Anthony Jelonch : « Il a une énergie de fou, c’est fabuleux pour une équipe de l’avoir sur le terrain ! »
Anthony Jelonch : « Il a une énergie de fou, c’est fabuleux pour une équipe de l’avoir sur le terrain ! »
Le lundi 24 février 2025 à 12:46 par David Demri
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Le troisième ligne international Français Anthony Jelonch s’est confié via Midi Olympique suite à la victoire bonifiée remportée par les Bleus contre l’Italie.
Ce-dernier rappelle que l’équipe de France a été très frustrée par sa défaite concédée contre l’Angleterre. Extrait:
C’est vrai qu’on avait été très frustrés du match à l’Angleterre. Moi le premier sur mon canapé, je me suis dit que ce n’était pas possible de se retrouver aussi souvent en échec près de la ligne. Contre l’Italie, on a entre guillemets remis les pendules à l’heure, même si on s’attend à un défi encore plus grand en Irlande.
Il explique ensuite ce qui change de posséder un banc avec sept avants et seulement un arrière. Extrait:
Que si on a la certitude de ne jouer qu’un moment donné, il faut le faire à 300 %. Ceux qui ont démarré le match savaient qu’ils avaient 50 minutes à faire plein régime, ils ont su mettre beaucoup d’engagement. Et nous, après, quand on est rentrés à la cinquantième, on savait qu’il fallait encore aggraver le score. Et on a remis de l’énergie. La seule consigne, c’était ne pas lâcher, de ramener de l’énergie à la cinquantième. Je pense qu’on l’a fait ce soir, et que les Italiens l’ont eue dure.
On savait qu’ils grattaient beaucoup, et ça a été le focus de la semaine. On a joué les uns pour les autres, personne n’a « gamellé ». Quand tu fais ça, le résultat est souvent au bout.
Il ne manque pas de rendre hommage à François Cros qui a joué l’intégralité de la rencontre. Extrait:
François a une énergie de fou, on le connaît, c’est fabuleux pour une équipe de l’avoir sur le terrain. Il est toujours à l’heure pour apporter le premier soutien, mais aussi pour porter le ballon si besoin. Ce soir, il fait un grand match
Il se projette ensuite sur le match contre l’Irlande. Extrait:
À la mi-temps. Le bonus offensif était acquis, mais on s’est dit qu’il fallait continuer. Je crois qu’on était à 35 points à la mi-temps, on en marque 40 en seconde… C’est positif parce que maintenant, on s’est remis notre destin entre nos mains. En Irlande, ce sera un super match à jouer. Ce n’est pas une finale, mais ça y ressemble un petit peu… On va dire que ce sera une première finale avant d’en jouer une autre la semaine d’après (sourire).
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