Arthur Retière : « Je pense que je ne réalise pas encore… »

Arthur Retière : « Je pense que je ne réalise pas encore… »

Le vendredi 21 octobre 2022 à 11:09 par David Demri

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Ce dimanche soir se jouera – à Ernest-Wallon – le choc de la huitième journée du Top 14 entre le Stade-Toulousain et le Stade Rochelais.

Interrogé à ce sujet via Sud-Ouest, l’ailier Toulousain Arthur Retière évoque ce match contre ses anciens coéquipiers Rochelais.

Il s’attend à un match forcément spécial. Extrait:

« J’ai passé six ans à La Rochelle et j’ai encore tous mes potes là-bas. J’ai créé beaucoup de liens d’amitié. Avec certains mecs, on se parle tous les jours. Je pense que je ne réalise pas encore. C’est surtout dimanche soir, avant le match, que ça me fera bizarre de les voir.

Uini Atonio ? J’étais tout le temps chez lui ! Quand je me suis cassé le tibia et que je ne pouvais plus conduire, ce sont Reda Wardi, Mathieu Tanguy et Uini qui m’emmenaient tout le temps avec eux. Je suis resté très ami aussi avec Botia et « Jo » Danty… Mais il faut faire abstraction. »

Dans la foulée, il explique sa décision de quitter le Stade Rochelais pour Toulouse. Extrait:

« Je pensais que c’était le bon moment pour partir : j’avais envie de voir autre chose. Ça faisait longtemps que j’étais en contact avec Toulouse, depuis 2018 je crois. Mais c’était la première fois que j’étais en fin de contrat dans ma dernière année. M’étant cassé le tibia, j’avais décidé de signer très tôt avec le Stade pour m’enlever ça de la tête et faire une fin de saison sans me tracasser. »

Il ne cache pas que la présence de son frère Edgar, à Toulouse, a beaucoup joué dans sa décision. Extrait:

« C’est l’une des raisons, évidemment. On a toujours rêvé de jouer ensemble, il a forcément fait partie du calcul. Il y avait mon petit frère donc, mais aussi pas mal de joueurs que je connaissais. Et il y avait aussi le jeu de Toulouse qui, je pense, me correspond le mieux.

Dans le jardin, ou dans notre salon sur le carrelage. On s’est mis des sacrées « branlées » là aussi. On se mettait des énormes plaquages (sourire). Ce match m’a fait bizarre parce qu’il m’a rappelé beaucoup de souvenirs. Ce jour-là, il y en avait aussi avec Théo Ntamack et Romain. Quand nos pères étaient entraîneurs de l’équipe de France, on allait dans le vestiaire d’à-côté et on se faisait des deux contre deux à plaquer. »

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2 Commentaires

  1. Name 21 octobre 2022 at 12h- Répondre

    « Please wait while processing… »

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  2. ST 21 octobre 2022 at 16h- Répondre

    Des plaquage dans le salon avec son frangin… J’imagine la scène 🙂