois il y a 30 ans pour raisons politiques et récupéré par le club où il jouait et il ne se prive pas d’utiliser à son profit aujourd’hui pour enjoliver sa modeste carrière de joueur.
Cependant, Urios reste un super entraîneur.