Ce couple qui joue en équipe première du Stade-Toulousain !

Ce couple qui joue en équipe première du Stade-Toulousain !

Le dimanche 26 mai 2024 à 10:30 par David Demri

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Le saviez-vous ? Un couple évolue en équipe première du Stade-Toulousain.

D’un côté François Cros, troisième ligne international Français et titulaire quasiment indéboulonnable au sein du club de la Ville Rose.

De l’autre côté, Jennifer Cros, femme de François, joueuse du Stade-Toulousain chez les féminines.

Jennifer et François se sont rencontrés il y a quinze alors qu’ils étaient étudiants au pôle Espoir de Toulouse.

Jennifer raconte via France 3. Extrait:

« On était dans la même classe, et je ne sais pas si ça se fait encore, mais on était tous les sportifs ensemble. Ça s’est fait rapidement parce qu’on est rentré en septembre, et en décembre on était en couple. »

Les deux amoureux se sont mariés en 2021, et ensemble, ils ont eu une fille prénommée Lili, née en septembre 2022.

Tous les deux professionnels au sein du Stade-Toulousain, le couple se chambre régulièrement. Extrait:

« Pour l’instant je suis un peu derrière, explique François Cros, voilà deux ans que je n’ai pas marqué et elle, elle a déjà mis trois essais. »

Ecartée des terrains pendant cinq ans à cause des blessures, Jennifer a repris en 2023. Depuis, elle n’a plus manqué un seul match.

C’est d’ailleurs la seule joueuse de l’effectif à être maman.

Le manager du Stade-Toulousain féminin, Olivier Marin exprime sa joie. Extrait:

« C’est une fierté pour nous de pouvoir donner l’opportunité à une femme d’assumer sa maternité et de continuer à vivre son activité, de replonger dans ce qu’elle a connu avant d’être maman, c’est-à-dire la vie de groupe, une vie de femme aussi, épanouie dans sa vie personnelle et dans sa vie sportive. Donc oui c’est une très très grosse satisfaction et je suis surtout content pour elle avant tout. »

De son côté, François Cros apprécie de voir que le rugby féminin attire de plus en plus. Extrait:

« Elles sont de plus en plus suivies, tu vois là, il y a je ne sais combien de personnes, allez 500 personnes, donc il y a du monde qui vient les voir jouerdonc c’est bien, c’est porteur pour le développement du rugby féminin et il faut aller dans ce sens-là. »

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