Alex Moon est tombé amoureux de Bayonne

Alex Moon est tombé amoureux de Bayonne

Le samedi 25 janvier 2025 à 14:19 par David Demri

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Le deuxième ligne de Bayonne, Alex Moon va rejouer ce samedi contre Perpignan, à l’occasion de la 15ème journée du Top 14.

Victime d’une grosse béquille à un quadriceps lors d’un match contre Toulouse au mois de novembre dernier, le Bayonnais a été à l’arrêt durant deux mois.

Interrogé via Sud-Ouest, est revenu sur cette longue absence. Extrait:

Honnêtement, la première semaine, quand j’ai été blessé, c’était douloureux. Mais depuis, je n’ai rien ressenti. Pas de douleur pendant 7 ou 8 semaines. Donc je suis bien.

Il affirme avoir visité les alentours de Bayonne durant son indisponibilité. Extrait:

J’ai apprécié me balader et visiter. Je ne savais pas à quel point la nourriture était bonne ici, ni à quel point la campagne était jolie. Ça a été vraiment sympa. Mais j’ai fait aussi beaucoup de réathlétisation ! Beaucoup de gym, de courses. Mais oui, c’est vraiment magnifique par ici.

Puis il revient sur les prestations de Bayonne. Extrait:

Ça s’est passé aussi bien que j’ai espéré. En termes de performances, l’équipe a fait mieux que prévu. On est qualifiés en Challenge Cup, on est 5es du Top 14… Ça se déroule parfaitement. Bien sûr, ça a été frustrant pour moi de rater les matches. Je suis là pour jouer au rugby. Mais au-delà de ça, j’adore tout ici. Je suis vraiment content.

Il précise s’être fait des amis à Bayonne. Extrait:

Oui, notamment lui (il pointe du doigt Giovanni Habel-Küffner, assis au milieu des journalistes) ! Avant d’arriver ici, j’avais discuté avec Reece (Hodge), j’étais venu le voir deux-trois fois avant de signer. Je m’entends bien avec Manu (Tuilagi) aussi. Surtout les anglophones, j’avoue… Mais Giovanni est plus français qu’anglais maintenant (rires) ! Ça fait dix ans qu’il est ici.

Bayonne n’a plus gagné à l’USAP depuis 1971. Il réagit. Extrait:

Vraiment ? Je ne le savais pas. On ne me l’a pas mentionné du tout. Mais ça serait cool (de gagner). J’adore jouer ici, à Bayonne, mais aussi ces matches à l’extérieur, dans de nouveaux stades. Auparavant, je n’avais jamais joué contre de nouvelles équipes. Pour moi, ça ne change pas grand-chose, c’est la même chose chaque semaine. Mais ça serait marrant d’aller gagner là-bas pour la première fois en plus de 50 ans.

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