Buttin raconte la terrible béquille qui l’a privé de compétition durant 6 mois : « On m’a ouvert la cuisse ! »

Buttin raconte la terrible béquille qui l’a privé de compétition durant 6 mois : « On m’a ouvert la cuisse ! »

Le jeudi 10 avril 2025 à 8:57 par David Demri

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L’ancien arrière de Clermont, Jean-Marcellin Buttin fait le bonheur du SU Agen depuis plusieurs saisons maintenant.

En effet, l’ex-joueur de l’ASM évolue au SUA depuis 2020.

Ce-dernier s’est longuement confié via Midi Olympique.

Il a notamment expliqué son indisponibilité de six mois.

Il explique avoir pris une béquille dès la 5ème journée de Pro D2 qui lui a provoqué une indisponibilité de six mois.

A lire ci-dessous :

En fait, j’ai pris une béquille à Valence-Romans lors de la 5e journée. J’ai dû faire un drainage parce que le sang ne partait pas. On m’a donc ouvert la cuisse et aspiré le sang avant de la refermer. Ensuite, il a fallu attendre que ça cicatrise, que ça se soigne et que je récupère du muscle parce que la jambe avait bien fondu.

Je n’en ai pas connu beaucoup des blessures. Ce n’est pas de chance car la béquille est un coup qu’on prend tous les week-ends, mais celui-là m’a coûté six mois.

Il explique comment il a occupé ses six mois d’indisponibilité. Extrait:

J’ai eu plein d’étapes à valider, donc j’étais toujours avec le groupe. C’est bien parce que, que ce soit un blessé d’une ou deux semaines ou de six mois, on est toujours au contact du groupe. On croise les mecs, on fait de la vidéo avec eux… Il y a juste eu une ou deux périodes plus compliquées avec la rééducation. Notamment quand je suis allé au CERS. C’est plus difficile d’être éloigné des copains. Mais à part cela, je suis quand même resté dans la vie du groupe.

Il ne le cache pas : sur le plan mental, cela n’a pas toujours été facile. Extrait:

Ce n’est jamais évident mais je savais que j’allais revenir un jour ou l’autre. J’ai pris mon mal en patience et j’ai préféré peut-être perdre une ou deux semaines pour bien faire les choses afin de ne pas aller trop vite. Les blessures du passé m’ont appris à sacrifier ces semaines car quand on est jeune, on veut rapidement reprendre et c’est là qu’on se blesse.

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