Boudjellal raconte le jour où Bernard Laporte a demandé à Bakkies Botha de faire sortir sur civière un joueur Grenoblois
Boudjellal raconte le jour où Bernard Laporte a demandé à Bakkies Botha de faire sortir sur civière un joueur Grenoblois
Le mardi 5 novembre 2024 à 14:50 par David Demri
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L’ancien président du Rugby Club Toulonnais, Mourad Boudjellal a raconté quelques anecdotes concernant ses années passées à la tête du club Varois.
Il a notamment raconté le jour où Bernard Laporte – alors manager du RCT – avait demandé à son deuxième ligne Bakkies Botha de faire sortir sur civière le numéro 8 de Grenoble.
Il se souvient d’un match très compliqué sur la pelouse de Grenoble.
Fort heureusement, Pierre Mignoni était allé voir Bakkies Botha dans la foulée pour lui expliquer qu’il ne fallait surtout pas qu’il éteigne le numéro 8 de Grenoble de cette manière.
A lire ci-dessous :
« On joue à Grenoble un match qu’il fallait absolument gagner. La première mi-temps était très compliquée avec un 8 de Grenoble très pénible. Sans arrêt il venait sur les côtés, il nous avait pourri la vie, et l’arbitre avait un petit côté Stevie Wonder.
Arrive la mi-temps. Et quand tu as un garçon comme Bakkies Botha dans ton équipe, il faut faire attention à ce que tu lui dis. Et pour la première fois, j’ai vu que le duo Laporte – Mignoni fonctionnait vraiment bien. Dans le vestiaire à la mi-temps, Laporte est en transe. Il lui dit qu’il faut que le 8 de Grenoble sorte sur civière, quitte à ce qu’il prenne un carton rouge.
Le problème, c’est Bakkies Botha regarde Bernard Laporte et lui dit « OK ». Rapidement, Pierre Mignoni va le voir pour lui expliquer qu’il ne fallait surtout pas faire cela, que Bernard Laporte était énervé et que c’était son langage et son phrasé, mais qu’il ne devait pas prendre un carton rouge ni faire une fente au visage du 8 de Grenoble. C’était ça le duo Laporte – Mignoni. »
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pas étonnant de la part d’un maffieux sans scrupules …
Wikipédia : « Le terme « woke » provient du verbe anglais « wake » (réveiller), pour décrire un état « d’éveil » face à l’injustice. Il est initialement utilisé pour désigner des personnes conscientes des problèmes liés à la justice sociale et à l’égalité raciale (en). »
Effectivement, je vois pas trop le rapport.
Et je comprend pas ce qui n’est pas bien d’être pour la justice sociale et l’égalité raciale
Sa meuf l’obligeait à repriser ses chaussettes et/ou est partie avec une autre nana.
Depuis, il est dyswoké.
Au départ…Mais comme toujours, toutes les bonnes causes sont dévoyées et utilisées à mauvais escient.