Bernard Laporte: « J’aurais aimé qu’ils m’enlèvent la suspension pour un match de coupe d’Europe »

Bernard Laporte: « J’aurais aimé qu’ils m’enlèvent la suspension pour un match de coupe d’Europe »

Le jeudi 3 avril 2014 à 14:35 par David Demri

5 Commentaires

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bernard-laporte-19-oct-2007.1194070668En conférence de presse d’avant match, le manager Toulonnais Bernard Laporte a évoqué brièvement sa suspension. Ainsi, l’entraîneur du RCT avoue qu’il aurait aimer que la Ligue Nationale de Rugby ne le prive pas de vestiaire et de terrain pour la Coupe d’Europe.

En effet, Bernard Laporte explique que sa sanction est également valable pour la H-Cup. Extrait:

« J’aurais aimé qu’ils m’enlèvent la suspension pour un match de coupe d’Europe… Si on aime le rugby français, on a envie que les clubs français gagnent. Ça aurait été habile de dire, « la sanction n’est que pour le Top 14″. Mais je respecterai la décision du CNOSF et si ils me lèvent la sanction, bien sur que dimanche j’irai dans les vestiaires. »

Le CNOSF doit se prononcer ce jeudi sur ce dossier. Affaire à suivre…

Propos recueillis par Var-matin.

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5 Commentaires

  1. Georges 3 avril 2014 at 14h- Répondre

    :yes: ..aucune inquiétude..Nanard..vont te permettre d’assister les tiens..et peut-être même un peu plus..ou alors comme on parle volontiers de « démocratie » ici ou là..pour toi et Moumou..en serions-nous en plein déni !!!! Allez TOULON…

  2. Tonio83 3 avril 2014 at 14h- Répondre

    En fait quand Parra tape sur tout ce qui passe, on abrége sa sanction pour ne pas pénaliser le rugby francais et qu’il soit sélectionné par l’équipe de France…
    Par contre quand il s’agit de Laporte, on se fout de l’interet du rugby francais… à moins que pour les instances dirigeantes, le RCT ne soit pas considéré comme francais…

    • dk_snake 3 avril 2014 at 14h- Répondre

      j’ai vu que Faugeron avait eu droit à un rappel à l’ordre mais aucun sanction.
      Quelqu’un connait les faits reprochés?

  3. PHIL DE FIGA 3 avril 2014 at 15h- Répondre

    A l’issue de la réunion jeudi prochain qui se déroulera à huis-clos, les conciliateurs rendront une « proposition de conciliation » à moins qu’un accord à l’amiable ne soit trouvé durant l’audience.

    Cette décision sera « présumée acceptée par les parties dès sa notification et d?application immédiate », indique le CNOSF, précisant que les deux parties auront un délai d’un mois pour s’y opposer.